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Les moments forts de notre série de sommets exécutifs 2022

Les moments forts de notre série de sommets exécutifs 2022

Cette série nous a permis de jeter un regard approfondi sur les enjeux que nos dirigeants politiques doivent prendre en...

Cette série nous a permis de jeter un regard approfondi sur les enjeux que nos dirigeants politiques doivent prendre en compte pour veiller à ce que les politiques publiques favorisent la réussite des entreprises.

Au cours de la dernière année, nous nous sommes penchés sur cinq secteurs dans le cadre de notre série : les minéraux critiques, la santé et les sciences de la vie, les relations canado-américaines, l’intelligence artificielle et, plus récemment, l’environnement, le social et la gouvernance (ESG).

Chaque événement a donné lieu à des conversations éclairantes avec certains des chefs d’entreprise et des représentants gouvernementaux les plus influents du Canada, alors que nous nous efforçons de relever nos plus grands défis : l’avenir des personnes, de la technologie, du commerce et du climat. 

Pour un résumé des principaux enseignements de la série, continuez à lire!

Pour regarder les sessions de notre série à la demande, cliquez ici.


Sommet exécutif sur les minéraux critiques | 23 février

Lors de notre premier sommet exécutif, nous avons discuté de la façon dont les minéraux critiques sont essentiels à la réussite économique de notre pays. La première table ronde a souligné l’importance des minéraux critiques pour l’atteinte de la carboneutralité du Canada, et la seconde a examiné les avantages comparatifs du Canada en matière de commerce et de développement.

Invités vedettes :

  • L’hon. Jonathan Wilkinson, ministre des Ressources naturelles, Gouvernement du Canada

Panel de discussion : Les minéraux critiques et l’avenir de la carboneutralité au Canada

  • Modérateur
    • Scott MacKenzie, gestionnaire national principal, Affaires extérieures, Toyota
  • Panélistes
    • Chris Doornbos, chef de la direction, E3 Metals Corp.
    • Stéphane Leblanc, directeur général, Rio Tinto Fer et Titane
    • Kunal Phalpher, directeur de la stratégie, Li-Cycle

Panel de discussion :Avantages et défis du Canada en matière de durabilité 

  • Modératrice
    • Katie Fedosenko, gestionnaire, Innovation durable, Teck
  • Panélistes
    • Sarah Fedorchuk, vice-présidente, Affaires gouvernementales et publiques, The Mosaic Company
    • JP Gladu, fondateur, Mokwateh
    • Pierre Gratton, président et chef de la direction, L’Association minière du Canada

Principaux points à retenir :

  • La Banque mondiale prévoit que la production de minéraux comme le graphite, le lithium et le cobalt devra augmenter de 500 % d’ici 2050 pour alimenter la transition énergétique. Le Canada est l’un des principaux producteurs mondiaux de certains de ces minéraux.
  • Plus de 120 pays se sont engagés à atteindre la carboneutralité d’ici 2050, ce qui signifie :
    • Les systèmes énergétiques mondiaux doivent subir des changements fondamentaux.
    • Il y aura une demande importante pour les minéraux critiques.
  • Le Canada doit mettre en œuvre une stratégie efficace en matière de minéraux critiques.
    • Il est essentiel de renforcer l’image de marque mondiale du pays comme fournisseur sûr et durable pour les marchés nationaux et internationaux.
    • Contribuer à la promotion des investissements nécessaires à l’expansion des stocks nationaux de minéraux critiques et des chaînes d’approvisionnement.
  • Le Canada doit accroître sa production et sa capacité de traitement des minéraux critiques au niveau national :
    • En mettant en place une politique réfléchie.
    • En tirant parti de la richesse des ressources pour créer des emplois tout en reconnaissant sa responsabilité de protéger le monde qui nous entoure.
  • Le Canada devrait saisir l’occasion de bâtir toute une industrie au sein du mouvement des minéraux critiques avec une intégration verticale au pays.
    • Le pays a un rôle important à jouer dans la démondialisation de la chaîne d’approvisionnement.
    • À l’heure actuelle, le Canada a l’habitude d’expédier la matière première en Asie et en Europe et de la racheter, mais nous devons construire ces choses localement.
  • JP Gladu a expliqué comment il peut y avoir une grande déconnexion entre les gens, les marchés et nos secteurs, les réductions de GES et la carboneutralité.
    • Un exemple est la Chine, qui est un énorme producteur de batteries utilisant du charbon, et pourtant notre monde récompense cela en achetant cette chaîne d’approvisionnement.

Conseils pratiques pour les entreprises :

  • Veillez à ce que les entreprises travaillent avec les communautés autochtones où des mines sont proposées.
  • Pensez aux problèmes environnementaux importants qui devront être réglés en amont, ce qui peut nous aider à obtenir le permis dont nous avons besoin pour veiller à ce que nous puissions mener à bien ces projets de manière durable.
  • La rapidité est essentielle dans notre engagement en faveur de la carboneutralité. La concurrence entre les pays est féroce et nous devons travailler ensemble pour voir comment nous pouvons développer rapidement d’autres processus et produits.
  • Les entreprises doivent imposer un changement de culture à l’interne et faire en sorte que l’équipe de direction, la main-d’œuvre et les collectivités locales comprennent l’importance du changement.

« Les ressources naturelles du Canada peuvent, doivent et vont constituer le fondement d’un avenir plus propre et plus prospère, alors que nous sommes aux prises avec les répercussions d’un climat changeant. »

L’honorable Jonathan Wilkinson, ministre des Ressources naturelles

« Il faut se sentir concerné, croire et ensuite agir. »

JP Gladu, fondateur, Mokwateh

Sommet exécutif sur Le chemin vers la prévention des pandémies : ce dont l’écosystème des sciences de la vie et de la santé a besoin aujourd’hui | 13 avril

Notre deuxième sommet exécutif a donné lieu à deux tables rondes dirigées par des personnalités éminentes des secteurs canadiens de la santé et de l’industrie pharmaceutique. Ils ont discuté de la façon dont le Canada peut créer une approche écosystémique pour l’industrie des sciences de la vie et de la façon dont le secteur peut travailler à une plus grande résilience face aux pandémies. 

Invités vedettes :

  • L’honorable Jean-Yves Duclos, Ministre de la Santé
  • Gordon McCauley, président et chef de la direction, adMare BioInnovations

Panel de discussion :Améliorer le rendement de nos systèmes de santé

  • Modérateur
    • Jodi Butts, WATSON Advisors Inc.
  • Panélistes
    • James Brodie, directeur général, Canada, Johnson & Johnson Medical Devices Companies
    • Andrea Marazzi, chef, Organisation nationale pharmaceutique, Novartis Pharmaceuticals Canada
    • Docteure Jenisa Naidoo, Agente scientifique en chef, Dynacare

Pause santé avec discussion vidéo en tête-à-tête : Regardez ici

Panel de discussion : Positionner les sciences de la vie comme un vecteur de croissance économique

  • Modérateur
    • Gordon McCauley, président et chef de la direction, adMare BioInnovations
  • Panélistes
    • Pamela Fralick, présidente, Médicaments novateurs Canada
    • Andrew MacIsaac, chef de la direction, Applied Pharmaceutical Innovation
    • Marina Massingham, chef de la direction, Aifred Health

Principaux points à retenir :

  • La COVID-19 a rendu notre système encore plus vulnérable et fragile.
  • Historiquement, les gens ont toujours considéré les soins de santé comme une dépense, mais il s’agit d’un investissement considérable.
  • En raison de la COVID-19, les Canadiens comprennent mieux la valeur de la science, de la recherche et du développement, de la biofabrication, etc.
  • Voici comment le secteur des sciences de la vie peut aider le système de santé à se rétablir :
    • Veiller à ce qu’il y ait des points de contact plus pratiques pour les gens, c’est-à-dire rapprocher les soins de santé du domicile des gens.
    • Exploiter les meilleures technologies et investir dans une plus grande numérisation du système.
    • Plaider auprès du gouvernement pour trouver des solutions de division du travail, car il faut s’occuper des ressources humaines dans le domaine de la santé.
  • Nous devons mettre en place un cadre politique qui encourage la transposition et l’expansion des entreprises au Canada, tant par des investissements directs du gouvernement que par des politiques.
  • Une certaine forme de financement est nécessaire, car l’accès au capital est difficile.

Conseils pratiques pour les entreprises :

  • Nous devons être plus résilients dans notre capacité à nous adapter à ces nouveaux chocs sanitaires en investissant dans :
    • Une plus grande capacité à gérer et à partager les données.
    • Des investissements plus importants dans la gouvernance de la manière dont nous gérons ces chocs.
    • Une infrastructure et une innovation accrues.
  • Examiner les plans opérationnels et faire correspondre l’offre à la demande, ce qui permettra d’améliorer les résultats et l’expérience des patients.
  • Veiller à ce que le secteur des sciences de la vie évolue en fonction des enseignements tirés de cette pandémie.

« L’intégration des données et la collaboration sont essentielles pour l’avenir. La barre est très haute dans ce domaine. Des enjeux, comme la confidentialité des patients et la cybersécurité, sont primordiaux dans cette discussion et nous avons l’obligation de bien faire les choses. 

James Brodie, directeur général, Canada, Johnson & Johnson Medical Devices Companies

« L’agilité et la rapidité sont les nouvelles règles de base de la différenciation. »

Docteur Jenisa Naidoo, Agente scientifique en chef, Dynacare

Sommet exécutif sur la réorientation des relations canado-américaines vers une sécurité économique et nationale mutuelle | 18 mai

Notre troisième sommet exécutif comportait deux tables rondes : la première était consacrée au renforcement de la base industrielle de défense continentale, et plus particulièrement à la modernisation du Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD). La seconde table ronde s’est penchée sur la façon dont les entreprises peuvent naviguer avec succès dans les relations canado-américaines dans la période actuelle de protectionnisme commercial et de politique des grandes puissances.

Invités vedettes :

  • L’honorable Anita Anand, Ministre de la Défense nationale

Panel de discussion : Renforcer les bases industrielles de la défense continentale

  • Panélistes
    • Kevin Ford, chef de la direction, Calian
    • Nicolas Todd, vice-président, Relations gouvernementales et communications, AICDS
    • Stephen Hampton, directeur, politique publique et affaires gouvernementales, Telesat

Panel de discussion : Gestion des relations canado- américaines à l’ère du protectionnisme commercial et des jeux politiques entre grandes puissances   

  • Modérateur :
    • Sam Boutziouvis, vice-président, Relations gouvernementales et institutions multilatérales de développement et coprésident du comité des affaires internationals, SNC-Lavalin
  • Panélistes:
    • Meredith Lilly, professeure agrégée et titulaire de la chaire Simon Reisman en politique économique internationale, Université Carleton
    • Candace Sider, vice-présidente, Affaires gouvernementales et réglementaires – Livingston International
    • Mike Gladstone, directeur, Affaires externes, Canada, Enbridge

Principaux points à retenir :

  • Le Canada doit démontrer comment ses contributions sont pertinentes pour les intérêts de sécurité des États-Unis.
  • Pour ce qui est de ce à quoi ressemblerait un monde à 2 %, il y a un certain scepticisme quant à la capacité de mobiliser l’industrie de la défense, tant au niveau de l’engagement que de l’approvisionnement.
  • Quatre tactiques importantes ont été discutées pour veiller à la réussite de la modernisation du NORAD, notamment :
    • Développer une stratégie globale qui comprend des objectifs industriels clairs.
    • Consulter l’industrie et veiller à ce qu’elle ait son mot à dire.
    • Créer une communauté d’intérêts canadienne et déterminer quelles entreprises ont de l’intérêt et de l’expérience par rapport à ces capacités en ayant un QIT.
    • Relier les capacités canadiennes au gouvernement, à l’armée et aux chaînes d’approvisionnement et se demander comment permettre aux entreprises canadiennes d’établir des relations avec les entreprises américaines.
  • L’état actuel des relations canado-américaines pose des défis qui sont tout aussi graves, voire pires, sous l’administration Biden.
    • Le protectionnisme américain est fort (républicains et démocrates confondus), ce qui correspond au même climat que sous l’administration Trump.
    • L’objectif du gouvernement américain est de rendre les investissements étrangers et la fabrication en dehors des États-Unis peu attrayants à bien des égards et de veiller à ce que ces emplois restent dans le pays.
  • La guerre de la Russie en Ukraine a eu un impact énorme sur la crise énergétique en Amérique du Nord et a eu des répercussions inflationnistes, un manque d’accès à l’énergie et une crise pour les alliés européens. Ce n’est pas une question de prix de l’énergie, c’est une question d’accès à cette ressource.
    • Le Canada n’a pas l’infrastructure nécessaire, alors nous devons travailler avec les États-Unis pour produire l’énergie et construire l’infrastructure.
  • Nous devons lutter contre le programme Buy America et établir une Équipe Amérique du Nord.
  • Le Canada ne peut pas mettre en péril sa relation avec les États-Unis en les poussant à bout en s’engageant avec la Chine. Nous devons nous tourner vers des pays comme la Corée du Sud, le Japon, l’Inde, etc.

Conseils pratiques pour les entreprises :

  • Il est essentiel pour la sécurité et la défense du Canada d’avoir une idée claire de ce qui est déjà en place et de la direction que prendra la prochaine génération de technologies.

« J’espère qu’une crise ne sera pas nécessaire pour que le système d’approvisionnement réagisse. Ce n’est pas seulement une question gouvernementale, c’est aussi une question de défense. »

Kevin Ford, chef de la direction, Calian

« Les retards de livraison entraînent des conséquences supplémentaires à un moment critique où nous œuvrons à la relance économique. Ce problème doit être en tête des priorités dans le cadre d’un plan stratégique complet. Le temps presse. »

Candice Sider, vice-présidente, Affaires gouvernementales et réglementaires, Livingston International

Sommet exécutif sur L’avenir de l’intelligence artificielle (IA) responsable | 8 juin

Notre quatrième sommet exécutif a tourné les projecteurs sur la façon dont une IA responsable peut donner du pouvoir aux employés et aux entreprises et, lorsqu’elle est utilisée correctement, peut veiller à la longévité de l’économie canadienne. L’événement comprenait une table ronde et deux discours d’experts dans le domaine de l’intelligence artificielle. Les discussions ont permis d’examiner de plus près les questions relatives à l’IA et la façon dont « la responsabilité et la fiabilité » peuvent être des éléments intrinsèques du parcours de l’IA.

Invités vedettes :

  • Catherine Luelo, dirigeante principale de l’information du Canada, sous-ministre au Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada
  • Mehdi Merai, associé, Omnia-IA/Intelligence artificielle et données, chef de la Fabrique IA, Deloitte 

Panel de discussion : Responsabilité et fiabilité en matière d’intelligence artificielle 

  • Modérateur :
    • Farshad Abasi, responsable de la sécurité, Forward Security
  • Participants :
    • Julien Billot, chef de la direction, Scale AI
    • Nidhi Hegde, chercheuse associée et titulaire de la chaire d’IA de l’ICAR Canada, Amii (Alberta Machine Intelligence Institute)
    • Shahram Tafazoli, chef de l’IA, Weir Motion Metrics
    • Brigitte Nolet, président entrant et chef de la direction, Roche Canada Pharma 

Principaux points à retenir :

  • Mesurer le succès de l’IA signifie obtenir un résultat différent et être capable d’automatiser quelque chose que vous ne pouviez pas faire auparavant.
  • Les facteurs associés à la différence de défis pour la mise en œuvre de l’IA dans le gouvernement par rapport au secteur privé :
    • La notion d’échelle est un facteur.
    • Différents profils de risque entre l’entreprise privée et le gouvernement : au gouvernement, on est moins à l’aise avec le prototypage, l’échec et l’essai, cette tendance à ne pas prendre de risque ne se prête pas à ce type de technologie.
    • La vitesse de mise en œuvre : le gouvernement se concentre sur le processus, alors que le secteur privé se concentre sur les résultats.
  • Parce que l’IA utilise des données passives, une conversation nationale doit avoir lieu sur la façon dont nous éduquons les gens à faire partie d’une démocratie numérique, afin que la vie privée des gens soit correctement protégée.
  • Une limite importante de l’IA : l’équité et les préjugés à l’égard de différents groupes ou données démographiques.
    • Il existe de multiples catégories concernant la race, l’âge, le genre, etc. et les résultats ne sont pas équivalents entre les différents groupes démographiques.
  • Le gouvernement joue un rôle crucial dans la fourniture d’une IA fiable.
    • Le secteur privé doit combler ce fossé afin que le gouvernement puisse comprendre l’évolution de la technologie.
  • Les concepteurs et les utilisateurs de l’IA partagent la responsabilité des conséquences de l’IA.

Conseils pratiques pour les entreprises :

  • L’une des compétences les plus difficiles à maîtriser pour les organisations : arrêter quelque chose qui ne donne pas les résultats escomptés. Cela demande du courage, mais c’est nécessaire.
  • Ne pas sous-estimer la gestion du changement et le talent : les données sont un atout stratégique énorme pour une organisation et l’IA est la cerise sur le gâteau.
    • Il est important de passer de la manipulation manuelle des données à l’automatisation.
  • Il y a un gros problème de compétences : nous avons des gens talentueux, mais ils ne sont pas assez nombreux.
  • Les données et la cybersécurité sont des marchés de l’emploi très actifs : il faut réfléchir aux endroits où les compétences adjacentes peuvent être recyclées.

« L’IA est l’une des technologies les plus transformationnelles. Elle n’est pas nouvelle, elle existe depuis plus de 25 ans, »

Catherine Luelo, dirigeante principale de l’information du Canada, sous-ministre au Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada.

« Le système est aussi bon que les données que vous lui fournissez »

Farshad Abasi, directeur de la sécurité, Forward Security.

Sommet exécutif sur les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) | 26 octobre

Lors de notre cinquième et dernier sommet exécutif sur les critères ESG, nous avons discuté des attentes croissantes des investisseurs en matière de divulgation des critères ESG, des défis et des opportunités liés à l’intégration des critères ESG dans les opérations de base des entreprises, et de la manière dont une stratégie ancrée dans des tactiques de durabilité solides crée des opportunités de croissance continue.

Invités vedettes :

  • Robert (RJ) Johnston, Conseiller spécial, Énergie et climat, Groupe Eurasia

Tête à tête avec Faith Goodman, PDG, Goodman Sustainability Group, Fondateur de l’Institut VeriStell et Sean Mallen, ancien chef du bureau européen de Global News : Regardez ici

Panel de discussion : Intégrer les critères ESG dans vos activités

  • Introduction :
    • Justine Hendricks, chef du développement durable, EDC
  • Modérateur :
    • Kent Kaufield, chef du développement durable, EY
  • Panélists :
    • Troy McDonald, trésorier adjoint et gestion des risques (développement durable), Tourmaline Oil Corp
    • David Connelly, vice-président chargé de la stratégie et des affaires générales, Vital Metals
    • Elizabeth Alves, vice-présidente, Stratégie d’entreprise et développement durable, Cogeco inc.
    • Lisa Marcuzzi, vice-présidente, chef de la direction des affaires générales, des questions juridiques et de l’ÉDI, ArcelorMittal Dofasco

Entretien tête à tête avec Arthur Nicolet, PDG, Transdev Canada : Regardez ici

Panel de discussion : La finance durable au Canada

  • Modérateur :
    • Sandra Odendahl, vice-présidente principale et chef du développement durable et de la diversité, BDC
  • Panélists :
    • Marie-Justine Labelle, directrice et chef de l’investissement responsable – détail, Desjardins
    • Nicole Vadori, vice-présidente associée et de chef de l’environnement, TD
    • Yvan Deschamps, vice-président exécutif et directeur financier, Banque Laurentienne
    • Steve Robins, chef de la stratégie, Banque de l’infrastructure du Canada

Principaux points à retenir :

  • La guerre en Europe a des répercussions à l’échelle planétaire, des conséquences économiques et énergétiques.
  • Les secteurs du pétrole et du gaz devront poursuivre leur cheminement vers la carboneutralité.
    • L’accent sur l’engagement des actionnaires par rapport au désinvestissement émerge dans un contexte de prix élevés de l’énergie.
  • Les technologies propres et l’électricité doivent s’attendre à un nouvel examen des facteurs ESG des chaînes d’approvisionnement des fournisseurs à forte intensité de GES dans les pays dont le bilan en matière de droits de l’homme et de travail est douteux.
  • L’ESG est essentiel au succès à long terme d’une entreprise, car les investisseurs et les consommateurs exigent que les entreprises évaluent l’ESG (les exigences non financières) en plus des exigences financières.
    •  Les consommateurs sont prêts à payer davantage pour des entreprises respectueuses de l’environnement.
  • Les gens veulent travailler pour des entreprises qui prennent l’ESG au sérieux, les valeurs personnelles s’alignant sur celles de l’entreprise.
  • Les stratégies ESG doivent être solides. il est important de mettre en pratique ce que vous dites, sinon les dommages à la réputation pourraient être catastrophiques.
  • Les gestionnaires d’actifs cherchent à répondre aux attentes des investisseurs en matière de produits, de services et de conseils durables, les prêteurs insistent sur la durabilité dans leurs portefeuilles et tous deux cherchent à savoir comment cela se traduit par de nouvelles opportunités financières.

Conseils pratiques pour les entreprises :

Les entreprises doivent être des bâtisseurs de consensus — vous devez prendre beaucoup de points de vue divergents et déterminer ce qui fonctionnera le mieux pour l’entreprise.

« Chacune des composantes de l’ESG est inextricablement liée et vous devez les exécuter toutes les trois »

Kent Kaufield, chef du développement durable, EY

« Si vous voulez être en activité dans une décennie, si vous voulez être en mesure d’obtenir un financement dans une décennie, si vous voulez être en mesure de vendre vos actions dans une décennie, vous feriez mieux d’être compétitif en matière d’ESG »

David Connelly, vice-président chargé de la stratégie et des affaires générales, Vital Metals

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Améliorer les prévisions de l’offre et de la demande grâce à l’observation de la Terre : comment les grandes entreprises agricoles et alimentaires s’y prennent-elles?

Améliorer les prévisions de l’offre et de la demande grâce à l’observation de la Terre : comment les grandes entreprises agricoles et alimentaires s’y prennent-elles?

Ce blog vedette a été fourni par EarthDaily. Les entreprises du secteur des aliments et des boissons dépendent de matières...

Ce blog vedette a été fourni par EarthDaily.

Les entreprises du secteur des aliments et des boissons dépendent de matières premières comme le maïs, le blé, l’orge, le café, la canne à sucre, les oléagineux, les pommes et bien d’autres. Pourtant, les cultures alimentaires sont une ressource limitée, leurs rendements dépendant de facteurs environnementaux comme la régularité des températures et l’humidité du sol. De plus, des facteurs humains comme les problèmes de chaîne d’approvisionnement, les épidémies, l’instabilité politique et la guerre perturbent considérablement la production et la distribution de la chaîne alimentaire, même lorsque les conditions météorologiques sont idéales.

Les données sur l’état d’avancement des cultures ne peuvent pas changer les conditions des champs dans le monde entier. Cependant, des données quotidiennes sur la croissance des cultures peuvent se traduire par des connaissances qui permettent aux entreprises alimentaires de se préparer, de planifier et de réagir très rapidement à ce qui se passe. Avec la bonne information, l’approvisionnement peut être prédit avec plus de précision, ce qui signifie que les décisions commerciales peuvent être prises de manière plus stratégique et avec plus de confiance. Par exemple, des actions comme l’ajustement proactif des stratégies d’approvisionnement et de fixation des prix peuvent réduire le risque financier pour les entreprises, si elles disposent des connaissances nécessaires.

Aujourd’hui, les relations entre les producteurs céréaliers et les acteurs de la chaîne d’approvisionnement alimentaire se jouent à l’échelle mondiale. Les problèmes dans les champs n’affectent pas seulement l’offre et la demande dans un seul pays ou ses voisins. Au contraire, les fabricants de produits alimentaires s’approvisionnent désormais en céréales à l’échelle mondiale, ce qui signifie que si les récoltes sont mauvaises dans une région, les entreprises doivent trouver, pour ainsi dire, une solution ailleurs dans le monde.

Ils doivent aussi le faire rapidement. Quelles sont les sources alimentaires auxquelles elles pourront accéder et où elles se situent-elles et en quelles quantités? Ce sont autant de critères déterminants qui permettent aux entreprises d’estimer la quantité de produits qu’elles seront en mesure de créer, de vendre et de distribuer à leurs clients. Des perturbations, même minimes, dans la chaîne de valeur mondiale et interconnectée peuvent avoir d’énormes répercussions sur la protection de l’offre et la création de la demande.

Les applications de ces données vont au-delà de l’approvisionnement alimentaire pour la transformation. Par exemple, les établissements de financement agricole peuvent s’en servir pour prévoir l’évolution des récoltes d’un emprunteur. Les prêteurs disposent ainsi d’une source d’information supplémentaire pour évaluer la viabilité de l’exploitation d’un petit agriculteur, même si ce dernier ne dispose pas du capital important qui serait normalement nécessaire pour qu’un prêteur accorde un crédit.

Le potentiel de l’observation de la Terre

Dans le passé, les entreprises agroalimentaires se sont appuyées sur les rapports traditionnels de surveillance des cultures provenant de sources gouvernementales comme l’USDA ou Eurostat. Cependant, les rouages du gouvernement tournent lentement, et comme les agences publient généralement leurs rapports sur une base mensuelle, les données qu’elles fournissent sont souvent déjà obsolètes.

Aujourd’hui plus que jamais, les entreprises de tous horizons utilisent les données satellitaires pour comprendre le contexte mondial et améliorer leurs opérations et leurs pratiques. Cette technologie est depuis longtemps au service de l’agriculture, puisque l’observation de la Terre peut fournir des données sur des facteurs comme la santé de la végétation, l’humidité du sol et l’impact des événements météorologiques, qui sont autant d’informations essentielles à la planification de la production, de la tarification et autres, en temps quasi réel. Ces renseignements aident les entreprises à savoir où se situent les problèmes qui affectent la production agricole, comme le mauvais temps ou les retards dans les pratiques agricoles… et les aident à décider vers qui se tourner en cas de perturbation de la chaîne d’approvisionnement prévue. Les progrès récents en matière de fiabilité, de fréquence et de couverture permettent à la technologie de produire des données de meilleure qualité que jamais.

EarthDaily Agro offre à la fois une application puissante, un flux de données robuste et des services analytiques spécialisés. Sa plateforme geosys basée sur le nuage surveille les données géospatiales pour fournir un panorama quotidien de la production agricole dans le monde entier, triable par culture. À partir de là, les agronomes d’EarthDaily Agro et d’autres experts du monde entier décortiquent les données, fournissant aux clients des perspectives et des analyses pour prendre des décisions stratégiques en réponse aux changements dans le monde agricole.

Choisir un fournisseur de services d’observation de la Terre

Les services d’observation de la Terre de EarthDaily Agro combinent une vaste couverture, une fréquence élevée et des données de qualité qui permettent de prévoir la production agricole mondiale. La plateforme geosys, l’outil d’EarthDaily Agro basé sur le nuage, fournit des renseignements sur les indices de végétation, les analyses agronomiques, les données météorologiques, ainsi que des notifications et des avertissements. Les paramètres peuvent être réglés pour se concentrer sur des régions spécifiques du monde.

De plus, l’équipe de spécialistes d’EarthDaily Agro possède une expertise approfondie du marché agroalimentaire, avec des experts locaux en agronomie en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Europe (et bientôt dans la région Asie-Pacifique). Des analystes sont disponibles pour fournir une expertise dans les domaines de l’agriculture et de l’approvisionnement alimentaire, ainsi qu’un contexte sur ce qui se passe dans les pays producteurs de nourriture eux-mêmes.

Enfin, la société mère d’EarthDaily Agro, EarthDaily Analytics, lancera bientôt The EarthDaily Constellation, une nouvelle flotte de satellites qui collecteront en continu des données du monde entier et les mettront à la disposition des clients en quelques heures. Une fois opérationnel, EarthDaily Constellation sera le système de détection et d’analyse des changements globaux le plus puissant au monde, spécialement conçu pour l’agriculture.

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Protégez votre entreprise contre la cybercriminalité

Protégez votre entreprise contre la cybercriminalité

Ce blog vedette a été fourni par BMO. La cybercriminalité et la fraude font partie des plus grandes menaces auxquelles...

Ce blog vedette a été fourni par BMO.

La cybercriminalité et la fraude font partie des plus grandes menaces auxquelles sont confrontées les entreprises aujourd’hui. Selon les statistiques les plus récentes, fournies par le Centre antifraude du Canada, au 31 mai 2022, plus de 37 000 rapports de fraude ont été faits au Canada depuis le début de l’année, impliquant plus de 23 000 victimes et plus de 207 millions de dollars de pertes.

Les acteurs de la menace peuvent désormais accéder à des réseaux puissants, à la technologie et même à des ressources financières pour cibler des centaines, voire des milliers d’organisations simultanément. La motivation des chefs d’entreprise à mettre en œuvre les meilleures cyberpratiques est considérable. Voici quelques conseils pour veiller à ce que votre entreprise soit sur la bonne voie en matière de protection :

La technologie

  • Assurez l’efficacité des correctifs pour tous les systèmes critiques
  • Déployez l’authentification multifactorielle à grande échelle
  • Mettez en œuvre des programmes robustes de gestion de l’accès aux identités, conformes aux réglementations, certifiés et évoluant pour répondre aux besoins de sécurité de votre organisation
  • Veillez à ce que des plans soient en place pour des technologies de communication de rechange au cas où les voies de communication normales seraient indisponibles ou interrompues.

Le facteur humain

  • Communiquez l’importance d’utiliser la technologie du travail uniquement à des fins professionnelles
  • Sensibilisez vos employés aux stratagèmes et méthodes d’ingénierie sociale utilisés dans les cyberattaques et les fraudes
  • Mettez en œuvre des pratiques humaines qui atténuent les risques, comme la séparation des tâches, la rotation des affectations et les vacances obligatoires

Les processus

  • Intégrez et améliorez les outils d’analyse informatique et antifraude pour détecter plus efficacement les transactions frauduleuses
  • Ajustez et testez la réponse aux incidents liés à la fraude et à la cybercriminalité et prévoyez le pire des scénarios à l’aide de guides et de manuels
  • Collaborez avec les fournisseurs, les sous-traitants et les chaînes d’approvisionnement pour veiller à leur sécurité.

Pour en savoir plus sur la protection de votre entreprise contre la fraude et la cybercriminalité, cliquez ici.

Il est également essentiel d’être attentif à vos propres pratiques de sécurité lorsque vous utilisez vos appareils personnels. Vous pourriez mettre votre entreprise en danger simplement en partageant trop d’information sur les médias sociaux. Voici six façons d’éviter de devenir une victime :

  1. Évitez de donner des renseignements personnels et limitez ce que vous publiez sur les médias sociaux : Ne donnez pas de renseignements non indispensables, surtout ceux qui ne sont pas accessibles au public, comme les numéros d’assurance sociale et les numéros de compte. Ces renseignements pourraient être utilisés dans des attaques par hameçonnage ciblé ou de détournement de courrier électronique.
  2. Prenez le temps d’examiner attentivement les courriels ou les URL : Évitez les demandes « urgentes » et ne répondez pas trop vite. Les courriels et les sites Web peuvent sembler provenir d’entreprises de confiance, mais si vous examinez attentivement l’adresse courriel et l’URL, vous remarquerez une petite différence, comme une lettre supplémentaire, un point ou un .net au lieu de .com.
  3. Dites non aux appels ou aux courriels non sollicités : Si vous n’êtes pas familier avec le demandeur ou l’expéditeur, faites preuve de prudence ou évitez tout simplement de répondre.
  4. Méfiez-vous des personnes qui vous demandent des cartes-cadeaux, des mandats-poste, des chèques ou des virements : Vérifiez de manière indépendante si la demande semble anormale.
  5. Inscrivez-vous à des alertes auprès de votre banque et tenez vos coordonnées à jour : Veillez à ce que vos coordonnées soient toujours à jour. Ainsi, votre banque pourra vous contacter immédiatement si elle détecte une activité inhabituelle sur votre compte.
  6. Choisissez des mots de passe uniques et complexes : Évitez les mots de passe courants comme « 123456 » ou les mots de passe contenant des renseignements personnels évidents. Votre mot de passe doit comporter au moins 8 caractères et combiner des lettres majuscules et minuscules et des caractères spéciaux (chiffres et symboles).

Découvrez d’autres conseils de sécurité ici

Comment BMO assure la sécurité de ses clients

La sécurité des clients est une priorité à BMO. En 2019, la banque a lancé son Unité Crime financier, une équipe d’opérations de sécurité qui est la première du genre au Canada. Cette unité combine l’expertise de classe mondiale de ses équipes de cybersécurité, de fraude, de sécurité physique et de gestion de crise pour détecter, prévenir, répondre et récupérer les menaces à la sécurité.

Pour en savoir plus sur les caractéristiques uniques de l’équipe et accéder à d’autres outils pour protéger votre entreprise et votre famille, consultez le site BMO.com/Centredesecurite.

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Connexion, réseautage et célébration avec le réseau de la Chambre de commerce du Canada

Connexion, réseautage et célébration avec le réseau de la Chambre de commerce du Canada

Aperçu des points forts de notre Congrès annuel 2022 Les 14 et 15 octobre marquait la première fois en trois ans que...

Aperçu des points forts de notre Congrès annuel 2022

Les 14 et 15 octobre marquait la première fois en trois ans que le réseau de la Chambre de commerce du Canada se réunissait en personne à l’occasion de son Congrès annuel.    

Plus de 400 collègues des chambres de commerce locales et leaders de la communauté d’affaires se sont joints à nous à Ottawa pour discuter des questions économiques et politiques qui touchent les entreprises canadiennes.    

Le thème de cette année était « Guider l’avenir de la réussite en affaires ». Les deux jours ont été remplis de discussions éclairées, d’une allocution principale livrée par John Graham, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada, d’une discussion au coin du feu avec l’ambassadeur des États-Unis au Canada, Son Excellence David Cohen, d’une table ronde sur les secteurs de croissance prioritaires animée par Ben Mulroney, directeur de l’impact et cofondateur d’Orchard Technologies, et d’une discussion enrichissante sur la voie de notre pays vers la carboneutralité et le rôle important que jouent les entreprises.  

Nous avons également donné un aperçu de certaines de nos nouvelles offres découlant de notre plan stratégique Chambre 2025.  

Pour un résumé des principaux acquis de l’AGA, lisez la suite! 

Pour consulter et télécharger les photos de l’AGA et congrès 2022, veuillez utiliser les liens suivants :

Jeudi, 13 octobre

Vendredi, 14 octobre

Samedi, 15 octobre


Jour 1 – 14 octobre

Allocution principale de John Graham, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada

La matinée de vendredi a débuté par une présentation de John Graham, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada (OIRPC), suivie d’une conversation en tête-à-tête avec notre économiste en chef et chef de notre Laboratoire de données d’entreprise, Stephen Tapp. La discussion a porté sur la mondialisation, la viabilité du Régime de pensions du Canada (RPC) et les stratégies d’investissement.

Après des décennies de mondialisation, nous assistons maintenant à un virage dans la direction opposée. L’une des principales tendances que nous verrons à l’avenir est le couplage de l’économie et de la défense nationale.

John Graham, président et chef de la direction, Investissements RPC
Principaux points à retenir
  • Malgré les défis auxquels notre économie est confrontée, on estime que le RPC sera gérable pendant au moins les 75 prochaines années.
  • L’OIRPC compose avec le paysage économique actuel grâce à une gestion dynamique de l’actif et à la diversification des placements.
Stephen Tapp, économiste en chef à la Chambre de commerce du Canada (à gauche), et John Graham, président et chef de la direction de l’OIRPC

Assemblée annuelle des membres

Un élément clé de notre assemblée annuelle des membres est une mise à jour de nos priorités et un récapitulatif de ce sur quoi nous avons travaillé au cours de la dernière année. Lors de l’AGA de l’année dernière, nous avons pu présenter au réseau de la Chambre de commerce du Canada le plan stratégique Chambre 2025, qui oriente notre transformation pour passer du rôle de porte-parole des entreprises canadiennes à celui d’ambassadeur et de catalyseur incontesté de l’avenir de la réussite en affaires. Cette année, nous avons pu partager des mises à jour passionnantes sur le déploiement de certaines des principales initiatives de Chambre 2025, y compris notre Laboratoire de données d’entreprise, l’Institut des PME, le Centre pour l’avenir des affaires de la Chambre de commerce du Canada et notre Communauté de la Chambre.

Les délégués ont également entendu Candace Laing, qui a été assermentée comme présidente du conseil d’administration pour le mandat 2022-2023. Candace a parlé de ses objectifs et priorités et de la façon dont ses origines personnelles dans le secteur agricole canadien ont façonné sa passion pour les affaires.

Candace Laing, présidente du conseil d’administration 2022-2023, remercie Karl Tabbakh, président sortant.

J’ai le désir profond de faire connaître au monde entier la valeur des fermes et de l’agriculture canadiennes. Ce qui rend la Chambre si spéciale, c’est que lorsque nous sommes unis, nous avons une portée et un impact inégalés.

Candace Laing, première vice-présidente et chef des ressources humaines, Nutrien, et présidente de la Chambre de commerce du Canada.
Principaux points à retenir
  • Candace Laing a été élue présidente par consensus des délégués votants.
  • Notre président sortant, Karl Tabbakh, a parlé de la nécessité de restructurer la gouvernance de la Chambre de commerce du Canada, notant que « la modernisation de notre structure de gouvernance permettra un meilleur engagement entre les administrateurs du conseil et les parties prenantes. »

Table ronde — Infrastructures essentielles

Au cours de la première table ronde de la journée, nous avons entendu parler des défis que pose l’infrastructure commerciale essentielle à notre pays. Une infrastructure fiable est essentielle pour veiller à la résilience du Canada en période d’incertitude économique.

Modératrice 

  • Aylin Lusi, vice-présidente, Affaires publiques, UPS 

Membres du panel : 

  • Craig Landry, vice-président général et chef de l’exploitation, Air Canada 
  • Divya Shah, directrice générale, Banque canadienne d’infrastructure 
  • Arthur Nicolet, chef de la direction, Transdev 
  • Peter Xotta, vice-président, planification et opérations, Administration portuaire Vancouver Fraser

Il y a un besoin d’investissement transformationnel dans les infrastructures [au Canada].

Divya Shah, directrice générale, Banque canadienne d’infrastructure
Principaux points à retenir

Voici les principaux points de vue de nos intervenants sur les facteurs qui contribuent le plus à notre déficit d’infrastructures :

  • Les gens et la main-d’œuvre : nous avons besoin d’un bassin de talents prêt à répondre à nos besoins.
  • Le modèle de financement des projets d’infrastructure essentielle doit être examiné.
  • En tant que pays, nous sommes confrontés à des défis en ce qui concerne notre infrastructure commerciale essentielle. Une infrastructure fiable est essentielle pour veiller à la résilience du Canada en période d’incertitude économique.
  • Enjeux nécessitant une attention immédiate : changements climatiques, problèmes de congestion, résilience et chaîne d’approvisionnement. Le Canada doit être prêt à affronter la concurrence sur la scène mondiale.

EN DIRECT Le balado The Curse of Politics

Nous avons eu la chance de présenter un enregistrement en direct du balado The Curse of Politics avec David Herle, Scott Reid et Jenni Byrne. Il s’agissait de leur dernier épisode en tant que trio et d’un adieu spécial pour Jenni Byrne. 

The Curse of Politics est bien connu pour ses réflexions franches sur l’actualité politique canadienne. Dans cet épisode, ils ont discuté du nouveau chef fédéral conservateur et de ce que cela signifie pour les stratégies de campagne et de politique des libéraux et des conservateurs à l’avenir. 

Écoutez l’épisode complet ici.


Une conversation avec l’ambassadeur des États-Unis au Canada Son Excellence David Cohen et l’honorable Perrin Beatty

L’ambassadeur des États-Unis au Canada, Son Excellence David Cohen, s’est adressé au réseau de la Chambre de commerce du Canada sur un large éventail de questions, y compris la militarisation du pétrole par la Russie et le rôle du Canada dans l’atténuation de la crise énergétique mondiale. L’ambassadeur a également répondu aux récents commentaires de l’ambassadrice du Canada aux États-Unis, Kirsten Hillman, sur le programme bilatéral NEXUS pour les voyageurs canadiens et américains.

Le contexte actuel aurait-il changé la décision du président Bident concernant Keystone XL? Non, je ne crois pas que cela aurait changé.

H.E. David Cohen
Principaux points à retenir
  • Les États-Unis importent 68 % de leur pétrole du Canada, et l’ambassadeur a fait remarquer que notre relation commerciale en matière d’énergie sera importante à l’avenir.
  • L’ambassadeur des États-Unis a répondu directement aux récents commentaires de l’ambassadeur du Canada aux États-Unis, déclarant que « depuis 2015, nous (les États-Unis) avons clairement exprimé nos problèmes avec le programme bilatéral NEXUS, et surtout que les employés des bureaux NEXUS méritent une immunité de poursuite, qui n’est pas sans rappeler celle des diplomates. »
L’honorable Perrin Beatty et Son Excellence David Cohen

Jour Deux — 15 octobre

Coup d’envoi avec Mia St-Aubin, directrice générale et fondatrice de MoveCollective

Le deuxième jour, nous avons démarré la matinée avec Mia St-Aubin, fondatrice et directrice générale de MoveCollective, qui a parlé de l’épuisement professionnel et de l’importance de bouger pour la santé mentale. 

Mia St-Aubin fait bouger les délégués le samedi matin.

Table ronde — Carboneutralité

Notre table ronde sur la carboneutralité a donné lieu à une conversation importante sur la nécessité d’une intervention et d’un financement du gouvernement pour veiller à ce que le Canada maintienne sa compétitivité et progresse sur la voie de la carboneutralité. 

Modératrice 

  • Shelley Gilberg, chef national des marchés ESG et chef des plateformes canadiennes, PwC Canada 

Membres du panel : 

  • Rhona DelFrari, chef du développement durable et vice-présidente principale, engagement des parties prenantes, Cenovus Energy 
  • Martin Imbleau, président-directeur général, Administration portuaire de Montréal 
  • Laura Miller, chef des politiques publiques et des communications, Uber Canada 

En tant que chefs d’entreprise, n’attendez pas le gouvernement et prenez les devants.

Rhona DelFrari, chef du développement durable et vice-présidente principale, engagement des parties prenantes, Cenovus Energy
Principaux points à retenir
  • La poursuite de nos objectifs de carboneutralité d’ici 2050 ne doit pas se traduire par la fuite des investisseurs vers d’autres contrées. 
  • L’intervention et le financement du gouvernement sont essentiels pour veiller à ce que le Canada maintienne sa compétitivité. 
  • Le gouvernement doit dépolitiser le sujet de l’atteinte des cibles climatiques. 
  • L’atteinte des objectifs de carboneutralité dépend de la collaboration entre le gouvernement et l’industrie. Aucun des deux ne peut y arriver seul. 

Une vision sans plan d’exécution reste une chimère…

Martin Imbleau, président-directeur général, Administration portuaire de Montréal

Table ronde sur les enjeux et les priorités nationales pour le réseau de la Chambre de commerce du Canada

Lors de notre table ronde sur les questions et priorités nationales pour le réseau de la Chambre de commerce du Canada, les différents défis auxquels font face les régions de Toronto et de l’Atlantique ont été discutés, ainsi que les approches multidimensionnelles nécessaires pour aborder chaque question. 

Modérateur 

  • L’honorable Perrin Beatty, président et chef de la direction, Chambre de commerce du Canada 

Membres du panel : 

  • Jan De Silva, présidente et chef de la direction, Chambre de commerce de la région de Toronto 
  • Sheri Somerville, chef de la direction, Chambre de commerce de l’Atlantique 

Ces défis se manifestent de manières très différentes…

L’honorable Perrin Beatty, président et chef de la direction, Chambre de commerce du Canada
Principaux points à retenir
  • Les régions de Toronto et de l’Atlantique font face à des défis très différents.
  • Dans la région de Toronto, les défis comme le logement et le transport en commun pour le nombre de personnes qui s’installent dans la région sont rares, alors que dans la région de l’Atlantique, les emplois à pourvoir sont nombreux, mais il n’y a pas assez de personnes pour les occuper.
  • Jan De Silva a souligné que Toronto ne dispose pas d’un plan de logement adéquat, tandis que Sheri Somerville insiste sur la nécessité de créer une communauté accueillante avec un accès aux soins de santé et à d’autres besoins afin de retenir les gens dans le Canada atlantique.
  • Il existe des solutions à facettes multiples à ces problèmes notamment l’immigration et l’adoption de technologies numériques.

Table ronde —Les secteurs de croissance prioritaires

Lors de cette table ronde, l’énergie verte, la technologie et les ressources naturelles du Canada, en particulier l’agriculture, ont été identifiées comme des secteurs de croissance hautement prioritaires. Un thème commun à toutes ces industries est le besoin d’une plus grande collaboration entre les parties prenantes. 

Modérateur 

  • Ben Mulroney, directeur de l’impact et cofondateur d’Orchard Technologies. 

Membres du panel : 

  • Sueling Ching, présidente et chef de la direction, Chambre de commerce d’Ottawa 
  • Corey Ellis, chef de la direction et cofondateur, The Growcer 
  • Karen Hamberg, associée, Conseils financiers et technologies propres, Deloitte 
  • Ryan Hardy, cofondateur et président de Getit Technologies 

Nous avons besoin d’une approche multidimensionnelle et multipartenaire pour résoudre ces problèmes. Il faut que toutes les industries et toutes les parties prenantes travaillent de pair.

Sueling Ching, présidente et chef de la direction, Chambre de commerce d’Ottawa
Principaux points à retenir
  • Bien que le Canada se soit fixé des objectifs de carboneutralité, nous devons être beaucoup plus ambitieux pour les atteindre. C’est l’occasion de prendre l’initiative au niveau mondial et de devenir un leader de l’industrie. 
  • Le talent, ou le manque de talent, freine nos secteurs de croissance prioritaires. Il est nécessaire d’adopter une approche multidimensionnelle et multipartenaire pour résoudre ce problème. Il faut que toutes les industries et toutes les parties prenantes travaillent de pair.

Table ronde — Assurer l’avenir des chambres

Cette table ronde a porté sur l’importance de la diversité et de l’inclusion, les avantages de la collaboration entre chambres et le rôle de notre réseau dans la communauté internationale.

Modérateur 

  • Ian Faris, premier vice-président, Relations auprès du réseau des chambres et représentation des intérêts, Chambre de commerce du Canada 

Membres du panel : 

  • Bridgitte Anderson, présidente et chef de la direction, Chambre de commerce du Grand Vancouver 
  • Jennifer Garries, chef de la direction, Chambre de commerce régionale de Leduc, Nisku et Wetaskiwin 
  • Todd Letts, chef de la direction, Chambre de commerce de Brampton 

Les attentes des personnes qui investissent dans les chambres évoluent sans cesse. Alors comment pouvons-nous nous adapter? Nous devons offrir des expériences positives, enrichissantes et pertinentes.

Todd Letts, chef de la direction, Chambre de commerce de Brampton
Principaux points à retenir
  • Le plus grand avantage de la collaboration entre chambres est la diminution des dépenses et l’augmentation du service. De nombreuses chambres sont gérées par une seule personne. Le partage des services est un moyen de veiller à ce que votre chambre soit à l’épreuve du temps. 
  • La transformation numérique est un domaine dans lequel les chambres locales peuvent collaborer. Lorsque nous mettons en place de nouveaux systèmes, par exemple un système de gestion de la relation client, nous devons réfléchir à la manière dont nous pouvons travailler ensemble pour réduire les coûts et éliminer les doublons inutiles. 
  • Il y a un énorme désir parmi les entreprises canadiennes d’être plus inclusives et d’améliorer la diversité sur le lieu de travail. 

Autres points saillants

Pleins feux sur les entreprises canadiennes avec Lisa Baiton, présidente et chef de la direction de l’ACPP

Lisa Baiton a évoqué la crise énergétique en Europe et la façon dont le Canada peut encore être un chef de file mondial dans la lutte contre la crise climatique. 

« Certaines personnes considèrent la réalité énergétique d’aujourd’hui comme une occasion en or pour le Canada, je la vois comme une obligation… »

Pleins feux sur les entreprises canadiennes avec Ben Almond, chef de la direction, Services d’ingénierie, SNC Lavalin

Ben Almond s’est joint à notre président et chef de la direction, Perrin Beatty, pour discuter des objectifs de carboneutralité du Canada et des raisons pour lesquelles l’équité, la diversité et l’inclusion sont si importantes pour lui, non seulement sur le plan professionnel, mais aussi sur le plan personnel. 

« La différence et les défis auxquels nous sommes confrontés, les choses que nous avons vécues et que nous avons dû surmonter dans notre propre parcours de vie peuvent être (vraiment) précieux lorsque vous devez relever de grands défis non seulement en tant qu’équipe, mais aussi en tant qu’industrie. »  

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La célébration des légendes du monde des affaires de Toronto vue des premières loges

La célébration des légendes du monde des affaires de Toronto vue des premières loges

Le jeudi 6 octobre, nous avons organisé à Toronto le dernier volet de notre remise des Prix du chef d’entreprise canadien de...

Le jeudi 6 octobre, nous avons organisé à Toronto le dernier volet de notre remise des Prix du chef d’entreprise canadien de l’année 2022. L’événement visait à célébrer le leadership des entreprises et le dévouement de nos lauréats envers leurs communautés. Nous avons été fiers d’organiser une soirée aussi fantastique en présence de Wes Hall et Edward Sonshine.

Wes Hall, lauréat du Prix du chef d’entreprise canadien de l’année

Wes Hall a connu des débuts très modestes en Jamaïque et est maintenant l’un des hommes d’affaires les plus influents au Canada. En tant que premier Noir à rejoindre l’émission « Dragon’s Den » de la CBC, il donne des chances égales aux entrepreneurs noirs du Canada. Il était accompagné jeudi par sa femme Christine.

Edward Sonshine, lauréat du Prix d’excellence pour l’ensemble des réalisations d’un chef d’entreprise canadien

Edward Sonshine est le fondateur et le président du conseil d’administration de RioCan Real Estate Investment Trust, l’une des plus grandes sociétés de placement immobilier du Canada.  En 2011, M. Sonshine a été décoré de l’Ordre de l’Ontario et en 2013, il a été nommé PDG par excellence au Canada. Il a accepté son prix jeudi en compagnie de son épouse Fran.

« Ils partagent les valeurs d’excellence, d’innovation, de collaboration et de leadership de la Chambre de commerce du Canada et leur longue liste de réalisations suscite un sentiment d’optimisme et de fierté à l’égard du milieu des affaires canadien et de son engagement à créer un avenir meilleur pour le Canada. »

– Perrin Beatty, président et chef de la direction, Chambre de commerce du Canada

Après une prestation spectaculaire de Dione Taylor, les invités ont terminé la soirée en dégustant un dessert, du café et du thé.

Nous remercions tout particulièrement le Ritz-Carlton pour son accueil et tous les commanditaires de l’événement.

Les lauréats des années précédentes

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Comment votre organisation peut-elle quantifier et réduire son risque en matière de cybersécurité?

Comment votre organisation peut-elle quantifier et réduire son risque en matière de cybersécurité?

Ce blog vedette a été fourni par eSentire. Compte tenu de l’évolution des cyberattaques au cours des dernières années, aucune...

Ce blog vedette a été fourni par eSentire.

Compte tenu de l’évolution des cyberattaques au cours des dernières années, aucune organisation ne peut se permettre de renoncer à la gestion des cyber-risques. En tant que responsable de la cybersécurité, vous devez comprendre la probabilité qu’un incident de sécurité se produise et l’impact qu’il aura sur votre organisation. Cette connaissance peut également dicter votre tolérance globale au risque et votre appétit pour le risque afin que vous puissiez renforcer votre posture de sécurité.

Nous vous recommandons de vous appuyer sur le cadre ATT&CK® de MITRE, qui vous fournit une feuille de route opérationnelle et tactique pour décider où appliquer vos capacités de cybersécurité. Ce faisant, vous pouvez prendre des mesures pour améliorer vos programmes de cybersécurité afin de réduire votre risque global.

Cependant, il n’est pas tout à fait possible de construire des solutions commerciales pour chaque tactique, technique et procédure (TTP) trouvées dans le cadre ATT&CK® de MITRE. En fonction de la gravité de la technique observée, votre équipe doit élaborer une réponse proactive conçue pour contrer la cybermenace et réduire le risque pour votre entreprise. Il s’agit d’une première étape cruciale dans l’élaboration d’une approche de la cybersécurité fondée sur le risque.

L’objectif final est d’évaluer les risques internes pour identifier les lacunes et les vulnérabilités critiques qui ont le plus d’impact sur votre entreprise et de les atténuer en premier. Demandez-vous :

  • Votre équipe de direction accepte-t-elle que le cyber-risque soit un facteur de risque pour l’entreprise?
  • Quelles sont les « sources de valeur » de votre entreprise et comprenez-vous les risques spécifiques qui peuvent avoir un impact sur ces sources de valeur?
  • Connaissez-vous les TTP spécifiques que les auteurs de menaces peuvent utiliser pour cibler votre entreprise?
  • De quelle manière comptez-vous remédier aux vulnérabilités qui ont été découvertes?
  • Avez-vous identifié toutes les vulnérabilités potentielles qui peuvent avoir un impact sur votre organisation aujourd’hui?

Au quotidien, il est probable que votre équipe interne de cybersécurité se concentre sur le soutien de l’activité et des projets qui génèrent des revenus. Il est également probable qu’elle ne dispose pas de l’expertise en matière de cybersécurité ni du personnel nécessaire pour surveiller les menaces de cybersécurité 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Par conséquent, nous recommandons d’adopter une approche fondée sur le risque de cybersécurité qui consiste à :

  • Adopter un programme complet de gestion des vulnérabilités qui permet une sensibilisation continue au paysage des menaces, une analyse proactive des vulnérabilités pour comprendre quels systèmes sont exposés par inadvertance, et une gestion disciplinée des correctifs.
  • Déployer une solution de sécurité robuste capable de freiner les cyberattaques connues et inconnues, même celles qui exploitent des applications de confiance existantes à des fins malveillantes. Votre fournisseur de sécurité doit investir massivement dans le développement de renseignements sur les menaces et de recherches originales qui améliorent continuellement la politique et la protection des points de terminaison.
  • Comprendre les TTP des malfaiteurs ainsi que les activités qui constituent un « comportement normal » pour vos applications internes permet de déterminer si un processus effectue une action légitime, suspecte ou malveillante. Ces informations vous aident à comprendre les TTP qui ont un impact sur votre environnement alors que nous collaborons au renforcement de vos défenses.
  • S’assurer que vous avez une visibilité complète de vos points d’accès et de tous les événements pour obtenir une vision contextuelle de ce qui se passe sur les ressources à travers votre environnement.
  • Engager un fournisseur de services MDR qui offre une vision et une couverture complètes de votre domaine de vulnérabilité grâce à une gestion MDR multisignaux, alimentée par une solide plateforme XDR et une expertise humaine, afin d’identifier, de contenir et de répondre aux menaces qui déjouent les mécanismes de sécurité traditionnels.

Si vous n’êtes pas certain de la capacité de votre organisation à identifier, détecter, protéger et répondre aux cybermenaces, nous vous recommandons de compléter l’évaluation de la cybersécurité d’eSentire pour évaluer les domaines critiques de votre programme de cybersécurité.

Il est essentiel de comprendre la capacité de votre organisation en matière de cybersécurité, de connaître les lacunes et de s’attaquer à ces problèmes. Après tout, prendre des mesures proactives pour atténuer le risque de cybersécurité peut faire la différence entre une violation des données et le maintien de l’activité.

La cybersécurité est l’affaire de tous, y compris des cadres supérieurs, des directeurs, des adjoints administratifs et même du personnel de bureau à temps partiel. Malheureusement, vous pouvez mettre en place toutes les bonnes mesures traditionnelles de cybersécurité, mais il suffit qu’un seul employé clique sur un courriel d’hameçonnage.

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L’éducation des employés est une défense essentielle contre les cyberattaques

L’éducation des employés est une défense essentielle contre les cyberattaques

Ce blog vedette a été fourni par le Bureau d’assurance du Canada. Une nouvelle étude montre que les petites et...

Ce blog vedette a été fourni par le Bureau d’assurance du Canada.

Une nouvelle étude montre que les petites et moyennes entreprises doivent compter sur leur personnel pour améliorer leur risque en matière de cybersécurité.

Comme de nombreuses entreprises continuent de travailler à distance et de dépendre davantage d’Internet, les cybercriminels cherchent à en profiter pour attaquer des systèmes plus vulnérables, comme les appareils mobiles ou les réseaux moins sécurisés.

Les petites et moyennes entreprises sont souvent plus exposées aux cyberattaques, car elles disposent généralement de moins de ressources à consacrer à la cybersécurité, ont moins de contrôles en place et, souvent, offrent à leurs employés moins de formations sur la cyberhygiène. Les grandes organisations sont également à risque : si elles sont souvent moins exposées aux cyberattaques, grâce notamment à des contrôles plus sophistiqués et à une sensibilisation générale aux cybermenaces auxquelles elles sont confrontées, elles sont plus susceptibles d’être la cible de cybercriminels en raison de la grande quantité de données qu’elles détiennent ou de l’impact plus important d’une attaque réussie. Si la cyberassurance peut aider une organisation à récupérer les pertes subies lors d’une cyberattaque, elle ne doit être considérée que comme un élément d’une stratégie complète d’atténuation des cyberrisques visant à réduire la vulnérabilité d’une organisation aux menaces en ligne.

Selon une nouvelle étude du Bureau d’assurance du Canada (BAC), certaines organisations pourraient négliger un mécanisme de cyberdéfense relativement abordable : la formation du personnel.

Une enquête menée auprès de 1 525 Canadiens travaillant dans des petites et moyennes entreprises (définies comme des entreprises comptant moins de 500 employés) a révélé un certain nombre de résultats surprenants :

  • Deux employés interrogés sur cinq (42 %) disent avoir constaté une augmentation des tentatives de cyber-escroquerie au cours de l’année dernière.
  • Seul un tiers des employés interrogés (34 %) indique que leur entreprise dispense une formation obligatoire de sensibilisation à la cybersécurité.
  • Seule la moitié (50 %) des employés interrogés déclarent que leur entreprise a mis en place l’authentification multifactorielle, un mécanisme de défense essentiel en matière de cybersécurité qui exige qu’un utilisateur fournisse deux facteurs de vérification ou plus pour accéder à un réseau ou à une application d’entreprise.
  • Seul un quart des employés interrogés (24 %) indique que leur employeur organise des simulations de courriels d’hameçonnage pour favoriser la vigilance.

Les actions des employés augmentent le risque de cybersécurité de leur entreprise

L’enquête du BAC a également révélé que 7 employés sur 10 des petites et moyennes entreprises (72 %) ont signalé au moins un comportement qui pourrait permettre à un cybercriminel d’accéder aux systèmes informatiques de leur entreprise. Cela démontre une fois de plus l’urgence pour davantage d’employeurs d’éduquer leurs employés sur la manière de réduire les cybermenaces.

Selon les répondants à l’enquête :

  • 27 % utilisent un seul mot de passe pour accéder à plusieurs sites web qu’ils utilisent pour le travail
  • 23 % accèdent à un réseau Wi-Fi public lorsqu’ils utilisent leur ordinateur professionnel
  • 19 % téléchargent sur leurs appareils professionnels des logiciels ou des applications qui ne leur ont pas été fournis par leur employeur
  • 7 % autorisent les membres de leur famille ou leurs amis à utiliser leur ordinateur professionnel
  • 5 % partagent leur identifiant ou leur mot de passe par courrier électronique ou par SMS


Les employés hybrides ou en télétravail sont encore plus susceptibles (77 % des répondants) de prendre des mesures susceptibles de compromettre la cybersécurité ou les données de leur employeur.

Les attitudes à l’égard de la cybersécurité suscitent des inquiétudes

Les employés peuvent également sous-estimer le rôle qu’ils jouent dans les cyberdéfenses de leur organisation, puisque 30 % des personnes interrogées déclarent qu’elles ne pensent pas que les cybercriminels les prendraient pour cible au travail, et 28 % des personnes interrogées déclarent que leur employeur est le seul responsable de la protection de leur lieu de travail contre les cybermenaces.

L’enquête a également révélé que 21 % des personnes interrogées pensent que la plupart des cyber-violations sont mineures et faciles à résoudre, alors qu’en réalité, elles peuvent avoir un impact financier dévastateur. En 2021, le coût total moyen d’une violation de données pour les organisations canadiennes était estimé à 7,3 millions de dollars.

Les cybercriminels étant de plus en plus rusés, les propriétaires d’entreprises et les employés ont la responsabilité collective de garder une longueur d’avance. C’est pourquoi le BAC a lancé cybersavvycanada.ca, une nouvelle initiative de cyberéducation pour aider les Canadiens à mieux comprendre la menace des cyberattaques et ce qu’ils peuvent faire pour réduire leurs risques.

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Les augmentations des coûts de production dépassent l’inflation des prix à la consommation, selon une enquête

Les augmentations des coûts de production dépassent l’inflation des prix à la consommation, selon une enquête

Ce blog a été fourni par Michael Graydon, Chef de la direction chez Produits alimentaires, de santé et de consommation...

Ce blog a été fourni par Michael Graydon, Chef de la direction chez Produits alimentaires, de santé et de consommation du Canada, fiers membres du Conseil pour l’approvisionnement alimentaire de la Chambre de commerce du Canada.

Un nouveau sondage réalisé auprès des principaux fabricants canadiens de produits alimentaires, de santé et de consommation montre que la montée en flèche des coûts de production dépasse de loin l’inflation des prix à la consommation et affaiblit les chaînes de fabrication et d’approvisionnement nationales essentielles du Canada.

L’enquête menée par Produits alimentaires, de santé et de consommation du Canada (PASC) auprès de ses membres en juillet a révélé que le coût des intrants a augmenté de 23 % depuis 2021 et de 35 % depuis 2020. Les membres de PASC s’attendent à ce que ces augmentations de coûts se poursuivent à un rythme soutenu tout au long de 2022. En comparaison, des experts comme le professeur Sylvain Charlebois de l’Université Dalhousie ont estimé que l’inflation des prix alimentaires à la consommation montre des signes d’amélioration et pourrait ne pas atteindre le pic de 10 % prévu cette année.

Comme l’a fait remarquer Simon Somogyi, titulaire de la chaire Arrell de l’Université de Guelph sur l’alimentation, au début de l’année, « le coût de tout ce qui se trouve dans la chaîne d’approvisionnement alimentaire est de plus en plus élevé, et cela vaut pour les exploitations agricoles, les grossistes, les conditionneurs et les transformateurs, jusqu’aux détaillants. »

L’augmentation des coûts de production et l’inflation des prix à la consommation sont un phénomène mondial. Qu’il s’agisse d’ingrédients comme le blé, les fruits et légumes et même le café, d’emballages en verre et en carton ou de conteneurs d’expédition, l’offre diminue, les coûts augmentent et la demande explose. Certaines de ces pénuries sont directement liées à la pandémie, tandis que d’autres peuvent être attribuées à un ensemble de facteurs comme les périodes de sécheresse, les incendies, les épisodes de gel et le blocage des voies maritimes.

La sécheresse a frappé les cultures d’orge, de blé et de canola au Canada, ce qui a eu un impact sur la production de tout, des produits de boulangerie au bœuf. Le gel au Brésil a réduit les réserves mondiales de café. Des incendies de forêt, de la Colombie-Britannique à la Californie, ont ralenti les récoltes de fruits et légumes. La liste est interminable.

En raison de ces facteurs et d’autres encore, 65 % des répondants à l’enquête de PASC ont déclaré que le rendement de leur entreprise était pire en 2021 qu’en 2020, et 70 % s’attendent à rater leurs objectifs de rendement pour 2022. Les fabricants canadiens se portent moins bien que leurs homologues internationaux. 72 % des entreprises ayant répondu au sondage de PASC ont déclaré que leurs entreprises canadiennes se portent moins bien que leurs homologues américaines.

L’augmentation du coût de fabrication des biens dont les Canadiens se servent tous les jours n’a fait qu’aggraver les difficultés du contexte commercial déjà inhospitalier du Canada. Même avant la pandémie, seulement 25 % des principaux fabricants canadiens de produits alimentaires et de biens de consommation ont déclaré qu’ils envisageaient d’accroître leur production au Canada. Près de 50 % ont dit qu’ils envisageaient d’étendre leurs activités ailleurs.

La bonne nouvelle est que, selon un sondage national mené auprès des consommateurs pour le compte de PASC à la fin de 2021, 82 % des Canadiens comprennent mieux qu’avant la pandémie les facteurs qui peuvent avoir une incidence sur l’approvisionnement en nourriture et autres produits d’épicerie essentiels, et 93 % souhaitent que le gouvernement accorde la priorité à cet approvisionnement.

À l’aube d’un nouvel automne marqué par la COVID, les chaînes d’approvisionnement sont encore loin d’être normales, mais les fabricants continuent de travailler à un rythme effréné pour faire leur part afin d’assurer un approvisionnement stable et résilient des produits alimentaires, de santé et de consommation essentiels sur lesquels les Canadiens comptent chaque jour.

Veuillez noter : Cet éditorial a été publié dans l’édition du 24 juillet 2022 du Toronto Sun.

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Le pouls des entreprises : L’inflation en tête des préoccupations des entreprises au T3 2022

Le pouls des entreprises : L’inflation en tête des préoccupations des entreprises au T3 2022

Bienvenue à notre série de blogues intitulée Le pouls des entreprises! Un aperçu trimestriel des grands défis et des principales...

Bienvenue à notre série de blogues intitulée Le pouls des entreprises! Un aperçu trimestriel des grands défis et des principales possibilités qui se présentent aux entreprises canadiennes d’un océan à l’autre, d’après l’analyse de l’Enquête canadienne sur la situation des entreprises (ECSE) par notre Laboratoire de données d’entreprise (LDE).

L’inflation est au cœur de toutes les préoccupations ces jours-ci et les entreprises canadiennes n’y échappent pas. Alors que le taux d’inflation est le plus élevé depuis 40 ans, 60 % des entreprises s’attendent à ce que l’inflation soit le principal obstacle à court terme. Bien que la hausse des coûts ne soit pas un phénomène nouveau dans la liste des principaux défis des entreprises canadiennes, il s’agit du plus haut niveau d’inquiétude de l’histoire de l’ECSE!

Heureusement, il y a des signes timides d’amélioration à ce chapitre. Vous trouverez ci-dessous tous les détails ainsi que les 10 principales choses que nous avons apprises sur les entreprises canadiennes grâce à l’ECSE du T3 de Statistique Canada :

  1. Perspectives de croissance : Comme la croissance économique devrait ralentir au deuxième semestre, les entreprises canadiennes s’attendent à un ralentissement de la croissance des ventes, de l’emploi et des investissements, ainsi qu’à une diminution des marges bénéficiaires au prochain trimestre. À plus long terme, la plupart des entreprises demeurent optimistes et prévoient une croissance modeste et positive au cours des trois prochaines années.
  2. Principaux obstacles commerciaux : Les entreprises canadiennes continuent de faire face à la hausse des coûts dans un contexte d’inflation élevée, à l’embauche de travailleurs dans un marché du travail très serré et aux difficultés persistantes de la chaîne d’approvisionnement.
  3. Inflation : Les entreprises canadiennes considèrent l’inflation comme leur principal obstacle à court terme : 60 % des entreprises s’attendent à ce qu’il s’agisse d’un défi, ce qui représente le plus haut niveau de préoccupation de l’histoire de l’enquête. Une lueur d’espoir est qu’une part décroissante des entreprises s’attend à augmenter ses prix au cours du prochain trimestre, ce qui correspond à une décélération de l’inflation au cours du deuxième semestre de l’année.
  4. Hausse des coûts : La hausse du coût des intrants est le deuxième obstacle à court terme, cité par près de la moitié (47 %) des entreprises, soit une légère baisse par rapport à la dernière enquête (50 %). Les pressions exercées sur les coûts sont les plus fortes dans les secteurs de l’agriculture, de la fabrication et de l’hébergement et de la restauration.
  5. Les défis liés à la main-d’œuvre : Les défis liés à la main-d’œuvre s’intensifient, 36 % des entreprises prévoyant des difficultés à cet égard au prochain trimestre. Ces préoccupations sont plus vives dans l’hébergement et les services de restauration, la construction, les soins de santé et le commerce de détail.
  6. Contraintes liées à l’endettement : La capacité des entreprises à s’endetter reste limitée. Plus de la moitié des entreprises (52 %) déclarent qu’elles ne peuvent pas s’endetter davantage ou qu’elles ne savent pas si elles le peuvent, ce qui reste inchangé par rapport au trimestre précédent et constitue une préoccupation majeure pour les petites entreprises et les services à fort taux de contact.
  7. Chaînes d’approvisionnement : Les problèmes liés aux chaînes d’approvisionnement se sont améliorés, reflétant l’évolution récente des tendances mondiales. Cependant, la plupart des entreprises canadiennes qui connaissent des problèmes de chaînes d’approvisionnement s’attendent à ce qu’ils persistent jusqu’en 2023.
  8. Commerce interprovincial : Plus de la moitié des entreprises canadiennes qui font du commerce interprovincial ont rencontré des obstacles au cours de l’année dernière, notamment des exigences différentes en matière de certification et de permis pour les biens, les services et la main-d’œuvre, ainsi que des taxes.
  9. Pratiques environnementales : La plupart des entreprises ont mis en place ou prévoient de mettre en place des pratiques environnementales au cours de l’année prochaine, la réduction des déchets étant la plus répandue. Le refus des clients de payer des prix plus élevés est le principal obstacle perçu aux efforts écologiques des entreprises.
  10. Mesures liées à la COVID-19 : À long terme, plus de la moitié des entreprises prévoient de maintenir les politiques et les pratiques de santé et de sécurité adoptées en raison de la pandémie.

L’ECSE du T3 2022 a été menée du 4 juillet au 8 août 2022 auprès de 17 013 entreprises canadiennes de partout au pays.

Consultez notre analyse complète ici

Voir l’analyse du T2 ici.

Qu’est-ce que l’Enquête canadienne sur la situation des entreprises (ECSE)?

Au début de la pandémie, Statistique Canada a créé l’ECSE en partenariat avec la Chambre de commerce du Canada, afin de mettre rapidement au point une enquête innovante visant à découvrir les problèmes auxquels sont confrontées les entreprises de partout au pays et à fournir des renseignements essentiels aux décideurs et aux entreprises. Cette collaboration fructueuse se poursuit dans le cadre de notre LDE.

Laboratoire de données d’entreprise

Notre Laboratoire de données d’entreprise (LDE) fournit des données et des renseignements en temps réel axés sur l’avenir aux entreprises de toutes tailles, de tous les secteurs et de toutes les régions du pays. Le LDE compile des données provenant de différentes sources pour suivre l’évolution des conditions du marché, fournissant aux entreprises canadiennes des données essentielles pour les aider à prendre de meilleures décisions et à améliorer leur rendement.

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Comment le programme d’expédition Chambers peut améliorer votre expérience client, de Freightcom

Comment le programme d’expédition Chambers peut améliorer votre expérience client, de Freightcom

Le marché du commerce électronique et de la vente au détail physique est plus féroce aujourd'hui qu'il ne l'a jamais été. Avec la forte adoption des achats en ligne, même les entreprises les plus innovantes ont du mal à trouver leur clientèle parmi les milliers de marchands de commerce électronique qui saturent le paysage de la consommation moderne.

Le marché du commerce électronique et de la vente au détail physique est plus féroce aujourd’hui qu’il ne l’a jamais été.

Avec la forte adoption des achats en ligne, même les entreprises les plus innovantes ont du mal à trouver leur clientèle parmi les milliers de marchands de commerce électronique qui saturent le paysage de la consommation moderne.

Il existe de nombreuses façons pour les professionnels du commerce électronique et les détaillants physiques de se démarquer. L’accès à une solution de gestion des expéditions de haut niveau comme Freightcom et notre application eCommerce ClickShip peut donner à votre entreprise l’avantage nécessaire pour se démarquer de la concurrence.

Chez Freightcom, nous nous concentrons sur notre engagement à aider les entreprises canadiennes à prospérer.

C’est pourquoi nous sommes fiers de nous associer à la Chambre de commerce du Canada pour offrir des solutions d’expédition de pointe aux membres de la Chambre, dans le cadre du programme d’expédition de la Chambre.

Aujourd’hui, nous allons examiner quelques-unes des façons dont Freightcom et ClickShip peuvent aider votre vitrine de commerce électronique à se démarquer des autres.

Accès aux principaux transporteurs, pour moins cher
Le secret de la réussite de Freightcom est simple : nous nous associons aux meilleurs du secteur.

De la même manière que nous sommes très fiers et attentifs à nos partenariats avec des organisations telles que la Chambre de commerce, nous entretenons également des relations solides avec les transporteurs maritimes afin de fournir le meilleur service et le meilleur prix possible.

Depuis 2010, nous nous sommes associés à de nombreuses sociétés d’expédition de fret et de colis parmi les plus fiables d’Amérique du Nord pour offrir aux entreprises de toutes tailles des tarifs d’expédition avantageux sur un large éventail de services d’expédition.

Mieux encore, les membres de la Chambre peuvent économiser encore plus sur ces services, grâce à votre participation au Chambers Shipping Program.

Intégrations de commerce électronique pour une gestion des commandes sans faille
De nos jours, on s’attend pratiquement à ce que les entreprises n’aient pas seulement une présence sur le marché du commerce électronique, mais aussi une stratégie de vente multicanal.

Cela peut souvent entraîner des difficultés pour gérer efficacement chacun de ces canaux, notamment en ce qui concerne l’expédition.

Grâce à Freightcom et à notre société sœur ClickShip, cela ne doit pas être un problème.

ClickShip est une application en ligne qui s’intègre de manière transparente à plusieurs des plus grandes plateformes de commerce électronique et places de marché en ligne, notamment Shopify, WooCommerce, Magento2, Amazon, eBay, Etsy, Squarespace, Walmart, Lightspeed, Wix, etc.

En exploitant la puissance des tarifs d’expédition de Freightcom, ClickShip améliore l’efficacité du processus d’expédition grâce à l’automatisation et aide les entreprises de commerce électronique à gagner du temps et de l’argent.

Il fonctionne en consolidant et en synchronisant tous les détails de vos commandes et les informations d’expédition sur notre plateforme facile à utiliser et vous donne la possibilité de fournir des taux d’expédition en temps réel à vos clients directement à la caisse.

Convertissez plus de clients avec des taux en temps réel
L’abandon de panier est l’une des principales difficultés rencontrées par les propriétaires de boutiques de commerce électronique modernes.

Si de multiples facteurs peuvent expliquer pourquoi les clients abandonnent leur panier, des études ont montré que jusqu’à 48 % d’entre eux le font à cause de frais d’expédition soudains et inattendus.

L’une des meilleures façons d’y remédier est de proposer à vos clients des tarifs d’expédition plus bas et plus précis.

Avec ClickShip, vous pouvez afficher les devis d’expédition de plusieurs transporteurs en temps réel, ce qui donne à vos clients la liberté de choisir les tarifs d’expédition disponibles et le niveau de service qui correspond le mieux à leurs besoins.

Découvrez l’avantage Freightcom
Les entreprises modernes ont besoin de tous les outils à leur disposition pour réussir sur ce marché hypercompétitif.

Pour de nombreuses entreprises, il peut sembler que l’expédition échappe à leur contrôle, mais avec Freightcom et ClickShip, l’expédition peut être un outil supplémentaire pour aider votre entreprise à se distinguer des autres.

Les membres de la Chambre peuvent économiser encore plus sur les frais d’expédition lorsqu’ils s’inscrivent au programme d’expédition de la Chambre en visitant le site freightcom.com/chamber pour créer un compte gratuit.

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