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Les moments forts de notre série de sommets exécutifs 2022

Les moments forts de notre série de sommets exécutifs 2022

Cette série nous a permis de jeter un regard approfondi sur les enjeux que nos dirigeants politiques doivent prendre en...

8 novembre 2022

Cette série nous a permis de jeter un regard approfondi sur les enjeux que nos dirigeants politiques doivent prendre en compte pour veiller à ce que les politiques publiques favorisent la réussite des entreprises.

Au cours de la dernière année, nous nous sommes penchés sur cinq secteurs dans le cadre de notre série : les minéraux critiques, la santé et les sciences de la vie, les relations canado-américaines, l’intelligence artificielle et, plus récemment, l’environnement, le social et la gouvernance (ESG).

Chaque événement a donné lieu à des conversations éclairantes avec certains des chefs d’entreprise et des représentants gouvernementaux les plus influents du Canada, alors que nous nous efforçons de relever nos plus grands défis : l’avenir des personnes, de la technologie, du commerce et du climat. 

Pour un résumé des principaux enseignements de la série, continuez à lire!

Pour regarder les sessions de notre série à la demande, cliquez ici.


Sommet exécutif sur les minéraux critiques | 23 février

Lors de notre premier sommet exécutif, nous avons discuté de la façon dont les minéraux critiques sont essentiels à la réussite économique de notre pays. La première table ronde a souligné l’importance des minéraux critiques pour l’atteinte de la carboneutralité du Canada, et la seconde a examiné les avantages comparatifs du Canada en matière de commerce et de développement.

Invités vedettes :

  • L’hon. Jonathan Wilkinson, ministre des Ressources naturelles, Gouvernement du Canada

Panel de discussion : Les minéraux critiques et l’avenir de la carboneutralité au Canada

  • Modérateur
    • Scott MacKenzie, gestionnaire national principal, Affaires extérieures, Toyota
  • Panélistes
    • Chris Doornbos, chef de la direction, E3 Metals Corp.
    • Stéphane Leblanc, directeur général, Rio Tinto Fer et Titane
    • Kunal Phalpher, directeur de la stratégie, Li-Cycle

Panel de discussion :Avantages et défis du Canada en matière de durabilité 

  • Modératrice
    • Katie Fedosenko, gestionnaire, Innovation durable, Teck
  • Panélistes
    • Sarah Fedorchuk, vice-présidente, Affaires gouvernementales et publiques, The Mosaic Company
    • JP Gladu, fondateur, Mokwateh
    • Pierre Gratton, président et chef de la direction, L’Association minière du Canada

Principaux points à retenir :

  • La Banque mondiale prévoit que la production de minéraux comme le graphite, le lithium et le cobalt devra augmenter de 500 % d’ici 2050 pour alimenter la transition énergétique. Le Canada est l’un des principaux producteurs mondiaux de certains de ces minéraux.
  • Plus de 120 pays se sont engagés à atteindre la carboneutralité d’ici 2050, ce qui signifie :
    • Les systèmes énergétiques mondiaux doivent subir des changements fondamentaux.
    • Il y aura une demande importante pour les minéraux critiques.
  • Le Canada doit mettre en œuvre une stratégie efficace en matière de minéraux critiques.
    • Il est essentiel de renforcer l’image de marque mondiale du pays comme fournisseur sûr et durable pour les marchés nationaux et internationaux.
    • Contribuer à la promotion des investissements nécessaires à l’expansion des stocks nationaux de minéraux critiques et des chaînes d’approvisionnement.
  • Le Canada doit accroître sa production et sa capacité de traitement des minéraux critiques au niveau national :
    • En mettant en place une politique réfléchie.
    • En tirant parti de la richesse des ressources pour créer des emplois tout en reconnaissant sa responsabilité de protéger le monde qui nous entoure.
  • Le Canada devrait saisir l’occasion de bâtir toute une industrie au sein du mouvement des minéraux critiques avec une intégration verticale au pays.
    • Le pays a un rôle important à jouer dans la démondialisation de la chaîne d’approvisionnement.
    • À l’heure actuelle, le Canada a l’habitude d’expédier la matière première en Asie et en Europe et de la racheter, mais nous devons construire ces choses localement.
  • JP Gladu a expliqué comment il peut y avoir une grande déconnexion entre les gens, les marchés et nos secteurs, les réductions de GES et la carboneutralité.
    • Un exemple est la Chine, qui est un énorme producteur de batteries utilisant du charbon, et pourtant notre monde récompense cela en achetant cette chaîne d’approvisionnement.

Conseils pratiques pour les entreprises :

  • Veillez à ce que les entreprises travaillent avec les communautés autochtones où des mines sont proposées.
  • Pensez aux problèmes environnementaux importants qui devront être réglés en amont, ce qui peut nous aider à obtenir le permis dont nous avons besoin pour veiller à ce que nous puissions mener à bien ces projets de manière durable.
  • La rapidité est essentielle dans notre engagement en faveur de la carboneutralité. La concurrence entre les pays est féroce et nous devons travailler ensemble pour voir comment nous pouvons développer rapidement d’autres processus et produits.
  • Les entreprises doivent imposer un changement de culture à l’interne et faire en sorte que l’équipe de direction, la main-d’œuvre et les collectivités locales comprennent l’importance du changement.

« Les ressources naturelles du Canada peuvent, doivent et vont constituer le fondement d’un avenir plus propre et plus prospère, alors que nous sommes aux prises avec les répercussions d’un climat changeant. »

L’honorable Jonathan Wilkinson, ministre des Ressources naturelles

« Il faut se sentir concerné, croire et ensuite agir. »

JP Gladu, fondateur, Mokwateh

Sommet exécutif sur Le chemin vers la prévention des pandémies : ce dont l’écosystème des sciences de la vie et de la santé a besoin aujourd’hui | 13 avril

Notre deuxième sommet exécutif a donné lieu à deux tables rondes dirigées par des personnalités éminentes des secteurs canadiens de la santé et de l’industrie pharmaceutique. Ils ont discuté de la façon dont le Canada peut créer une approche écosystémique pour l’industrie des sciences de la vie et de la façon dont le secteur peut travailler à une plus grande résilience face aux pandémies. 

Invités vedettes :

  • L’honorable Jean-Yves Duclos, Ministre de la Santé
  • Gordon McCauley, président et chef de la direction, adMare BioInnovations

Panel de discussion :Améliorer le rendement de nos systèmes de santé

  • Modérateur
    • Jodi Butts, WATSON Advisors Inc.
  • Panélistes
    • James Brodie, directeur général, Canada, Johnson & Johnson Medical Devices Companies
    • Andrea Marazzi, chef, Organisation nationale pharmaceutique, Novartis Pharmaceuticals Canada
    • Docteure Jenisa Naidoo, Agente scientifique en chef, Dynacare

Pause santé avec discussion vidéo en tête-à-tête : Regardez ici

Panel de discussion : Positionner les sciences de la vie comme un vecteur de croissance économique

  • Modérateur
    • Gordon McCauley, président et chef de la direction, adMare BioInnovations
  • Panélistes
    • Pamela Fralick, présidente, Médicaments novateurs Canada
    • Andrew MacIsaac, chef de la direction, Applied Pharmaceutical Innovation
    • Marina Massingham, chef de la direction, Aifred Health

Principaux points à retenir :

  • La COVID-19 a rendu notre système encore plus vulnérable et fragile.
  • Historiquement, les gens ont toujours considéré les soins de santé comme une dépense, mais il s’agit d’un investissement considérable.
  • En raison de la COVID-19, les Canadiens comprennent mieux la valeur de la science, de la recherche et du développement, de la biofabrication, etc.
  • Voici comment le secteur des sciences de la vie peut aider le système de santé à se rétablir :
    • Veiller à ce qu’il y ait des points de contact plus pratiques pour les gens, c’est-à-dire rapprocher les soins de santé du domicile des gens.
    • Exploiter les meilleures technologies et investir dans une plus grande numérisation du système.
    • Plaider auprès du gouvernement pour trouver des solutions de division du travail, car il faut s’occuper des ressources humaines dans le domaine de la santé.
  • Nous devons mettre en place un cadre politique qui encourage la transposition et l’expansion des entreprises au Canada, tant par des investissements directs du gouvernement que par des politiques.
  • Une certaine forme de financement est nécessaire, car l’accès au capital est difficile.

Conseils pratiques pour les entreprises :

  • Nous devons être plus résilients dans notre capacité à nous adapter à ces nouveaux chocs sanitaires en investissant dans :
    • Une plus grande capacité à gérer et à partager les données.
    • Des investissements plus importants dans la gouvernance de la manière dont nous gérons ces chocs.
    • Une infrastructure et une innovation accrues.
  • Examiner les plans opérationnels et faire correspondre l’offre à la demande, ce qui permettra d’améliorer les résultats et l’expérience des patients.
  • Veiller à ce que le secteur des sciences de la vie évolue en fonction des enseignements tirés de cette pandémie.

« L’intégration des données et la collaboration sont essentielles pour l’avenir. La barre est très haute dans ce domaine. Des enjeux, comme la confidentialité des patients et la cybersécurité, sont primordiaux dans cette discussion et nous avons l’obligation de bien faire les choses. 

James Brodie, directeur général, Canada, Johnson & Johnson Medical Devices Companies

« L’agilité et la rapidité sont les nouvelles règles de base de la différenciation. »

Docteur Jenisa Naidoo, Agente scientifique en chef, Dynacare

Sommet exécutif sur la réorientation des relations canado-américaines vers une sécurité économique et nationale mutuelle | 18 mai

Notre troisième sommet exécutif comportait deux tables rondes : la première était consacrée au renforcement de la base industrielle de défense continentale, et plus particulièrement à la modernisation du Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD). La seconde table ronde s’est penchée sur la façon dont les entreprises peuvent naviguer avec succès dans les relations canado-américaines dans la période actuelle de protectionnisme commercial et de politique des grandes puissances.

Invités vedettes :

  • L’honorable Anita Anand, Ministre de la Défense nationale

Panel de discussion : Renforcer les bases industrielles de la défense continentale

  • Panélistes
    • Kevin Ford, chef de la direction, Calian
    • Nicolas Todd, vice-président, Relations gouvernementales et communications, AICDS
    • Stephen Hampton, directeur, politique publique et affaires gouvernementales, Telesat

Panel de discussion : Gestion des relations canado- américaines à l’ère du protectionnisme commercial et des jeux politiques entre grandes puissances   

  • Modérateur :
    • Sam Boutziouvis, vice-président, Relations gouvernementales et institutions multilatérales de développement et coprésident du comité des affaires internationals, SNC-Lavalin
  • Panélistes:
    • Meredith Lilly, professeure agrégée et titulaire de la chaire Simon Reisman en politique économique internationale, Université Carleton
    • Candace Sider, vice-présidente, Affaires gouvernementales et réglementaires – Livingston International
    • Mike Gladstone, directeur, Affaires externes, Canada, Enbridge

Principaux points à retenir :

  • Le Canada doit démontrer comment ses contributions sont pertinentes pour les intérêts de sécurité des États-Unis.
  • Pour ce qui est de ce à quoi ressemblerait un monde à 2 %, il y a un certain scepticisme quant à la capacité de mobiliser l’industrie de la défense, tant au niveau de l’engagement que de l’approvisionnement.
  • Quatre tactiques importantes ont été discutées pour veiller à la réussite de la modernisation du NORAD, notamment :
    • Développer une stratégie globale qui comprend des objectifs industriels clairs.
    • Consulter l’industrie et veiller à ce qu’elle ait son mot à dire.
    • Créer une communauté d’intérêts canadienne et déterminer quelles entreprises ont de l’intérêt et de l’expérience par rapport à ces capacités en ayant un QIT.
    • Relier les capacités canadiennes au gouvernement, à l’armée et aux chaînes d’approvisionnement et se demander comment permettre aux entreprises canadiennes d’établir des relations avec les entreprises américaines.
  • L’état actuel des relations canado-américaines pose des défis qui sont tout aussi graves, voire pires, sous l’administration Biden.
    • Le protectionnisme américain est fort (républicains et démocrates confondus), ce qui correspond au même climat que sous l’administration Trump.
    • L’objectif du gouvernement américain est de rendre les investissements étrangers et la fabrication en dehors des États-Unis peu attrayants à bien des égards et de veiller à ce que ces emplois restent dans le pays.
  • La guerre de la Russie en Ukraine a eu un impact énorme sur la crise énergétique en Amérique du Nord et a eu des répercussions inflationnistes, un manque d’accès à l’énergie et une crise pour les alliés européens. Ce n’est pas une question de prix de l’énergie, c’est une question d’accès à cette ressource.
    • Le Canada n’a pas l’infrastructure nécessaire, alors nous devons travailler avec les États-Unis pour produire l’énergie et construire l’infrastructure.
  • Nous devons lutter contre le programme Buy America et établir une Équipe Amérique du Nord.
  • Le Canada ne peut pas mettre en péril sa relation avec les États-Unis en les poussant à bout en s’engageant avec la Chine. Nous devons nous tourner vers des pays comme la Corée du Sud, le Japon, l’Inde, etc.

Conseils pratiques pour les entreprises :

  • Il est essentiel pour la sécurité et la défense du Canada d’avoir une idée claire de ce qui est déjà en place et de la direction que prendra la prochaine génération de technologies.

« J’espère qu’une crise ne sera pas nécessaire pour que le système d’approvisionnement réagisse. Ce n’est pas seulement une question gouvernementale, c’est aussi une question de défense. »

Kevin Ford, chef de la direction, Calian

« Les retards de livraison entraînent des conséquences supplémentaires à un moment critique où nous œuvrons à la relance économique. Ce problème doit être en tête des priorités dans le cadre d’un plan stratégique complet. Le temps presse. »

Candice Sider, vice-présidente, Affaires gouvernementales et réglementaires, Livingston International

Sommet exécutif sur L’avenir de l’intelligence artificielle (IA) responsable | 8 juin

Notre quatrième sommet exécutif a tourné les projecteurs sur la façon dont une IA responsable peut donner du pouvoir aux employés et aux entreprises et, lorsqu’elle est utilisée correctement, peut veiller à la longévité de l’économie canadienne. L’événement comprenait une table ronde et deux discours d’experts dans le domaine de l’intelligence artificielle. Les discussions ont permis d’examiner de plus près les questions relatives à l’IA et la façon dont « la responsabilité et la fiabilité » peuvent être des éléments intrinsèques du parcours de l’IA.

Invités vedettes :

  • Catherine Luelo, dirigeante principale de l’information du Canada, sous-ministre au Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada
  • Mehdi Merai, associé, Omnia-IA/Intelligence artificielle et données, chef de la Fabrique IA, Deloitte 

Panel de discussion : Responsabilité et fiabilité en matière d’intelligence artificielle 

  • Modérateur :
    • Farshad Abasi, responsable de la sécurité, Forward Security
  • Participants :
    • Julien Billot, chef de la direction, Scale AI
    • Nidhi Hegde, chercheuse associée et titulaire de la chaire d’IA de l’ICAR Canada, Amii (Alberta Machine Intelligence Institute)
    • Shahram Tafazoli, chef de l’IA, Weir Motion Metrics
    • Brigitte Nolet, président entrant et chef de la direction, Roche Canada Pharma 

Principaux points à retenir :

  • Mesurer le succès de l’IA signifie obtenir un résultat différent et être capable d’automatiser quelque chose que vous ne pouviez pas faire auparavant.
  • Les facteurs associés à la différence de défis pour la mise en œuvre de l’IA dans le gouvernement par rapport au secteur privé :
    • La notion d’échelle est un facteur.
    • Différents profils de risque entre l’entreprise privée et le gouvernement : au gouvernement, on est moins à l’aise avec le prototypage, l’échec et l’essai, cette tendance à ne pas prendre de risque ne se prête pas à ce type de technologie.
    • La vitesse de mise en œuvre : le gouvernement se concentre sur le processus, alors que le secteur privé se concentre sur les résultats.
  • Parce que l’IA utilise des données passives, une conversation nationale doit avoir lieu sur la façon dont nous éduquons les gens à faire partie d’une démocratie numérique, afin que la vie privée des gens soit correctement protégée.
  • Une limite importante de l’IA : l’équité et les préjugés à l’égard de différents groupes ou données démographiques.
    • Il existe de multiples catégories concernant la race, l’âge, le genre, etc. et les résultats ne sont pas équivalents entre les différents groupes démographiques.
  • Le gouvernement joue un rôle crucial dans la fourniture d’une IA fiable.
    • Le secteur privé doit combler ce fossé afin que le gouvernement puisse comprendre l’évolution de la technologie.
  • Les concepteurs et les utilisateurs de l’IA partagent la responsabilité des conséquences de l’IA.

Conseils pratiques pour les entreprises :

  • L’une des compétences les plus difficiles à maîtriser pour les organisations : arrêter quelque chose qui ne donne pas les résultats escomptés. Cela demande du courage, mais c’est nécessaire.
  • Ne pas sous-estimer la gestion du changement et le talent : les données sont un atout stratégique énorme pour une organisation et l’IA est la cerise sur le gâteau.
    • Il est important de passer de la manipulation manuelle des données à l’automatisation.
  • Il y a un gros problème de compétences : nous avons des gens talentueux, mais ils ne sont pas assez nombreux.
  • Les données et la cybersécurité sont des marchés de l’emploi très actifs : il faut réfléchir aux endroits où les compétences adjacentes peuvent être recyclées.

« L’IA est l’une des technologies les plus transformationnelles. Elle n’est pas nouvelle, elle existe depuis plus de 25 ans, »

Catherine Luelo, dirigeante principale de l’information du Canada, sous-ministre au Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada.

« Le système est aussi bon que les données que vous lui fournissez »

Farshad Abasi, directeur de la sécurité, Forward Security.

Sommet exécutif sur les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) | 26 octobre

Lors de notre cinquième et dernier sommet exécutif sur les critères ESG, nous avons discuté des attentes croissantes des investisseurs en matière de divulgation des critères ESG, des défis et des opportunités liés à l’intégration des critères ESG dans les opérations de base des entreprises, et de la manière dont une stratégie ancrée dans des tactiques de durabilité solides crée des opportunités de croissance continue.

Invités vedettes :

  • Robert (RJ) Johnston, Conseiller spécial, Énergie et climat, Groupe Eurasia

Tête à tête avec Faith Goodman, PDG, Goodman Sustainability Group, Fondateur de l’Institut VeriStell et Sean Mallen, ancien chef du bureau européen de Global News : Regardez ici

Panel de discussion : Intégrer les critères ESG dans vos activités

  • Introduction :
    • Justine Hendricks, chef du développement durable, EDC
  • Modérateur :
    • Kent Kaufield, chef du développement durable, EY
  • Panélists :
    • Troy McDonald, trésorier adjoint et gestion des risques (développement durable), Tourmaline Oil Corp
    • David Connelly, vice-président chargé de la stratégie et des affaires générales, Vital Metals
    • Elizabeth Alves, vice-présidente, Stratégie d’entreprise et développement durable, Cogeco inc.
    • Lisa Marcuzzi, vice-présidente, chef de la direction des affaires générales, des questions juridiques et de l’ÉDI, ArcelorMittal Dofasco

Entretien tête à tête avec Arthur Nicolet, PDG, Transdev Canada : Regardez ici

Panel de discussion : La finance durable au Canada

  • Modérateur :
    • Sandra Odendahl, vice-présidente principale et chef du développement durable et de la diversité, BDC
  • Panélists :
    • Marie-Justine Labelle, directrice et chef de l’investissement responsable – détail, Desjardins
    • Nicole Vadori, vice-présidente associée et de chef de l’environnement, TD
    • Yvan Deschamps, vice-président exécutif et directeur financier, Banque Laurentienne
    • Steve Robins, chef de la stratégie, Banque de l’infrastructure du Canada

Principaux points à retenir :

  • La guerre en Europe a des répercussions à l’échelle planétaire, des conséquences économiques et énergétiques.
  • Les secteurs du pétrole et du gaz devront poursuivre leur cheminement vers la carboneutralité.
    • L’accent sur l’engagement des actionnaires par rapport au désinvestissement émerge dans un contexte de prix élevés de l’énergie.
  • Les technologies propres et l’électricité doivent s’attendre à un nouvel examen des facteurs ESG des chaînes d’approvisionnement des fournisseurs à forte intensité de GES dans les pays dont le bilan en matière de droits de l’homme et de travail est douteux.
  • L’ESG est essentiel au succès à long terme d’une entreprise, car les investisseurs et les consommateurs exigent que les entreprises évaluent l’ESG (les exigences non financières) en plus des exigences financières.
    •  Les consommateurs sont prêts à payer davantage pour des entreprises respectueuses de l’environnement.
  • Les gens veulent travailler pour des entreprises qui prennent l’ESG au sérieux, les valeurs personnelles s’alignant sur celles de l’entreprise.
  • Les stratégies ESG doivent être solides. il est important de mettre en pratique ce que vous dites, sinon les dommages à la réputation pourraient être catastrophiques.
  • Les gestionnaires d’actifs cherchent à répondre aux attentes des investisseurs en matière de produits, de services et de conseils durables, les prêteurs insistent sur la durabilité dans leurs portefeuilles et tous deux cherchent à savoir comment cela se traduit par de nouvelles opportunités financières.

Conseils pratiques pour les entreprises :

Les entreprises doivent être des bâtisseurs de consensus — vous devez prendre beaucoup de points de vue divergents et déterminer ce qui fonctionnera le mieux pour l’entreprise.

« Chacune des composantes de l’ESG est inextricablement liée et vous devez les exécuter toutes les trois »

Kent Kaufield, chef du développement durable, EY

« Si vous voulez être en activité dans une décennie, si vous voulez être en mesure d’obtenir un financement dans une décennie, si vous voulez être en mesure de vendre vos actions dans une décennie, vous feriez mieux d’être compétitif en matière d’ESG »

David Connelly, vice-président chargé de la stratégie et des affaires générales, Vital Metals

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