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Comment le ministre de l’Emploi et du Développement social peut soutenir la croissance

Comment le ministre de l’Emploi et du Développement social peut soutenir la croissance

Partout, les Canadiens souhaitent oublier la pandémie et découvrir ce que l’avenir leur réserve. Une croissance économique forte et soutenue est essentielle pour que notre pays ne se contente pas de retrouver la situation qui prévalait avant le début de la pandémie et de réduire l’écart avec nos concurrents mondiaux.

Partout, les Canadiens souhaitent oublier la pandémie et découvrir ce que l’avenir leur réserve. Une croissance économique forte et soutenue est essentielle pour que notre pays ne se contente pas de retrouver la situation qui prévalait avant le début de la pandémie et de réduire l’écart avec nos concurrents mondiaux. Véritables moteurs de la création d’emplois dans tout le pays, les entreprises sont prêtes à travailler avec le gouvernement et les parlementaires pour faire progresser les mesures nécessaires à la croissance.

Le ministre de l’Emploi et du Développement social :

  • Établir une collaboration plus étroite entre les gouvernements, les employeurs et les établissements d’enseignement pour prospérer dans l’économie du 21e siècle. Le Canada a besoin d’une main-d’œuvre du XXIe siècle, ce qu’il ne peut réaliser qu’en améliorant la communication et la collaboration entre les principaux acteurs.
  • S’assurer que Statistique Canada recueille des données prospectives complètes sur les besoins du marché du travail. Ces données permettront de mieux orienter les politiques en matière d’éducation (y compris le perfectionnement et la requalification) et d’améliorer la navigation dans les programmes d’éducation et les politiques d’immigration existants.
  • Créer des possibilités de perfectionnement et de recyclage flexibles, accessibles et conviviales afin de favoriser une culture de l’apprentissage continu. Créer des réserves de talents grâce à des programmes de jumelage ciblés. Cette approche permettra de renforcer la résilience des employés et des entreprises, de réduire les risques pour tous les groupes et de créer une main-d’œuvre plus diversifiée.
  • Appliquer une perspective du genre ou une ACS+ aux initiatives qu’il développe et finance pour la formation, le perfectionnement, le recyclage et les transitions professionnels.  Cela comprend une analyse rigoureuse du marché du travail pour s’assurer que les femmes accèdent aux secteurs et aux emplois les plus demandés, ainsi que l’adaptation des formations de perfectionnement et de recyclage aux réalités des styles d’apprentissages des femmes et à leurs disponibilités.  
  • Travailler avec le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social pour éliminer les obstacles fiscaux aux frais de garde d’enfants. Faire de la garde d’enfants une dépense professionnelle admissible pour les PME, supprimer l’obligation pour le conjoint à faible revenu de bénéficier de la déduction pour garde d’enfants et permettre aux propriétaires de PME percevant des revenus de dividendes non admissibles de déduire les frais de garde d’enfants de ces revenus.
  • Entreprendre les consultations sur l’examen de l’assurance-emploi, annoncées récemment, d’une manière exhaustive, fondée sur des données et dirigée par un groupe tripartite composé de représentants du gouvernement, du patronat et des syndicats. Cette approche permettra de s’assurer que la gouvernance, les programmes, les politiques et les opérations de l’AE sont durables, évolutifs, non partisans et pertinents pour les générations actuelles et futures d’employeurs et d’employés canadiens.
  • Offrir aux Canadiens des possibilités continues et flexibles d’éducation et de développement des compétences dans les domaines du numérique et de la cybersécurité.

Pour lire les 21 lettres aux ministres, cliquez ici.

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