Blog /

#LesPatientsAttendent un écosystème canadien de données médicales

#LesPatientsAttendent un écosystème canadien de données médicales

Cet article a été fourni par nos partenaires de Roche Canada.

Le 7 novembre dernier, Brigitte Nolet, présidente et chef de la direction de Roche Pharma Canada, s’est jointe aux panélistes du Sommet exécutif sur les sciences de la vie de la Chambre de commerce du Canada. Elle partage ici d’autres réflexions sur l’importance d’un écosystème de données de santé pour le Canada et pour les patients canadiens.

Au Canada, les patients attendent… littéralement! Les innovations en soins de santé prennent beaucoup plus de temps à les atteindre ici que dans bien d’autres pays. Selon le classement de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), le Canada se situe au 19e rang sur 20 pays quant au délai d’accès des patients à des soins innovateurs. Les Canadiens peuvent en effet attendre jusqu’à 732 jours pour obtenir des médicaments susceptibles de leur sauver la vie (source). En plus d’avoir des répercussions sur les patients, ces longs délais mettent les systèmes de santé et l’économie à rude épreuve : davantage de visites chez le médecin et hausse des absences au travail, de l’anxiété et des coûts pour le traitement des symptômes.

Une part considérable de la solution repose sur une transition vers des soins de santé fondés sur les données; grâce aux observations et aux données, on peut s’assurer que le bon patient reçoit les bons traitements au bon moment. Cette approche permet non seulement d’augmenter la durabilité, la résilience et l’efficacité des systèmes, mais aussi de mieux cibler les soins et d’améliorer l’expérience patient. Or, aucun intervenant ne peut y arriver seul – la collaboration entre les secteurs privé et public est essentielle.

Est-ce réalisable?

Lors du récent sommet exécutif sur les sciences de la vie de la Chambre de commerce du Canada, on m’a demandé des exemples de collaborations réussies entre les secteurs privé et public d’autres pays dont le Canada pourrait s’inspirer. L’un de ces exemples remonte à mon affectation chez Roche Belgique et Luxembourg à titre de directrice générale. Consciente de l’occasion que représente la crise liée à la COVID-19, la Belgique a entrepris des efforts de collaboration pour faire évoluer le secteur des sciences de la vie. Le gouvernement, l’industrie, les universités, les centres de santé et le secteur public se sont unis, s’appuyant sur un esprit de collaboration qui avait été entretenu pendant des décennies. Cette approche a produit des résultats remarquables, renforçant la place de la Belgique dans la recherche et le développement du secteur biopharmaceutique en seulement quelques années.

Rien n’empêche le Canada d’atteindre le même niveau de réussite dans l’établissement d’un système de santé de premier plan fondé sur les données pour ses citoyens. En fait, rien n’empêche le Canada d’être un véritable chef de file dans ce domaine! Nous avons déjà toutes les composantes nécessaires et nous faisons d’énormes progrès :

Partout au Canada, de multiples initiatives démontrent la valeur de données de bonne qualité. Malheureusement, la plupart des sources de données sont cloisonnées et il est difficile d’étendre ces initiatives à tous les Canadiens. Il est nécessaire d’établir une meilleure infrastructure pour des systèmes de données médicales interopérables dans tout le Canada. Les gouvernements fédéral et provinciaux font preuve d’un grand engagement, car des stratégies comme « Travailler ensemble pour améliorer les soins de santé pour les Canadiens » englobent l’adoption de normes et de politiques communes relatives aux données partout au Canada. C’est une avancée significative, mais nous devons continuer d’agir de toute urgence.

Prêts à collaborer

L’avenir de nos systèmes de santé dépend de la prise de décisions fondées sur les données, donc de la transmission, de l’intégration et de l’utilisation efficaces des données médicales. Chez Roche, nous sommes déterminés à nous surpasser et à collaborer pour transformer les soins de santé par l’innovation (et c’est ce que nous faisons depuis plus de 125 ans). Pour ce faire, nous sommes prêts à partager l’expertise que nous allons acquérir dans des secteurs comme l’IA et la collecte de données pour éclairer la prise de décision. Nous croyons que les sociétés pharmaceutiques ne peuvent se contenter de produire des innovations médicales révolutionnaires. Elles doivent s’assurer, de concert avec tous les intervenants de l’écosystème de la santé, que ces innovations parviennent aux personnes qui en ont besoin. Nous redoublons d’efforts pour réunir la communauté canadienne de l’IA afin d’ériger notre pays en champion mondial des soins de santé fondés sur les données, notamment en collaborant avec des partenaires comme Mila et l’Institut Vecteur. Dans une récente entrevue diffusée sur le site Web de Roche, j’ai expliqué comment l’IA peut contribuer selon moi à renforcer nos systèmes de santé.

Dans ce monde de la santé qui évolue si rapidement, nous avons la possibilité et la responsabilité d’exploiter la puissance des données pour améliorer la santé et le bien-être de tous les Canadiens. L’avenir des soins au Canada en dépend, et le temps presse, car les patients attendent.

Blog /

Le Mois de la petite entreprise – Les témoignages de notre réseau des chambres

Le Mois de la petite entreprise – Les témoignages de notre réseau des chambres

Nous nous sommes tournés vers le Réseau des chambres du Canada, qui nous a fait part de ses précieux points de vue, de ses conseils et de sa sagesse sur l’expérience des propriétaires de petites entreprises.

Le Mois de la petite entreprise vient de prendre fin, et ce fut vraiment fantastique! Notre objectif principal était de saluer l’inestimable contribution de la communauté des petites entreprises et leur rôle essentiel dans l’économie canadienne, où elles représentent un nombre stupéfiant de 10 millions d’emplois. Pour ce faire, nous nous sommes tournés vers le Réseau des chambres du Canada, qui nous a fait part de ses précieux points de vue, de ses conseils et de sa sagesse sur l’expérience des propriétaires de petites entreprises.

Ce n’est un secret pour personne que les petites entreprises sont au cœur de l’innovation, créant de nouveaux produits et de nouvelles technologies qui stimulent le progrès et ont un impact positif sur diverses industries.

Tout au long de la Semaine de la petite entreprise, nous nous sommes entretenus avec des entrepreneurs de divers secteurs à travers le pays, notamment la construction, la santé et le bien-être, le commerce de détail, les services de conseil et bien plus encore.

Nous vous invitons à découvrir les conseils fantastiques qui nous ont été prodigués!

Nous avons eu beaucoup de plaisir à recueillir ces conseils auprès de notre #Réseaudeschambres. Pour lire toutes les réflexions que nous avons recueillies, cliquez ici.

Au-delà de la Semaine de la petite entreprise, continuons à célébrer le rôle percutant des PME comme moteur de croissance, d’innovation et de changement positif dans l’économie canadienne.

Blog /

Le Canada possède ce que le monde désire et ce dont il a besoin : Les principales conclusions du Sommet exécutif sur l’approvisionnement alimentaire 

Le Canada possède ce que le monde désire et ce dont il a besoin : Les principales conclusions du Sommet exécutif sur l’approvisionnement alimentaire 

L’insécurité alimentaire augmentant à l’échelle mondiale, il nous incombe de prendre les devants et de combler le fossé.

Pour le Canada, l’agriculture est un atout considérable. Nous cultivons plus que nous ne consommons. Nous pouvons être un véritable acteur dans ce marché, mais nous ne sommes pas encore tout à fait en mesure de profiter de cet avantage. 

– Steve Verheul ancien négociateur commercial en chef du Canada
Steve Verheul, Canada's former Chief Trade Negotiator
Steve Verheul, ancien négociateur commercial en chef du Canada

Le 25 octobre, des représentants gouvernementaux et des experts du secteur se sont réunis virtuellement à l’occasion du Sommet exécutif sur l’approvisionnement alimentaire de la Chambre de commerce du Canada pour discuter d’une vision stratégique pour le secteur agroalimentaire canadien. Une vision qui permettra au Canada de naviguer dans un environnement commercial mondial plus complexe et de renforcer l’infrastructure commerciale essentielle sur laquelle le secteur s’appuie pour acheminer ses produits vers les marchés internationaux. 

L’événement a débuté par un discours du ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, Lawrence MacAulay, qui a souligné l’importance du secteur agroalimentaire pour notre prospérité collective. Cette intervention a été suivie d’une discussion éclairante avec Steve Verheul, ancien négociateur commercial en chef du Canada, qui a mis l’accent sur l’importance d’une stratégie nationale audacieuse et coordonnée pour le secteur. L’événement s’est conclu par une table ronde sur l’amélioration de l’infrastructure de transport qui achemine nos produits agroalimentaires vers les marchés mondiaux, à laquelle ont participé des dirigeants des quatre plus grands ports du Canada : Vancouver, Montréal, Halifax et Prince Rupert. 

Voici les principales conclusions de ces séances très instructives : 

L’agriculture est un atout naturel pour le Canada 

Le Canada est l’un des rares pays dont l’industrie agricole est orientée vers l’exportation. L’insécurité alimentaire augmentant à l’échelle mondiale, il nous incombe de prendre les devants et de combler le fossé, tout en contribuant à la prospérité des communautés à travers le pays et à la croissance de notre économie. Mais nous ne pourrons saisir cette opportunité que si nous choisissons d’agir maintenant avec une vision stratégique pour le secteur agroalimentaire qui libère tout son potentiel économique et qui est marquée par un engagement fort de la part du gouvernement et une collaboration entre les secteurs public et privé.  

La durabilité est un défi et une richesse 

Alors que les pays du monde entier se fixent des objectifs ambitieux en matière de durabilité, nous devons continuer à accroître la productivité agricole à pas de géant pour répondre à la demande. Heureusement, l’industrie agroalimentaire canadienne est déjà l’une des plus productives et des plus durables au monde. Grâce à des politiques intelligentes et à des investissements continus dans l’innovation de pointe, l’agroalimentaire canadien peut continuer à mener la lutte contre le changement climatique tout en augmentant la production et en nourrissant la population mondiale. 

L’agriculture est un outil stratégique 

Le protectionnisme, la loi américaine sur la réduction de l’inflation, la stratégie industrielle, le retour de la concurrence entre grandes puissances : voilà quelques tendances récentes qui menacent de bouleverser le système commercial fondé sur des règles et qui ont déjà créé un environnement géopolitique plus délicat. Une constante demeure : le monde aura toujours besoin de nourriture, que le Canada peut lui fournir. En plus de contribuer à sa prospérité économique, le Canada peut utiliser l’agroalimentaire pour accroître son influence mondiale et l’aider à naviguer dans un monde plus fragmenté. 

Une stratégie coordonnée en matière d’infrastructures 

La croissance de l’industrie agroalimentaire canadienne dépend en grande partie de notre capacité à transporter les marchandises de manière efficace et fiable vers les marchés internationaux. Si nous ne pouvons pas acheminer nos produits vers le marché, qu’il s’agisse de blé, de canola ou de potasse, nous ne pouvons pas les vendre. Pendant trop longtemps, le Canada a négligé d’élaborer une stratégie coordonnée et à long terme d’investissement dans les infrastructures. Le nouveau Bureau de la chaîne d’approvisionnement peut remédier à cette situation en jouant le rôle d’organisme coordonnateur des investissements dans les infrastructures au Canada. Il devrait également favoriser la collaboration entre les différents segments de notre infrastructure de transport. 

Réduire les obstacles à l’investissement 

Les capitaux privés peuvent être le moteur du développement des infrastructures au Canada. Toutefois, nous devons nous attaquer aux obstacles connus, comme la longueur des processus d’approbation réglementaire, et améliorer les paramètres suivis par les investisseurs à l’échelle mondiale. Encourager le partage des données et remédier aux pénuries de main-d’œuvre contribueront également à améliorer l’efficacité de notre infrastructure commerciale et à rendre le Canada plus attrayant pour les investisseurs.  

Notre réputation est primordiale 

Les clients du Canada ont la mémoire longue lorsqu’il s’agit d’interruptions de service dans nos chaînes d’approvisionnement. Nous devons être en mesure de leur garantir que nous pouvons leur fournir de manière fiable les services dont ils ont besoin et que nous ne sommes pas un goulot d’étranglement.  


Nous remercions les participants au Sommet exécutif et les membres du Conseil d’avoir partagé leur expertise et leur passion pour ce secteur vital. 

Pour en savoir plus sur les activités de représentation du Conseil pour l’approvisionnement alimentaire, consultez notre page consacrée au Conseil. 

Jetez un coup d’œil aux prochains événements de notre série de Sommets exécutifs.  

Merci à nos partenaires d’excellence

Blog /

Au cœur de l’AGA et Congrès 2023

Au cœur de l’AGA et Congrès 2023

La fin de semaine dernière, nous nous sommes réunis à Calgary pour notre AGA et Congrès annuel.

La fin de semaine dernière, nous nous sommes réunis à Calgary pour notre AGA et Congrès annuel. Nous avons accueilli des délégués de tout le pays qui ont voté sur des résolutions politiques, écouté des leaders d’opinion et profité de l’occasion pour s’amuser un peu. 😊 🎉


Voici quelques faits marquants de ce week-end!


Jeudi 12 octobre

La première ministre de l’Alberta, Danielle Smith, a accueilli les délégués en Alberta lors de la réception du jeudi soir.  


Vendredi 13 octobre

Candace Laing, a présidé notre assemblée annuelle des membres et a exprimé son appréciation pour les efforts précieux déployés par le Réseau des chambres de commerce du Canada au cours de la dernière année. Nous sommes heureux que les membres aient nommé Candace pour un deuxième mandat en tant que présidente du conseil d’administration. Perrin Beatty, notre président et chef de la direction, a ensuite pris la parole pour présenter les actions nécessaires pour dynamiser l’avenir économique du Canada.

La voie à suivre se trouve dans cette salle. Vous avez tous un rôle essentiel à jouer pour restaurer la réputation du Canada, favoriser une croissance durable et assurer un avenir économique favorable à la prochaine génération.

Perrin Beatty, Président et chef de la direction, Chambre de commerce du Canada

Principaux points à retenir

  • La productivité du Canada est retombée à des niveaux prépandémiques en raison d’un manque d’investissement et d’innovation dans le secteur privé, ce qui a entraîné un ralentissement de la croissance économique.
  • Parmi les pays du G7, dont cinq nous dépassent en termes de productivité, la Canada se classe au dernier rang pour ce qui est du pourcentage du produit intérieur brut (PIB) consacré à la recherche et au développement.
  • Il suffit d’observer certains de nos secteurs les plus essentiels sur le plan économique pour apprécier la valeur de l’innovation. Notre secteur agricole de classe mondiale est à la pointe de la technologie et de l’innovation basée sur l’IA. Notre secteur de l’énergie a réduit les émissions grâce à de nouvelles formes de stockage du carbone et à la réutilisation et au développement d’alternatives à faible teneur en carbone, telles que les carburants durables et les petits réacteurs nucléaires modulaires.
  • Le manque d’investissement dans la formation continue des travailleurs est un autre facteur majeur de la détérioration de la productivité au Canada. Le Canada est en effet à la recherche de talents qualifiés et spécialisés pour pourvoir 400 000 nouveaux emplois dans des domaines en croissance et en évolution, notamment l’énergie, la technologie et la fabrication de pointe.
  • Le Canada ne peut pas s’autoréguler pour assurer sa croissance économique. La simplification de notre cadre réglementaire et de notre système fiscal trop complexes est le moyen le plus efficace d’alléger le fardeau des entreprises.

Nous avons ensuite partagé notre vidéo Façonner l’avenir de la réussite en affaires : la valeur du Réseau des chambres de commerce du Canada avec les participants. Avec cette vidéo, nous voulons raconter une histoire convaincante sur la façon dont, en tant que réseau, nous créons les conditions de notre succès collectif. Le Réseau des chambres de commerce du Canada donne aux entreprises plus de ce dont elles ont besoin pour réussir : des informations, de l’influence et de l’impact.

L’honorable Anita Anand nous a rejoints pour une allocution et une séance de questions-réponses

 Je sais que nous devons continuer à développer une économie qui soit bénéfique pour tout le monde. Dans un pays comme le Canada, avec sa diversité géographique et ses taux d’intérêt élevés, nous devons écouter et apprendre, puis nous adapter et réagir. 

L’honorable Anita Anand, présidente du Conseil du Trésor

Principaux points à retenir

  • Le ministre Anand a souligné la capacité d’adaptation et l’efficacité du gouvernement, notamment grâce au projet de loi S-6, qui modernise la réglementation fédérale afin de réduire les charges des entreprises, d’améliorer les interactions numériques, de simplifier les réglementations et de promouvoir le commerce transfrontalier.
  • Le gouvernement investit dans des usines de batteries pour VE afin de faire du Canada un chef de file mondial, ce qui pourrait créer 250 000 emplois et ajouter 48 milliards de dollars à l’économie. Ces efforts comprennent également la construction d’infrastructures de recharge pour l’accès public aux VE.
  • Le gouvernement favorise fortement le logement abordable, en supprimant la TPS sur les logements spécialisés afin de stimuler l’offre et en collaborant avec les municipalités locales pour accélérer la construction de logements.
  • En ce qui concerne la prolongation du prêt de la CUEC, le gouvernement, grâce au travail de défense des intérêts du Réseau des chambres du Canada, reconnaît sa responsabilité dans la gestion des fonds tout en soutenant les entreprises pendant et après la pandémie. Il est essentiel de trouver un équilibre entre des priorités financières concurrentes.

Un plan pour l’avenir : le leadership dans la nouvelle réalité du travail

 Eric Termuende, expert en culture d’entreprise et en leadership, est monté sur scène pour partager son modèle de leadership réussi, étayé par des recherches, afin de permettre aux dirigeants présents dans la salle de constituer des équipes plus productives, plus engagées, plus créatives et plus innovantes.

Le moyen le plus rapide d’accélérer la connexion humaine est de ralentir.

Eric Termuende

Principaux points à retenir

  • La pénurie de talents et la baisse des taux de chômage ne peuvent être attribuées uniquement à la pandémie. D’autres facteurs y contribuent, notamment la baisse mondiale des taux de natalité, le vieillissement de la population avec un taux de retraite élevé, et la transformation de la main-d’œuvre due à l’émergence de nouvelles entreprises et organisations adoptant les technologies de l’industrie 4.0, telles que l’apprentissage automatique.
  • Dans un avenir imprévisible avec une pénurie persistante de talents, il est essentiel de constituer des équipes exceptionnelles et de créer des lieux de travail formidables. Pour y parvenir, il faut favoriser la confiance, réduire les frictions et cultiver une culture de l’expérimentation.

Instaurer un profond sentiment de confiance

  • La confiance est essentielle pour les conflits intellectuels constructifs, le partage d’idées, l’engagement, la responsabilité et l’obtention de résultats.
  • Pour instaurer la confiance, il faut ralentir pour accélérer les relations humaines, s’intéresser à la personne plutôt qu’à l’objet de son travail, demander de l’aide et se débarrasser des stéréotypes générationnels.

Isoler et supprimer les frictions

  • Identifier et traiter les causes profondes des frictions en procédant à de petits changements.
  • Créer le temps et l’espace nécessaires pour avoir des conversations.

Favoriser une culture expérimentale

  • Fonctionner à partir d’un lieu où l’échec n’est pas craint mais considéré comme faisant partie du processus d’apprentissage.
  • Le dirigeant doit également faire preuve de vulnérabilité, en reconnaissant publiquement ses propres échecs et en faisant preuve d’une plus grande transparence à leur sujet. Cela favorise une culture dans laquelle les gens se sentent encouragés à apprendre de leurs erreurs. Le partage des erreurs commises dans le passé nous aide à progresser et crée un sentiment de connexion grâce aux expériences partagées.

Pour compléter les présentations de la première journée, notre économiste en chef, Stephen Tapp, s’est joint à Edwin Cass, directeur des investissements de CPP Investments, pour une discussion informelle sur l’état de notre économie.

Débats de politique

Avec plus de 60 résolutions à examiner, les délégués se sont réunis dans la salle de bal principale pour la première ronde de débats sur les résolutions politiques. 🎤 

Les résolutions adoptées à l’issue de ces débats contribuent à définir notre programme de représentation pour l’année à venir.

Après une journée bien remplie, la Chambre de commerce de Calgary a organisé une soirée festive au Studio Bell National Music Centre!


Samedi 14 octobre

Célébrer les acteurs qui œuvrent en faveur d’une économie plus diversifiée, plus équitable et plus inclusive

Nos Prix de la croissance inclusive récompensent les chambres de commerce et leurs membres à travers le pays qui font un travail exceptionnel pour éliminer les obstacles et créer une économie plus diversifiée, équitable et inclusive. Nous avons été honorés et fiers de mettre en valeur ces personnes et organisations incroyables qui s’efforcent de faire progresser la réconciliation économique et de favoriser la diversité, l’équité, l’inclusion et l’accessibilité sur le lieu de travail.

Félicitations à nos lauréats de 2023

Entrepreneurs sous-représentés

Mention spéciale 

Vanessa Génier, fondatrice et PDG de Quilts for Survivors et membre de la Chambre de commerce de Timmins, aux côtés de notre directrice principale, l’avenir du travail, Diana Palmerin-Velasco.

Membre de la Première nation Missanabie, en Ontario, Vanessa, une mère autochtone, a créé un groupe Facebook dans le but d’inviter d’autres courtepointiers à collaborer à la réalisation de blocs de courtepointe en hommage aux victimes des pensionnats indiens. Son organisation a pour vocation de favoriser le bien-être et la guérison des victimes en créant et offrant des courtepointes. L’objectif principal est de faire en sorte que chaque personne ayant survécu aux pensionnats reçoive une courtepointe.

Pour en savoir plus sur les Prix de la croissance inclusive et connaître l’histoire de tous nos lauréats, cliquez ici.

Nous avons reçu sur scène l’honorable Rechie Valdez, ministre de la Petite Entreprise, pour discuter avec le Réseau des chambres de commerce du Canada de ce dont les petites entreprises du Canada ont besoin pour réussir.

La ministre Valdez, ancienne propriétaire d’une petite entreprise, a abordé les difficultés rencontrées par les entrepreneurs et s’est exprimée sur les efforts qu’elle déploie pour défendre les petites entreprises.


Key Takeaways

  • La ministre a évoqué les initiatives visant à accroître le financement des communautés marginalisées, telles que les femmes, les peuples autochtones, les entreprises racialisées et les personnes 2SLGTBQ2+. La Stratégie pour les femmes en entrepreneuriat (SFE) a été mise en avant, car elle favorise la croissance des entreprises et améliore l’accès aux services de garde d’enfants, ce qui pourrait attirer davantage d’investissements de la part du gouvernement. Elle a également mentionné les engagements de VISA et de Mastercard qui réduiront les frais de carte de crédit des PME, ce qui pourrait permettre d’économiser 1 milliard de dollars sur cinq ans.
  • Elle a souligné l’option de remise des prêts de la CEBA, le soutien de 49 milliards de dollars du gouvernement aux entreprises touchées par la pandémie, les subventions salariales et locatives, et l’importance de recueillir les commentaires des entreprises, en reconnaissant en particulier les difficultés persistantes rencontrées par les secteurs du tourisme et de la restauration.
  • Elle a souligné l’importance du Programme canadien d’adoption des technologies numériques pour les PME qui cherchent à adopter les technologies numériques, en couvrant des dépenses telles que l’équipement informatique, la mise en œuvre de la technologie, la formation du personnel, ainsi que le matériel et les services de soutien connexes.

Jodie Parmar, chef du développement de projets pour l’Ouest du Canada à la Banque de l’infrastructure du Canada, s’est entretenue avec notre premier vice-président de la politique et des relations gouvernementales, Matthew Holmes, et a répondu aux questions de l’auditoire sur les façons de financer les projets d’infrastructure et les possibilités de partenariat avec la BIC.

Plus de conversations politiques 

Notre vice-président et chef adjoint des relations gouvernementales, Robin Guy, a accueilli Shuvaloy Majumdar, récemment élu député de Calgary Heritage, pour partager les réflexions de l’Opposition officielle sur les petites entreprises au Canada.

Il y a deux indicateurs qui ont une véritable importance: le nombre d’emplois que nous créons et le montant des investissements dans les projets canadiens.

Shuvaloy Majumdar, Récemment élu député de Calgary Heritage

Principaux points à retenir

  • Le député Majumdar a fait part de ses principales priorités en tant que nouveau membre du Parlement, soulignant que les préoccupations de Calgary correspondent à celles de l’ensemble du Canada. Il a souligné l’importance de renforcer le secteur de l’énergie pour soutenir une économie forte.
  • Il a souligné le rôle important que joue la géopolitique dans les chaînes d’approvisionnement du Canada et l’intérêt national d’accélérer la livraison de nos ressources énergétiques sur le marché.
  • Il a également discuté de la manière dont les entreprises peuvent contribuer activement à la croissance économique en limitant les risques et en profitant de nouvelles opportunités. Il a souligné le rôle du gouvernement à cet égard en créant des mécanismes visant à atténuer les risques pour les PME qui pénètrent sur divers marchés. En outre, il a insisté sur la nécessité pour le gouvernement d’élaborer des plans d’accélération du commerce dans les 14 principaux secteurs économiques afin de permettre aux entreprises canadiennes de s’engager dans ces initiatives.

Les données, c’est amusant, n’est-ce pas? 📈 C’est ce que nous croyons! 

Notre équipe du Laboratoire de données sur les entreprises a prouvé que les bonbons peuvent être l’ultime source de motivation lors d’une présentation interactive au cours de laquelle ils ont fait passer aux participants un questionnaire sur les produits offerts par le LDE.

Merci Calgary, bonjour Halifax!

Patrick Sullivan, président et chef de la direction de la Chambre de commerce de Halifax, invite les délégués à se rendre dans l’Est pour la #CCCAGM24.

Notre soirée festive de clôture au Rooftop YYC a été inoubliable. 😉 Merci à Pathways Alliance pour sa contribution à la soirée.

Nous remercions tous nos participants et à tous nos commanditaires pour leurs contributions et pour s’être joints à nous lors de la fin de semaine dernière. Nous tenons également à remercier le Hyatt Regency Calgary pour son hospitalité.

Blog /

La cyberdéfense est un sport d’équipe : les principales conclusions de notre Sommet exécutif sur la cybersécurité

La cyberdéfense est un sport d’équipe : les principales conclusions de notre Sommet exécutif sur la cybersécurité

Le mercredi 4 octobre, nous avons tenu notre Sommet exécutif sur la cybersécurité, animé par Ulrike Bahr-Gedalia, directrice principale de l’économie numérique, de la technologie et de l’innovation, et directrice du conseil de la campagne la cybersécurité.dès.maintenant de la Chambre de commerce du Canada.

Le mercredi 4 octobre, nous avons tenu notre Sommet exécutif sur la cybersécurité, animé par Ulrike Bahr-Gedalia, directrice principale de l’économie numérique, de la technologie et de l’innovation, et directrice du conseil de la campagne la cybersécurité.dès.maintenant de la Chambre de commerce du Canada.

Les participants se sont réunis virtuellement pour écouter des acteurs influents de l’industrie parler de l’importance de la sécurisation de notre monde numérique. Le sommet s’est concentré sur les implications économiques de la cybercriminalité, le rôle de l’intelligence artificielle (IA) dans la cybercriminalité et la cybersécurité, et la nécessité pour les entreprises de toutes tailles d’être proactives dans la sécurisation de leurs organisations.

La cybercriminalité est une menace pour notre économie et notre sécurité nationale, et lorsqu’il s’agit de prévenir les attaques, tout le monde a un rôle à jouer. Voici les principales conclusions du sommet!

Présentation du gouvernement et conférencière d’honneur : Caroline Xavier, chef du Centre de la sécurité des télécommunications

Introduction par Atsushi Yamada, chef de la direction, ISARA Corporation. Discussion animée par David Shipley, chef de la direction de Beauceron Security et coprésident du Comité de la campagne la Cybersécurité.dès.maintenant de la Chambre de commerce du Canada.

Principaux points à retenir :

  • La cybercriminalité est omniprésente et touche les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs.
  • Elle évolue en permanence et est devenue plus sophistiquée avec l’essor de technologies comme l’IA générative. Mais ces mêmes technologies peuvent aussi être utiles à la cyberdéfense.
  • Les petites entreprises pensent souvent qu’elles n’ont rien de valeur à offrir aux cybercriminels. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Les grandes organisations (comme les infrastructures essentielles) peuvent être des cibles plus lucratives, mais elles attirent l’attention indésirable des forces de l’ordre et des médias et il faut plus de temps et d’efforts aux cybercriminels pour parvenir à leurs fins Par conséquent, s’ils veulent éviter de se faire remarquer ou pour gagner de l’argent rapidement, ils s’attaquent à des entreprises plus petites. Au cours des deux prochaines années, on prévoit que les cybercriminels cibleront davantage de petites entreprises.
  • La compromission de courriels d’affaires est une cyberattaque coûteuse et courante. Ce type d’attaque utilise votre compte courriel pour envoyer des courriels frauduleux à d’autres personnes. Les criminels peuvent ainsi se faire passer pour vous, votre service de facturation ou votre service de soutien, afin d’obtenir des paiements ou des données personnelles de vos amis, de votre famille ou de vos clients.
  • Les attaques par rançongiciel sont la forme de cybercriminalité la plus connue et la plus perturbatrice. Ces attaques peuvent paralyser les activités de votre organisation. Le montant moyen versé est de 140 000 dollars.
  • Les humains sont le maillon faible des cyberattaques, il est donc important d’améliorer votre cybercompétence en n’oubliant pas de suivre les règles de base, comme apprendre à reconnaître les courriels d’hameçonnage.
  • La plupart des cyberattaques ne sont pas signalées, mais il ne faut jamais sous-estimer la valeur du signalement. On ne sait jamais quand une cyberattaque locale peut être la pièce manquante d’un puzzle international.
  • En collaboration avec les banques et les sociétés de télécommunications, le Centre canadien de cybersécurité (le Centre pour la cybersécurité) a éliminé de nombreuses escroqueries par hameçonnage à la source. Il a également supprimé 600 000 domaines Web malveillants et prévenu plus de 400 organisations avant qu’elles ne soient attaquées. Par ailleurs, le Centre pour la cybersécurité mène des opérations de cybersécurité actives et défensives à l’étranger, et a mené des dizaines d’opérations réussies au cours de ces dernières années. 

Pour en savoir plus sur les travaux du Centre pour la cybersécurité et sur les ressources en matière de cybersécurité qui vous aideront à protéger votre entreprise, consultez le site cyber.gc.ca.

Groupes de discussion

Modérateur :  John de Boer, directeur principal, Affaires gouvernementales et politiques publiques, BlackBerry, et coprésident du programme Cyber. Right. Now. Council.

Participants :

Principaux points à retenir :

  • Les organisations doivent être proactives et savoir prévenir les cyberattaques avant qu’elles ne se produisent. Il existe aujourd’hui suffisamment d’informations pour que vous puissiez sécuriser votre entreprise.
  • Le savoir, c’est le pouvoir. Comprendre les menaces de cybersécurité et leurs ramifications est la première étape pour les combattre.
  • La vitesse à laquelle le paysage des menaces évolue est alarmante. Le télétravail à distance a changé la façon dont les organisations font des affaires, ajoutant de nouvelles complexités à la sécurisation des actifs de votre organisation, et créant une plus grande surface de la chaîne d’approvisionnement ouverte au risque.
  • Les deux camps, attaquants et défenseurs, innovent. Dans cette course, il est important que les défenseurs deviennent plus prévoyants et proactifs.
  • La sécurité passe au second plan pour de nombreuses entreprises, mais au lieu d’ignorer cette question ou de se lancer sans avoir fait suffisamment de recherches, faites une pause et procédez à un audit de votre organisation et de vos outils de sécurité. Déterminez les aspects critiques de votre organisation et créez des couches de défense autour d’eux. Cherchez à tirer le meilleur parti de vos outils de sécurité.
  • Le personnel est souvent le maillon faible de la cybersécurité, car on n’y investit généralement pas assez. Les employés ne reçoivent pas la formation nécessaire ou l’organisation ne développe pas une culture de la sécurité.
  • La technologie est souvent la première chose vers laquelle nous nous tournons parce qu’elle semble être la bonne solution, mais si les gens ne la comprennent pas ou ne savent pas comment l’utiliser, ils chercheront des moyens de la contourner, introduisant ainsi plus de risques dans le système.
  • Les organisations qui s’inquiètent de l’impact de la sécurité sur l’expérience des utilisateurs devraient « intégrer » la sécurité dès le départ, au lieu de la « rafistoler » par la suite. Vous pouvez même améliorer l’expérience de l’utilisateur final grâce à la sécurité et utiliser la promesse de celle-ci comme outil de marketing auprès de vos clients.

Visitez notre site Web pour en apprendre plus sur le travail de représentation de notre campagne Cybersécurité.dès.maintenant pour consolider la position du Canada en tant que leader mondial de la cybersécurité.

Ne manquez pas de jeter un coup d’œil aux prochains événements de notre série de Sommets exécutifs.

Merci à nos sponsors de l’événement

Merci à nos partenaires d’excellence

Blog /

Sillonner le ciel : Six points à retenir de notre Sommet exécutif de l’aviation

Sillonner le ciel : Six points à retenir de notre Sommet exécutif de l’aviation

Pendant ce sommet, nous avons discuté des sujets suivants : Les stratégies d’investissement des autorités aéroportuaires, le soutien aux aéroports régionaux, la durabilité, la compétitivité, une vision collective du secteur et l’énergie.

Ottawa, ON | 25 septembre 2023.

Le 25 septembre, des dirigeants d’entreprise et des représentants du gouvernement se sont retrouvés au Centre national des Arts du Canada à l’occasion de notre Sommet exécutif de l’aviation : L’avenir du secteur aéronautique canadien. Le sommet constituait une plateforme unique pour discuter, analyser et envisager l’avenir de ce secteur stratégique. Pendant ce sommet, nous avons discuté des sujets suivants : Les stratégies d’investissement des autorités aéroportuaires, le soutien aux aéroports régionaux, la durabilité, la compétitivité, une vision collective du secteur et l’énergie.

Ce qui s’est dit et l’avenir du secteur de l’aviation au Canada ?

Voici les principaux points à retenir de ces discussions très intéressantes :

Investissement

Pour stimuler la croissance et la compétitivité du secteur de l’aviation, il est essentiel de donner aux autorités aéroportuaires canadiennes une plus grande liberté pour attirer les investissements, tant nationaux qu’internationaux.

Aéroports régionaux

Les aéroports régionaux jouent un rôle crucial en reliant les petites communautés aux grands aéroports. Ils servent de relais aux grands aéroports, en proposant des vols intérieurs et en reliant les passagers aux plateformes de voyage internationales.

Durabilité

Le secteur reconnaît la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’évoluer vers un avenir sans carbone. Cela implique d’adopter de nouvelles technologies et des sources de carburant de remplacement, comme les biocarburants et la propulsion électrique, afin de rendre le transport aérien plus respectueux de l’environnement.

Une vision collective

La collaboration est essentielle dans le secteur de l’aviation, qui implique des parties prenantes telles que les aéroports, les compagnies aériennes, les organismes de réglementation et les associations professionnelles. Compte tenu de la complexité de l’écosystème, il est essentiel que ces acteurs travaillent ensemble pour relever les défis et stimuler l’innovation.

Énergie

Permettre aux aéroports de produire leur propre énergie n’apporte pas seulement des avantages environnementaux, mais renforce également la résilience du secteur de l’aviation, tout en permettant aux communautés locales de disposer d’une énergie propre et fiable.

Concurrence

Le vieillissement des infrastructures aéroportuaires, notamment les terminaux, les pistes et les systèmes de contrôle du trafic aérien, constitue une préoccupation majeure. Le manque d’investissement des gouvernements dans l’entretien et la modernisation des infrastructures peut entraîner des problèmes qui affectent les horaires de vol et l’expérience des passagers.

Nous tenons à souligner que ce sommet s’est déroulé sur le territoire traditionnel du peuple algonquin Anishnaabeg. La Chambre de commerce du Canada reconnaît et apprécie leur lien historique avec ce lieu. Nous apprécions également les contributions des Inuits, des Métis et des autres peuples autochtones, qui ont contribué à façonner et à renforcer cette communauté, cette province et ce pays.


Série de sommets exécutifs 2023

Notre série de sommets exécutifs nous donne l’occasion d’approfondir les questions que nos dirigeants politiques doivent prendre en considération pour veiller à ce que les politiques publiques favorisent la réussite des entreprises.

Chaque événement donne lieu à des données sur les entreprises et les responsables gouvernementaux les plus influents du Canada, alors que nous nous efforçons de relever nos plus grands défis : l’avenir des personnes, de la technologie, du commerce et du climat. Pour vous inscrire à un prochain événement de la série des sommets exécutifs, veuillez cliquer ici.


Gagnez en impact

Notre réseau donne le meilleur de lui-même lorsque nous nous connectons, apprenons les uns des autres et découvrons de nouvelles idées grâce aux nombreux événements, webinaires et rencontres virtuels et en personne que nous organisons.

Commanditaires principal

Merci à nos partenaires d’excellence

Blog /

5 raisons pour lesquelles la taxe sur les services numériques posera de gros problèmes aux consommateurs et aux entreprises du Canada 

5 raisons pour lesquelles la taxe sur les services numériques posera de gros problèmes aux consommateurs et aux entreprises du Canada 

Votre prochain achat en ligne, votre prochain service de covoiturage, votre prochaine livraison de repas ou vos prochaines vacances pourraient...

Votre prochain achat en ligne, votre prochain service de covoiturage, votre prochaine livraison de repas ou vos prochaines vacances pourraient bientôt coûter encore plus cher si la taxe sur les services numériques (TSN) entre en vigueur le 1er janvier 2024.

La nouvelle taxe sur les services numériques imposera les revenus générés par les grandes entreprises étrangères et nationales sur les services en ligne, y compris les plateformes de vente, la publicité et les médias sociaux, mais ses effets seront ressentis par les consommateurs canadiens comme vous, à la fois à court et à long terme.

Le moment ne pourrait pas être plus mal choisi : l’accessibilité financière est actuellement au cœur des préoccupations de presque tous les Canadiens, et les préoccupations liées aux coûts constituent six des dix principaux obstacles commerciaux prévus au cours des trois prochains mois, selon le rapport de l’Enquête canadienne sur la situation des entreprises du troisième trimestre 2023 publié par le Laboratoire de données sur les entreprises.

Bien qu’elle n’entre pas en vigueur avant 2024, la taxe sur les services numériques est une taxe rétroactive, ce qui signifie qu’elle s’appliquera également aux revenus gagnés par les entreprises en 2022 et 2023. C’est comme si l’ARC vous envoyait une lettre vous demandant de revoir vos déclarations de revenus des deux dernières années et de payer plus maintenant pour une taxe qui n’existait pas à l’époque. Normalement, une taxe rétroactive comme celle-ci n’est appliquée que dans des circonstances exceptionnelles, mais le gouvernement n’a pas encore expliqué en quoi la TSN relève de cette catégorie.

Si cette nouvelle taxe sur les services n’est pas abandonnée, elle aura des répercussions négatives sur votre vie quotidienne et sur l’économie canadienne. Découvrez comment :

Les services numériques de tous les jours coûteront plus cher

Ce sont les entreprises qui paient la taxe, mais vous en subirez aussi les conséquences. Le coût réel de cette taxe sera finalement répercuté sur les consommateurs sous la forme de prix plus élevés pour les services numériques de tous les jours. Par exemple, vos achats en ligne ou la location de votre chalet pour un long week-end pourraient coûter plus cher à partir de 2024. Cette mise en garde n’est pas sans fondement : en France, la taxe sur les services numériques a entraîné une hausse des prix des services estimée à 2 ou 3 % pour les consommateurs.

Les programmes de fidélisation des clients seront moins avantageux

Les entreprises dotées de programmes de fidélisation numériques tomberont presque certainement dans le champ d’application de cette nouvelle taxe sur les services, de sorte que même si vous payez davantage pour les biens et services, les points obtenus dans les magasins de détail, les épiceries et les voyages verront leur valeur diminuer pour tenir compte de la taxe. À titre d’exemple, supposons que 1 000 points vous permettent d’obtenir un rabais de 10 $ avant l’entrée en vigueur de la TSN. Après l’entrée en vigueur de la TSN, 1 000 points vous donneront droit à une réduction de 5 $.

Avec une taxe supplémentaire réduisant les revenus, les entreprises ne seraient plus aussi motivées pour innover dans leurs programmes de fidélisation et récompenser les acheteurs fréquents, ce qui pourrait réduire la fidélité à long terme des consommateurs.

La croissance des entreprises et l’innovation diminueront

La nouvelle taxe sur les services étant rétroactive, la mise en œuvre et le respect de la TSN constitueront un énorme casse-tête administratif pour les entreprises, en particulier pour celles qui opèrent également dans des pays étrangers. Au lieu de consacrer leur temps et leur argent à l’innovation ou à la croissance pour vous fournir de meilleurs services numériques, les entreprises devront consacrer ces précieuses ressources à s’assurer qu’elles paient le bon montant de la taxe.

Les jeunes entreprises et les petites entreprises seront les plus touchées

Cette taxe sur les services pourrait affecter de manière disproportionnée les jeunes entreprises et les petites entreprises (de 1 à 99 employés rémunérés). Étant donné que la TSN taxe les revenus plutôt que les bénéfices, ces organisations auront moins de ressources à réinvestir dans leurs activités et devront déployer des efforts pour se conformer à la taxe, comme nous l’avons déjà mentionné. Dans le cas des entreprises en démarrage, particulièrement dans le domaine de la technologie, la taxe pourrait les pénaliser pour la création de services numériques novateurs, freiner considérablement leur croissance et décourager le dynamisme de l’industrie.

Sachant que le dernier Rapport sur l’innovation du Conference Board du Canada nous classe 11e sur 16 pays de référence, nous ne pouvons pas nous permettre de dissuader nos jeunes entreprises et nos petites entreprises d’innover plus que ne le font déjà les politiques actuelles et le manque d’incitations.

Les relations commerciales du Canada seront ébranlées

Les États-Unis, notre principal partenaire commercial, s’opposent fermement aux taxes numériques unilatérales comme la TSN. En fait, lorsque le gouvernement canadien a annoncé son intention de mettre en œuvre cette taxe, Washington a exprimé ses inquiétudes et évoqué la possibilité de prendre d’adopter des sanctions et des mesures de représailles.

La mise en œuvre de la taxe sur les services numériques risque de nuire aux relations commerciales positives et lucratives que le Canada entretient avec les États-Unis. Pour mettre les choses en perspective, nos échanges avec les États-Unis étaient évalués à 960,9 milliards de dollars en 2022, et 2 milliards de dollars d’échanges commerciaux franchissaient chaque jour notre frontière terrestre. En revanche, selon les estimations les plus généreuses, la TSN rapportera moins d’un milliard de dollars par an au cours des cinq prochaines années.

L’insistance du Canada à mettre en œuvre la taxe l’année prochaine va nuire aux relations diplomatiques et économiques avec les États-Unis, ainsi qu’avec d’autres pays qui ont mis en veilleuse leurs éventuelles taxes sur les services numériques ou qui considèrent qu’une telle taxe est discriminatoire.

D’autres préoccupations ont été soulevées au sujet de la TSN. Notamment, le risque de double prélèvement puisque certaines transactions et des revenus numériques sont déjà taxés, la confusion et la complexité qui entourent la définition d’un service taxable, l’atteinte potentielle à la réputation de coopération du Canada. Et elles mènent toutes à la même conclusion : cette nouvelle taxe sur les services numériques créera des problèmes pour les consommateurs et les entreprises du Canada, à un moment où l’on se préoccupe de plus en plus de l’accessibilité financière.

À court terme, vous ressentirez les effets de cette taxe lorsque le coût de vos services numériques quotidiens augmentera et que la valeur de vos programmes de récompenses diminuera. À long terme, la taxe sur les services numériques entravera la capacité du Canada à innover, à se développer et à rester compétitif sur les marchés internationaux. Et cela, personne d’entre nous ne peut se le permettre.


Blog /

Enjeux politiques : La Journée nationale de la vérité et de la réconciliation

Enjeux politiques : La Journée nationale de la vérité et de la réconciliation

Le 30 septembre marque la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, qui commémore et honore les quelque 150 000 enfants autochtones qui ont fréquenté les pensionnats autochtones au Canada et dont bon nombre ne sont jamais revenus à la maison. 

Le 30 septembre marque la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, qui commémore et honore les quelque 150 000 enfants autochtones qui ont fréquenté les pensionnats autochtones au Canada et dont bon nombre ne sont jamais revenus à la maison. 

La désignation de cette journée répond directement à l’appel à l’action no 80 de la Commission de vérité et de réconciliation, qui souligne l’importance d’une « … journée nationale de la vérité et de la réconciliation pour honorer les survivants, leurs familles et leurs collectivités et s’assurer que la commémoration de l’histoire et des séquelles des pensionnats demeure un élément essentiel du processus de réconciliation. »

Le problème des politiques

Le système des pensionnats autochtones au Canada a servi à éliminer les cultures autochtones. Les conséquences de ce système sur les peuples autochtones ont été profondes et se perpétuent encore aujourd’hui. Voici quelques exemples des conséquences que les pensionnats autochtones ont eues (et continuent d’avoir) sur les peuples autochtones :

  • Pertes culturelles, identitaires et linguistiques : Les enfants qui ont fréquenté les pensionnats autochtones se sont vu interdire de parler leur langue et de pratiquer leurs traditions culturelles.
  • Abus physiques, mentaux et sexuels : De nombreux enfants autochtones ont subi des violences physiques, mentales et sexuelles de la part du personnel de l’école.
  • Perte des liens familiaux et communautaires : Les enfants ont été retirés de force de leur famille et de leur communauté dans le but de les assimiler à la culture canadienne.
  • Traumatisme intergénérationnel : Le traumatisme subi par les survivants des pensionnats autochtones s’est transmis de génération en génération et peut se manifester de nombreuses façons.
  • Perte de terres et de ressources : Les politiques d’assimilation, dont les pensionnats autochtones font partie, ont entraîné une perte supplémentaire de terres et de ressources autochtones.
  • Disparités sanitaires et socio-économiques par rapport aux Canadiens non autochtones.

Comme le soulignent les appels à l’action de la Commission Vérité et Réconciliation (CVR), il est important que la Journée nationale pour la vérité et la réconciliation soit un jour férié pour permettre la réflexion et la commémoration. Le gouvernement fédéral a fait du 30 septembre un jour férié pour ses travailleurs et les lieux de travail sous réglementation fédérale.

Toutefois, il appartient à chaque province et territoire de décider si ce jour est un jour férié pour les travailleurs des entreprises, des écoles et des administrations publiques. Voici ce qu’il en est pour chaque province et territoire :

Colombie-Britannique : Il s’agit d’un jour férié provincial.

Alberta : Le gouvernement de l’Alberta n’a pas fait du 30 septembre un jour férié, laissant aux employeurs le soin de décider si les travailleurs ont ou non ce jour de congé.

Saskatchewan : La Saskatchewan ne compte pas ajouter de nouveaux jours fériés pour le moment.

Manitoba : Le gouvernement du Manitoba observe cette journée pour la troisième année consécutive. Les discussions se poursuivent pour en faire un jour férié. Les écoles et les services gouvernementaux non essentiels seront fermés.

Ontario : La journée n’est pas un jour férié dans la province.

Québec : La province ne prévoit pas de faire du 30 septembre un jour férié.

Nouvelle-Écosse : C’est la troisième année que la province commémore cette journée. Les bureaux du gouvernement provincial, les écoles publiques, les garderies subventionnées et les autres services publics non essentiels seront fermés. Les entreprises peuvent continuer à fonctionner comme d’habitude.

Nouveau-Brunswick : La province a récemment désigné le 30 septembre comme un jour férié provincial.

Île-du-Prince-Édouard : Ce jour est un jour férié.

Terre-Neuve-et-Labrador : Le 30 septembre est un jour férié, mais pas un jour de congé légal.

Nunavut : Ce jour est un jour férié.

Territoires du Nord-Ouest : Ce jour est un jour férié.

Yukon : Ce jour est un jour férié.

Bien que la journée ne s’applique pas automatiquement aux municipalités, nombre d’entre elles ont choisi de faire du 30 septembre un jour férié.

Bien que cette journée ne soit pas un jour férié dans toutes les provinces et tous les territoires, elle revêt une signification symbolique en tant qu’étape vers la reconnaissance des injustices du passé et vers un avenir plus juste et plus inclusif.

Affaires et réconciliation

En 2015, la Commission de vérité et de réconciliation du Canada a présenté un rapport final comprenant 94 « appels à l’action » destinés à faire progresser la réconciliation entre les Canadiens et les peuples autochtones.

L’appel no 92 s’adresse spécifiquement au monde des affaires :

Solutions politiques

En utilisant ce cadre, il existe un certain nombre de politiques gouvernementales et d’entreprises qui peuvent contribuer à faire progresser la réconciliation économique. En voici quelques exemples :

Que nous réserve l’avenir?

La réconciliation autochtone est un processus complexe et multiforme qui exige des efforts soutenus de la part des gouvernements, des institutions et de la société dans son ensemble. En raison de sa complexité, il n’existe pas de solution unique. Toutefois, les entreprises peuvent prendre certaines mesures pour faire progresser la réconciliation autochtone.

Pour les employeurs?

  • Proposer des initiatives éducatives aux employés, comme des ressources et des séances de formation sur l’histoire des peuples autochtones, la colonisation et les pensionnats autochtones, afin de favoriser la compréhension.
  • Veiller à ce que les voix autochtones soient représentées à tous les niveaux et à ce que des pratiques de recrutement et d’embauche inclusives soient mises en place.

Pour les chambres de commerce?  

  • Participer activement aux événements communautaires. Cela favorise l’engagement et les discussions afin d’établir des relations à long terme avec les communautés autochtones.
  • Établir des partenariats avec les centres d’amitié locaux et collaborer avec les communautés autochtones pour créer des cohortes et des groupes de réflexion où l’on peut partager de l’information.
  • Promouvoir les ressources et les possibilités de formation pour les personnes et les entreprises autochtones et partager des informations par le biais de plateformes de médias sociaux avec les communautés voisines pour aider à accroître la portée.
  • Augmenter la représentation autochtone dans les conseils d’administration.
  • Envisager d’accueillir ou d’offrir des ateliers ou un accompagnement aux entreprises autochtones.
  • En tant que lieu de rencontre pour les entreprises, favoriser les possibilités d’affaires en mettant en avant les réussites des entreprises autochtones et de la communauté autochtone.

De nombreuses questions restent en suspens. La Journée nationale pour la vérité et la réconciliation est l’occasion de nous rappeler que l’action doit se poursuivre.  Le rapport final de la Commission Vérité et Réconciliation a été remis il y a près de huit ans. Nos progrès ont été lents. Enfin, cette journée peut servir de catalyseur pour continuer à modifier les politiques afin de relever les défis auxquels sont confrontés les peuples autochtones du Canada.

Ressources éducatives

Sources

Blog /

ces insectes trouvent leurs ailes avec le carnet ATA

ces insectes trouvent leurs ailes avec le carnet ATA

Auteur : Kevin Tam, Représentant à l’exportation, Chambre de commerce du Canada Bienvenue dans le monde captivant des sculptures d’insectes, où...

Auteur : Kevin Tam, Représentant à l’exportation, Chambre de commerce du Canada

Bienvenue dans le monde captivant des sculptures d’insectes, où un artiste extraordinaire tisse de la magie à travers ses créations complexes en leur donnant vie.

Quel est donc le rapport entre un sculpteur d’insectes et la Chambre de commerce du Canada ? Sean Goddard, célèbre sculpteur canadien connu pour ses œuvres d’art exquises sur les insectes, est un utilisateur régulier du carnet ATA et a traversé les méandres des douanes sans effort, ce qui lui a permis d’exposer ses créations dans le monde entier.

Ensemble, explorons comment la créativité n’a pas de frontières et plongeons-nous dans l’interaction intrigante entre l’art et la logistique internationale.

Qui est Sean Goddard ?

Sean Goddard, originaire de Mississauga en Ontario, a commencé à travailler le verre alors qu’il vivait à Whistler dans les années 1990. Son aventure a commencé comme un passe-temps pour lui et s’est développée en une petite entreprise. Ses œuvres ont été exposées dans des galeries locales et lors d’événements prestigieux dans tout le nord-ouest du Pacifique. Actuellement, il crée ses sculptures sur l’île de Salt Spring, en Colombie-Britannique.

Le carnet pour les œuvres d’art

            De nombreux artistes comme Sean exposent au niveau international et les douanes traitent les œuvres d’art comme n’importe quelle marchandise importée. Cela signifie que les marchandises doivent être dédouanées lorsqu’elles entrent dans un pays étranger, même si elles reviennent au Canada. Par conséquent, des taxes à l’importation peuvent s’appliquer, ce qui peut être évité en utilisant un document douanier international pour l’importation temporaire de marchandises, appelé carnet ATA.

            « Le carnet est un outil incroyable pour mon entreprise. Après des années de traversées de frontières à des fins professionnelles avec des factures de douane et d’autres formulaires, le carnet ATA a simplifié mes voyages à l’étranger et le passage des frontières. En tant qu’artiste, le fait de présenter des échantillons de mon travail et de garder mes œuvres sur mes murs d’exposition pendant tout un voyage à l’étranger m’a permis d’entrer en contact avec un plus grand nombre de clients potentiels. Après deux ans, la demande pour mes œuvres est sans précédent. »

– Sean Goddard
Figure 1 Sculptures créées par Sean Goddard

Découvrez le parcours artistique de Sean

            La fascination de l’artiste pour les insectes a commencé lorsque son ami lui a offert un livre sur les coléoptères intitulé « An Inordinate Fondness for Beetles » (ou « Une affection démesurée pour les coléoptères » en français). Sean ne s’était jamais intéressé à l’art sur le thème des insectes, mais le livre l’a incité à créer son premier coléoptère. Il s’agissait d’une œuvre très rudimentaire par rapport à ses sculptures actuelles, mais sa création a suscité l’intérêt des gens. Cette réaction positive a encouragé Sean à approfondir son intérêt pour le sujet. Le verre et le métal sont devenus des matériaux parfaits pour capturer les détails complexes et les caractéristiques délicates des insectes, ce qui a conduit l’artiste sur la voie de l’exploration et de l’épanouissement artistique.

            Sur son parcours artistique, l’artiste exprime un sentiment de gratitude : « Le parcours artistique, lorsqu’il s’agit de votre gagne-pain, est très similaire à la détermination que l’on doit mettre dans n’importe quelle entreprise, grande ou petite, pour avoir du succès. Je suis reconnaissant du soutien de mes clients et, même si je travaille de longues heures, j’ai la chance de créer des œuvres! »

Pour les artistes qui souhaitent transcender les frontières, le carnet ATA offre une solution concrète. Tout comme les insectes de Sean ont trouvé leurs ailes grâce à ce carnet, vos aspirations artistiques peuvent elles aussi s’élever vers des sommets inimaginables.

            Les carnets ATA peuvent être utilisés pour toutes sortes de marchandises, y compris les arts, qu’il s’agisse de sculptures, de techniques mixtes, de dessins, de peintures, de gravures, d’installations ou d’arts de la scène.

Le carnet ATA ouvre la voie à la vente, à l’expansion et à l’exposition de vos marchandises. Il est valable pour une période d’un an, pour plusieurs destinations, plusieurs fois, et permet l’importation en franchise de droits et de taxes. Les économies et la facilité de dédouanement sont deux des principaux avantages qui vous permettent d’atteindre vos objectifs artistiques à l’échelle internationale.

Découvrez son travail ici : https://seangoddardinsects.com/

Pour que votre prochain voyage d’affaires se déroule sans encombre, obtenez votre carnet ATA ici :

Blog /

Enjeux politiques : Le plan directeur de la Chambre de commerce du Canada pour une économie plus forte

Enjeux politiques : Le plan directeur de la Chambre de commerce du Canada pour une économie plus forte

Qu’est-ce qu’un mémoire prébudgétaire? Vous êtes-vous déjà demandé comment le gouvernement planifie ses dépenses? Pensez au budget fédéral comme à...

Qu’est-ce qu’un mémoire prébudgétaire?

Vous êtes-vous déjà demandé comment le gouvernement planifie ses dépenses?

Pensez au budget fédéral comme à une feuille de route financière décrivant les priorités du gouvernement, des soins de santé à l’éducation en passant par l’infrastructure. Toutefois, avant qu’il ne soit finalisé, une période de consultation est organisée au cours de laquelle des parties prenantes représentant tous les secteurs de l’économie font part de leurs points de vue et de leurs recommandations.

Ces idées sont communiquées par le biais de mémoires prébudgétaires au Comité permanent des finances du gouvernement, qui permettent aux parties prenantes de faire part de leur expertise et de leurs recommandations sectorielles.

Chaque année, la Chambre de commerce du Canada présente un mémoire qui est suivi d’une lettre adressée au ministre des Finances. Ces recommandations sont communiquées aux membres du réseau de la Chambre du Canada, qui les utilisent dans leur travail de défense des intérêts.

L’importance de notre contribution

Les gouvernements ont besoin de connaître l’avis des parties prenantes qui ont une expérience concrète du fonctionnement de l’économie au quotidien.

Les associations comme la Chambre de commerce du Canada offrent une perspective essentielle. Nos recommandations ont le poids des opinions de 200 000 membres sur des questions d’intérêt économique commun. Lorsque nous soumettons des recommandations au cours de la période de consultation, c’est notre première chance de veiller à ce que le budget fédéral réponde aux besoins des entreprises canadiennes en encourageant la croissance, la création d’emplois et les investissements judicieux.

Pleins feux sur les enjeux

Si nous ne prenons pas de mesures décisives pour stimuler notre croissance économique, notre niveau de vie et les services essentiels offerts aux Canadiens seront menacés.

Nous encourageons le gouvernement à relever plusieurs défis de longue date. Des réglementations trop complexes freinent la croissance et empêchent les entreprises de réaliser tout leur potentiel. Les barrières commerciales interprovinciales créent un labyrinthe qui entrave la libre circulation des biens et des services à travers le pays. Enfin, la lourdeur du régime fiscal ne fait que semer la confusion et donner des maux de tête aux chefs d’entreprise.

Mais ce n’est pas tout. Les perturbations de la chaîne d’approvisionnement sont comme des rebondissements inattendus dans ce récit économique. Les récentes interruptions de travail dans les ports de la côte ouest du Canada ont créé une incertitude généralisée, portant préjudice à notre économie et ternissant notre réputation sur la scène internationale. L’intrigue se complique encore avec la taxe sur les services numériques, une disposition juridique complexe qui risque d’entraîner une double imposition sur les revenus et de susciter la menace de représailles commerciales.

La Chambre de commerce du Canada est consciente de ces défis. Dans notre mémoire prébudgétaire, nous cherchons à tourner la page vers un rajeunissement de l’économie, une simplification de la réglementation, un commerce interprovincial et international plus fluide et des stratégies pour faire face aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement.

Des solutions qui font la différence

Que proposons-nous donc dans notre mémoire?

Quelles sont les prochaines étapes?

Le mémoire prébudgétaire de la Chambre de commerce du Canada n’est pas un simple document, c’est un plan d’action pour le progrès.

Ces recommandations ouvrent la voie à un paysage économique canadien plus fort et plus résilient. Alors que les décideurs politiques se penchent sur les détails, nous espérons que ces idées seront intégrées dans les fondements mêmes du budget.

S'inscrire à notre bulletin d'information

Inscrivez-vous pour recevoir les dernières nouvelles de la Chambre de commerce du Canada.