Notre position
Les PME canadiennes ne manquent pas de volonté pour prendre des risques. Ce qui leur manque, c’est le temps. Un accès facile à l’information sur les programmes fédéraux par des canaux qu’elles connaissent bien, moins de formalités administratives, le rétablissement des crédits d’impôt pour les investissements en capital et l’accès à une expertise réglementaire et juridique en matière de marchés étrangers les aideraient à y parvenir.