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La valeur des conseils en matière de « rajustement »
La valeur des conseils en matière de « rajustement »
Ce blogue a été fourni par Tracey Zehl, associée, Grant Thornton LLP.
Ce blogue a été fourni par Tracey Zehl, associée, Grant Thornton LLP.
Pour de nombreux propriétaires de petites entreprises en quête d’expansion, il survient éventuellement un moment décisif où il faut agir pour créer de nouvelles perspectives. Cette démarche diffère d’une entreprise à l’autre. Pour certaines, il s’agit d’augmenter rapidement le nombre d’employés pour répondre à la demande. Pour d’autres, il s’agit plutôt de bâtir une nouvelle installation ou d’agrandir une installation existante afin d’augmenter la production. Dans tous les cas, cette démarche présente un dénominateur commun : elle entraîne une complexité organisationnelle supplémentaire qui doit être gérée. Pour ce faire, il faudra peut‑être introduire de nouvelles opérations ou de nouveaux processus, ou encore de nouvelles technologies.
La bonne nouvelle est qu’il existe déjà plusieurs solutions. La mauvaise est que trop souvent, les solutions standards sont conçues pour des entreprises plus grandes disposant de plus de ressources, et les solutions personnalisées nécessitent des connaissances qu’une petite entreprise ne possède probablement pas à l’interne.
Obtenir l’aide appropriée
Pour de nombreuses petites entreprises, le recours aux services de consultants pour soutenir une initiative cruciale peut sembler une dépense extravagante. Cependant, en consultant une personne ayant l’expérience requise, il est possible de bénéficier des connaissances et des compétences nécessaires à la réalisation d’un projet, ainsi que des capacités qui ne sont peut‑être pas présentes au sein de l’entreprise. Les dépenses initiales liées à l’intervention d’une personne compétente constituent un investissement qui permettra de faire les choses correctement du premier coup et d’éviter les faux départs coûteux qui ne sont pas strictement nécessaires à la réussite future de l’entreprise.
Récemment, nous avons aidé un client à revoir la stratégie technologique de son organisme à but non lucratif et à y introduire davantage d’automatisation afin de réduire les tâches répétitives et manuelles qui lui faisaient perdre du temps qu’il aurait pu consacrer à la prestation de services. Bien que ce client ait compris qu’il devait faire quelque chose, il n’avait pas les aptitudes nécessaires pour mener à bien ce processus par lui‑même. Après avoir travaillé en étroite collaboration avec ce client pour comprendre ses besoins, nous avons été en mesure de l’aider à définir la portée de son projet et à sélectionner un fournisseur. Ainsi, nous avons aidé un précieux client à améliorer considérablement sa capacité à remplir la mission fondamentale de son organisme en partageant avec lui nos connaissances dans un domaine qu’il n’avait jamais abordé auparavant.
Poser les bonnes questions
Souvent, la valeur des conseillers réside dans le fait qu’ils posent la bonne question au bon moment. Ce point est particulièrement important dans les premières phases d’un projet, lorsque les besoins sont formulés et que la portée du projet est définie. Un problème auquel nous sommes souvent confrontés découle du fait qu’une solution ait été proposée avant que le problème n’ait été clairement cerné. Par exemple, une entreprise aux prises avec des problèmes de comptes clients peut se lancer dans la recherche d’un logiciel adéquat avant même d’avoir commencé la vérification de ses processus internes et d’avoir compris les lacunes qui les affectent. Cette précipitation peut entraîner un gaspillage de ressources sans pour autant résoudre le problème. Les services de bons conseillers permettront d’étudier la question plus en profondeur, de mettre en évidence les problèmes sous‑jacents et de remettre le projet sur la bonne voie.
Trouver la bonne personne
Au moment de choisir un conseiller ou une conseillère, ou tout autre partenaire d’ailleurs, assurez‑vous que cette personne possède suffisamment d’expérience auprès d’organisations similaires à la vôtre. Une personne ayant l’habitude de travailler avec de grandes multinationales ne sera pas aussi bien équipée pour travailler avec des petites et moyennes entreprises, et pour relever les défis qui leur sont propres. L’une des leçons les plus précieuses que nous avons tirées de nos activités dans le secteur des organisations à but non lucratif, comme mentionné ci‑dessus, est la suivante : toutes les organisations, quelle que soit leur taille, méritent de recevoir les bons conseils.
Ce blogue a été fourni par Tracey Zehl, associée, Grant Thornton LLP.