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Jun 02, 2023

Des chefs d’entreprise canadiens célébrés lors d’un gala de remise de prix à Vancouver  

Le jeudi 1er juin, une soirée de célébration a été organisée à Vancouver en l’honneur de deux des chefs d’entreprise les plus influents du Canada, Ryan Beedie et Karen Flavelle.  La soirée s’est déroulée sous le signe de la musique, de la danse et de petites douceurs offertes par Purdys Chocolatier. 

Ryan Beedie, lauréat du Prix du chef d’entreprise canadien de l’année

Ryan Beedie,le lauréat du Prix du chef d’entreprise canadien de l’année 2023. il a été rejoint hier soir par sa femme, Cindy.

Karen Flavelle, lauréate du Prix d’excellence pour l’ensemble des réalisations d’un chef d’entreprise canadien

Karen Flavelle, la lauréate du Prix d’excellence pour l’ensemble des réalisations d’un chef d’entreprise canadien 2023. Elle a été rejointe hier soir par son mari, Jamie, et son père, Charles.

“Je ne peux pas vous dire à quel point c’est merveilleux d’être ici pour célébrer le meilleur de notre communauté d’affaires”.

Perrin Beatty, Chef de la direction, Chambre de commerce du Canada

Les lauréats et les invités ont eu droit à une prestation spéciale du musicien et chanteur de jazz de renommée mondiale Brian Newman. Partageant son temps entre les tournées avec Lady Gaga et Tony Bennett et la direction de son propre quartet, avec son renouveau de crooner jazz et sa trompette experte caractéristique, Newman a donné à nos participants l’impression de faire partie de son spectacle.

Pour consulter la liste de tous nos anciens lauréats et pour obtenir de plus amples renseignements sur les lauréats de 2023, veuillez consulter notre page consacrée aux prix décernés aux chefs d’entreprise canadiens.

Nous tenons à remercier tout le personnel du Fairmont Pacific Rim et tous les commanditaires de l’événement qui ont contribué à faire de cette soirée un franc succès.

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Jun 01, 2023

Créer une économie plus diversifiée, plus équitable et plus inclusive

À la Chambre de commerce du Canada, nous croyons que la diversité, l’équité, l’inclusion et l’accessibilité sont centrales et essentielles à l’égalité des chances, à la compétitivité des entreprises, à la croissance économique et à la prospérité de notre pays. En collaboration avec le Réseau des chambres de commerce du Canada, qui regroupe des chambres de commerce et des chambres de métiers ainsi que leurs membres de tout le pays, nous plaidons en faveur d’une économie qui fonctionne pour tous les Canadiens, et en particulier pour les segments sous-représentés de la population qui continuent à rencontrer des obstacles à leur pleine participation et à leur réussite dans l’économie.

Les prix de la croissance inclusive de la Chambre de commerce du Canada récompensent les chambres de commerce et leurs membres à travers le pays, qui font un travail exceptionnel pour éliminer les obstacles et créer une économie plus diversifiée, plus équitable et plus inclusive. Ces prix récompensent également les entrepreneurs autochtones et autres entrepreneurs sous-représentés qui ont fait preuve d’excellence en matière d’innovation et d’impact social.

Conditions d’éligibilité

Les candidatures sont ouvertes aux chambres de commerce du Canada et à leurs membres.

  1. Les lauréats des chambres de commerce et des conseils d’administration devront démontrer qu’ils ont mis en œuvre des initiatives réussies pour faire progresser la réconciliation économique ou accroître la diversité, l’équité, l’inclusion ou l’accessibilité dans leurs activités organisationnelles (par exemple, programmes, sensibilisation et engagement de la communauté, partenariats, programmes de mentorat, etc.)
  2. Les lauréats des chambres de commerce devront démontrer qu’ils ont mis en œuvre des initiatives réussies pour favoriser la réconciliation économique ou accroître la diversité, l’équité, l’inclusion ou l’accessibilité dans leurs activités commerciales (par exemple, programmes de recrutement et de maintien en poste, partenariats commerciaux, programmes de mentorat et de parrainage, création de lieux de travail accessibles et inclusifs, engagement de la communauté, etc.)
  3. Les lauréats, des entrepreneurs autochtones et d’autres entrepreneurs sous-représentés au Canada, qui sont membres de chambres de commerce ou de conseils des métiers au Canada, doivent être propriétaires de leur entreprise depuis au moins un an, appartenir à un groupe méritant l’équité (femmes, autochtones, personnes racialisées, 2SLGTBQ+, nouveaux Canadiens et entrepreneurs handicapés) et avoir fait preuve d’excellence en matière d’innovation et d’impact social.

Les formulaires de candidature doivent être entièrement remplis et soumis au plus tard le vendredi 28 juillet 2023 à 20 h 00 HE. En plus du formulaire de nomination, les entrepreneurs sous-représentés doivent remplir le formulaire d’auto-identification qui fait partie du formulaire de nomination.

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May 29, 2023

Aider les producteurs à s’adapter au changement climatique

La plateforme FieldViewMC de Bayer aide les producteurs à maximiser les rendements et à gérer les risques à l’aide de données personnalisées, d’informations en temps réel et d’images satellites.

Les producteurs agricoles canadiens sont habitués à vivre et à travailler avec l’un des systèmes météorologiques les plus hétérogènes au monde. Malgré tout, comme les fortes tempêtes et les phénomènes météorologiques tels que les inondations et les sécheresses sont de plus en plus imprévisibles et extrêmes, l’impact sur l’agriculture peut être dévastateur.

« Les producteurs agricoles comptent parmi les premiers à devoir affronter le changement climatique; les conditions météorologiques peuvent influer sur leurs activités en tout instant, du début des semis jusqu’à la fin de la récolte », affirme Al Driver, chef national, Bayer Crop Science Canada. « Tous les événements météorologiques peuvent avoir un impact sur le volume et la qualité de la récolte. Compte tenu de l’augmentation de la fréquence et de la gravité des phénomènes météorologiques, les décisions agronomiques que doivent prendre les producteurs sont de plus en plus critiques. »

L’agriculture fait partie de la solution

Pour appuyer les producteurs, Bayer conçoit des produits et des solutions destinés à rendre l’agriculture plus résiliente face au changement climatique, plus efficace dans l’utilisation des ressources et plus durable, tout en créant des innovations qui bouleversent les conceptions actuelles.

« Lorsque nous réfléchissons au changement climatique, nous considérons que les producteurs font partie de la solution », explique M. Driver. « Par exemple, nous réévaluons le potentiel des vastes étendues de terres agricoles du monde entier dans lesquelles il serait possible d’enfouir le carbone, une pratique susceptible de profiter aux cultures et à l’environnement. »

La plateforme FieldViewMC donne aux producteurs accès à de l’information générée en temps réel par des données et des images satellites. « FieldViewMC permet d’appliquer de judicieuses mesures de captation de carbone pouvant réduire l’érosion du sol. Il permet également d’adopter des pratiques qui favorisent la rétention de l’eau dans le sol et la disponibilité des nutriments pour les cultures, qui contribuent à l’accumulation de matière organique dans le sol et qui améliorent la productivité des cultures », explique Matt Eves, chef, Solutions d’agriculture numérique – Canada.

La technologie au service du développement durable

Tout comme le climat et les conditions météorologiques qui changent, nos produits évoluent pour aider à résister aux phénomènes climatiques et à mieux protéger l’environnement.

La technologie nous aide à pratiquer une agriculture plus durable. Dans l’ensemble, nous utilisons moins pour produire plus, de sorte que les répercussions sur l’environnement sont certainement moindres.

Un producteur agricole de l’Ontario.

« Grâce à nos investissements en R et D qui comptent parmi les plus importants de l’industrie, les producteurs nord-américains ont accès à plus de technologies que jamais. Nous priorisons l’innovation dans les secteurs de la sélection végétale, de la phytoprotection et des solutions numériques qui maximisent le potentiel de rendement et visent la production de plants plus forts et plus sains exigeant moins d’intrants et moins de circulation dans les champ avec la machinerie agricole », précise M. Driver.

Par exemple, le nouveau BUTEOMD start de Bayer protège les semences de canola contre les altises, permettant ainsi d’obtenir des plants plus forts dès le départ, même en conditions sèches. Parmi les produits innovants en cours de développement, citons le système de production de maïs Smart de Bayer avec son maïs de petite taille qui se distingue par une meilleure tenue dans des conditions météo difficiles et permet de plus facilement optimiser et cibler les interventions de phytoprotection et de fertilisation azotée durant la saison.

« Les données et les informations fournies par les outils qui, comme FieldViewMC, font appel à des modèles prédictifs précis pour prévoir les problèmes et y faire face, combinée à la puissance reconnue de nos technologies de semences et de caractères (p. ex., maïs, soya et canola) et de phytoprotection, nous amènent à explorer de nouveaux modèles commerciaux qui permettent de répartir une partie des risques et de procurer des revenus plus fiables aux producteurs qui naviguent dans un climat plus fluctuant », précise M. Driver. « Nous sommes à la fois enthousiastes et humbles face à la possibilité de contribuer à façonner l’avenir de l’agriculture pour le plus grand bénéfice des producteurs et de notre planète. »

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May 15, 2023

Trois façons dont l’inflation entrave le succès de votre entreprise

Ce n’est un secret pour personne que l’inflation au Canada est volatile depuis la pandémie. L’année dernière, le taux d’inflation a atteint son niveau le plus élevé depuis 1991.

Un récent rapport de Reuters prévoit que l’inflation oscillera entre 3 et 4 % jusqu’à la fin de 2023, ce qui signifie que les décisions de dépenses des clients canadiens auront une incidence sur les marges bénéficiaires des entreprises qu’ils fréquentent.

Heureusement, bien que le taux d’inflation au Canada soit en baisse, il existe des moyens de prendre de l’avance sur la courbe en apprenant davantage sur la façon dont l’inflation affecte les entreprises au Canada.

Trois dangers d’une inflation élevée pour les petites entreprises

Voici trois façons dont l’inflation affecte les petites et moyennes entreprises au Canada :

Une forte inflation entraîne une hausse des prix des biens et des services, ce qui réduit le pouvoir d’achat des consommateurs et des chefs d’entreprise. En outre, la hausse des prix entraîne une réduction des marges bénéficiaires, les entreprises s’efforçant de rester compétitives, ce qui est difficile lorsque les dépenses diminuent et que les prix augmentent.

L’inflation entraîne également une augmentation des taux d’intérêt sur les produits d’emprunt, notamment les prêts aux entreprises, les lignes de crédit et les cartes de crédit. La Banque du Canada (BDC) fixe le taux préférentiel pour contrôler l’inflation, et les banques et autres établissements de crédit ajustent leurs taux d’intérêt en conséquence.

L’inflation peut entraver la capacité des propriétaires d’entreprise à emprunter de l’argent pour assurer le fonctionnement de leur entreprise et allonger le délai de remboursement des produits d’emprunt à taux d’intérêt variable.

Les propriétaires de petites entreprises devraient envisager d’utiliser des outils commerciaux d’IA qui comparent plusieurs produits de crédit en fonction de leur situation financière, comme Cubeler, une plateforme alimentée par l’IA qui peut comparer des produits de financement d’entreprise préqualifiés et des offres de crédit accélérées – par l’intermédiaire du Portail d’affaires Cubeler.

La hausse de l’inflation affecte également les salaires et, à son tour, peut nuire à vos efforts de fidélisation du personnel.

Comme le coût des biens et des services – et, par conséquent, le coût de la vie – augmente avec l’inflation, la demande de salaires plus élevés, une attente raisonnable pour les travailleurs canadiens, augmente.

Malheureusement, les hausses de salaire exercent une pression encore plus forte sur les petites et moyennes entreprises du Canada, qui doivent offrir une rémunération compétitive pour conserver leurs employés.

L’avenir semble prometteur, mais il reste encore du temps avant que l’inflation se calme

Combattre et suivre l’inflation n’est pas une mince affaire, mais c’est gérable. Bien que le taux d’inflation soit élevé, il devrait diminuer d’ici l’année prochaine.

En attendant, les PME peuvent modifier leurs stocks, conclure des accords avec leurs fournisseurs, trouver un financement adéquat et faire preuve de créativité dans leur stratégie d’entreprise afin de simplifier leurs activités.

Connectez-vous avec Cubeler Business Hub sur LinkedIn :

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May 09, 2023

Enjeux politiques : Les femmes et l’économie au Canada

La croissance et la prospérité à long terme du Canada passent par une participation maximale de chaque Canadien à l’économie. Malheureusement, à l’heure actuelle, le Canada a encore du chemin à faire pour créer les conditions propices à la réalisation de cet objectif.

Les femmes se heurtent encore à des obstacles systémiques lorsqu’il s’agit de l’égalité des chances sur le plan économique, privant ainsi le pays de 150 milliards de dollars de PIB supplémentaire. 

LE PROBLÈME POLITIQUE 

Les femmes assument généralement la majeure partie des responsabilités familiales, y compris la garde des enfants et le soutien aux personnes âgées. Ce travail supplémentaire pèse souvent sur leur vie professionnelle d’une manière qui n’est pas nécessairement vécue dans la même mesure par leurs homologues masculins.  

Dans le monde des affaires, les femmes se heurtent à des difficultés qui vont des microagressions à l’épuisement professionnel, en passant par l’inégalité salariale, la discrimination, un manque de possibilités de perfectionnement et d’avancement professionnel, ainsi qu’une rareté au niveau des mentors et des alliés. 

De plus, le Canada conserve une économie genrée où les femmes sont surreprésentées dans les emplois et les secteurs faiblement rémunérés et sous-représentées dans les emplois bien rémunérés et les secteurs de l’économie à forte croissance et à fort impact.  

La réalité est qu’à tous les niveaux de gouvernement, fédéral, provincial/territorial et municipal, toutes (oui, TOUTES) les décisions en matière de politiques et de dépenses sont susceptibles de faire progresser ou de freiner l’égalité des genres dans l’économie. 

BUDGETS ET SOLUTIONS DE FORTUNE 

Dans le budget fédéral 2023, les domaines d’intervention comprenaient l’accessibilité financière, la croissance de l’économie verte, la santé publique et les soins dentaires, tous des domaines politiques ayant un énorme potentiel pour éliminer les obstacles systémiques auxquels sont confrontées les femmes.  

Malheureusement, les mesures n’ont pas été à la hauteur.  

L’une des mesures les plus remarquées est le « remboursement unique sur les produits d’épicerie ». Cette mesure partait d’une bonne intention : faire bénéficier 11 millions de Canadiens et de familles à revenu faible ou modeste d’un paiement allant de 234 à 467 dollars, qui pourrait être utilisé pour les dépenses d’épicerie (ou toute autre chose). 

Le problème? Il s’agit simplement d’une solution de fortune. Un « remboursement de frais d’épicerie » unique ne va pas faire grand-chose pour aider de manière significative les femmes à long terme, qui essaient tant bien que mal de payer leurs factures, ou les mères célibataires qui peinent à mettre de la nourriture sur la table et à couvrir les besoins de base de leurs enfants. La pauvreté est complexe, multidimensionnelle et souvent intergénérationnelle. Un rabais « unique » ne suffit pas. Elle doit être accompagnée de mesures à plus long terme.  

Un autre exemple est celui des aides prévues dans le budget pour la croissance de l’économie verte, qui ne sont pas susceptibles d’avoir des avantages clairs à court ou à moyen terme pour les femmes canadiennes. Les secteurs bénéficiaires des aides fédérales (électrification, énergie et fabrication propres, réduction des émissions, minéraux critiques, infrastructures, véhicules électriques et batteries, et grands projets) sont dominés par les hommes depuis longtemps.  

Alors, qu’est-ce qui permettrait de s’attaquer à la source des obstacles auxquels sont confrontées les femmes canadiennes?  

UNE SOLUTION 

Une stratégie globale à long terme comprenant des politiques de soutien et des investissements dans des domaines comme : 

La garde d’enfants : veiller à ce que tous les éléments nécessaires à la mise en œuvre significative de services de garde d’enfants abordables soient en place. L’investissement du gouvernement fédéral dans un système pancanadien d’apprentissage et de garde des jeunes enfants est un grand pas dans la bonne direction, mais il ne signifiera pas grand-chose s’il n’y a pas de soutien politique pour résoudre les problèmes d’accès, veiller à ce qu’il y ait suffisamment de places pour répondre à la demande, assurer la qualité de la prestation, la planification et le développement de la main-d’œuvre, des salaires décents et la formation du personnel… et la liste est longue. 

Amélioration des compétences et recyclage professionnel : veiller à ce qu’il y ait des investissements significatifs et ciblés autour de la requalification et de l’amélioration des compétences pour soutenir les femmes et veiller à ce qu’elles aient accès aux opportunités offertes par les transitions verte et numérique.  

QUELLES SONT LES PROCHAINES ÉTAPES? 

Si des solutions politiques sont nécessaires au niveau gouvernemental, les entreprises ne peuvent pas rester les bras croisés et attendre que le changement vienne d’en haut.  

La parité hommes-femmes n’est pas un enjeu « féminin », c’est un enjeu économique, et la réussite et la prospérité de nos entreprises et de notre économie dépendent de notre capacité à agir maintenant.  

Voici quelques exemples de ce que vous pouvez faire en tant que : 

Ce ne sont là que quelques possibilités. Vous voulez en savoir plus? Consultez les ressources ci-dessous et suivez de près les travaux de notre Conseil pour la promotion des femmes en affaires. 

AVANT-GOÛT

 Notre troisième Sommet des femmes en affaires annuel aura lieu virtuellement le mercredi 14 juin 2023.

Qu’il s’agisse de la représentation des femmes dans les secteurs à forte croissance, du leadership, de l’entrepreneuriat et des secteurs traditionnellement « dominés par les hommes », vous ne voudrez pas manquer les discussions politiques et les mesures à prendre issues de l’événement de cette année! 

Les inscriptions débutent mercredi le 10 mai – surveillez votre boîte de réception pour notre courriel d’invitation! 

Ressources 

Outils 

Sites Web 

Rapports 

Le gouvernement 

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May 09, 2023

Sommet exécutif sur la diversité, l’équité et l’inclusion : Ce que nous avons entendu

Le mercredi 3 mai dernier a eu lieu le quatrième événement de notre série de sommets exécutifs 2023 qui consistait en une discussion approfondie sur le portrait actuel de la diversité et de l’inclusion au sein des entreprises canadiennes et sur les différentes stratégies auxquelles a recours le secteur privé pour réaliser des progrès à ce chapitre et passer de la sensibilisation à l’action.

Voici les faits saillants de ce Sommet!

La diversité est un fait; l’inclusion est un choix. 

L’honorable Ahmed Hussen, ministre du Logement et de la Diversité et de l’Inclusion

Discours d’ouverture et conversation informelle : l’honorable Ahmed Hussen, ministre du Logement, de la Diversité et de l’Inclusion

Faits saillants :

  • En tant que Canadiens et Canadiennes, nous devons tout mettre en œuvre pour réaliser des progrès sur le plan de la diversité, de l’équité et de l’inclusion (DEI). Ce n’est pas seulement la bonne chose à faire, mais aussi la bonne chose économique à faire. Au bout du compte, plus nous déploierons d’efforts en faveur de la diversité en tant que pays et société, plus nous deviendrons forts et résilients.
  • Il est important de consulter les différents groupes visés par la DEI sur les politiques qui les touchent le plus. En consultant directement certains groupes, nous avons accès à une source inexploitée de richesse et de compétences culturelles et sociétales.
  • Selon le ministre Hussen, il est primordial de veiller à ce que notre noyau diplomatique reflète la véritable identité du Canada.
  • En ce qui concerne les progrès réalisés par le secteur privé sur le plan de la DEI, le ministre Hussen a parlé des énormes progrès que nous avons réalisés pour nous réconcilier avec les peuples autochtones, notamment grâce à l’entente sur la cogestion des ressources. Plus de progrès ont été réalisés au cours des sept dernières années qu’au cours des 30 dernières années combinées.
  • Nous devons également faire participer les Canadiens et Canadiennes racialisés à la population active et leur faire plus de place dans les postes de leadership, car les données démontrent que les efforts fournis à ce chapitre sont nettement insuffisants. Les gens disent souvent : « Au moins, nous faisons mieux que les Américains… », mais nous ne devons pas nous contenter de peu.
  • Lorsqu’il s’agit de bâtir un Canada inclusif et diversifié, il est important de rejoindre même les groupes visés par la DEI qui sont difficiles d’approche et de veiller à ce que tous aient accès aux postes qui permettront de concrétiser le changement.
  • Nous devons également nous demander comment les programmes gouvernementaux peuvent être réorganisés et devenir plus accessibles.Par exemple, ceux qui ont le plus besoin de l’aide du gouvernement ne produisent bien souvent pas de déclaration de revenus, alors qu’il s’agit du principal moyen d’accéder aux revenus auxquels ils auraient droit par l’entremise des programmes sociaux. Des intermédiaires peuvent être embauchés pour aider les gens à produire des déclarations de revenus afin qu’ils aient accès aux prestations dont ils ont besoin

Les données démontrent que les entreprises ont tout à gagner d’adhérer aux principes de DEI. 

Sandra Odendahl, première vice-présidente et lead, Développement durable et diversité de BDC

Conversation informelle avec Sandra Odendahl, première vice-présidente et lead, Développement durable et diversité de BDC

Faits saillants :

  • Sandra a tout d’abord tenu à mentionner que la DEI ne relève pas des RH; il est impératif que nous reconnaissions le rôle que joue la DEI dans les affaires, la société et d’autres sphères de la vie. Selon elle, le meurtre de George Floyd en mai 2020 a été l’élément déclencheur d’un vaste vent de changement à l’échelle de la société.
  • Lorsqu’elle parle de l’importance de la DEI pour les entreprises, Sandra souligne que les entreprises au sein desquelles on retrouve différentes identités de genre et ethnies réussissent toujours mieux en matière d’innovation, de profits et de maintien en poste des employés. De la rencontre entre différents points de vue et visions du monde émane une réflexion novatrice.
  • Au bout du compte, les gens veulent travailler, malgré l’utilisation accrue d’étiquettes comme le « conscious quitting » ou « démission consciente », qui consiste à quitter un employeur dont les valeurs ne coïncident plus avec les siennes, ou le « quiet quitting » ou « démission silencieuse », qui consiste à ne pas faire de sa profession le point central de son existence. Le fait est que les employés quittent des milieux de travail qui ne correspondent pas à leurs valeurs pour aller vers des entreprises plus à leur image, en particulier celles qui se distinguent par l’importance qu’elles accordent aux facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
  • Les facteurs ESG ne sont pas seulement importants pour les employés, mais aussi pour les investisseurs. Ils confèrent plus de « bancabilité » aux entreprises parce qu’elles deviennent plus robustes, et les données démontrent que les entreprises ont tout à gagner d’y adhérer.
  • Sandra a présenté des stratégies concrètes sur la façon de mettre la DEI au sommet des priorités en tant que propriétaire d’entreprise canadien.
    • Parler aux employés – la rétroaction est essentielle.
    • Tenter de recruter un groupe diversifié d’employés à partir d’une liste de candidats présélectionnés pendant l’embauche. Pour ce faire, il suffit de masquer les noms sur les curriculum vitæ tout au long du processus d’embauche afin d’éliminer les préjugés inconscients.
    • Tenir des séances d’apprentissage en équipe et donner de la formation sur la diversité parce que tout le monde a des préjugés inconscients.
    • Souligner les différentes fêtes célébrées par les employés.

Il y a des systèmes créés pour nous, mais pas par nous. 

Juliet Turpin, vice-présidente, Équité, diversité, inclusion et accessibilité, Randstad Canada

Animatrice de la discussion de groupe :

Shakiba Shayani, présidente-directrice générale, Chambre de commerce de Guelph 

Experts :

Kate Lister, vice-présidente adjointe principale, Communications, culture et talent, Canadian Western Bank

Émilie Nketiah, vice-présidente, Talent et culture, Transdev Canada

Lena Rupp, DPF et chef des services aux entreprises, BASF Canada

Juliet Turpin, vice-présidente, Équité, diversité, inclusion et accessibilité, Randstad Canada

Faits saillants :

  • Au début de la séance, on a demandé aux experts de brosser le portrait actuel de la DEI au sein des entreprises au Canada et de faire part des progrès observés. Les experts ont discuté de la différence qu’il semble y avoir dans la façon dont les attentes sont gérées. Il est moins tabou d’avoir des conversations difficiles, comme dénoncer les micro-agressions.
  • Les experts ont également mentionné que la responsabilisation est propice à de meilleurs résultats au sein des organisations.
  • Quant à savoir ce sur quoi il faut accorder plus d’attention, les experts s’entendent pour dire qu’il faut à tout prix réaliser que la DEI nécessite des efforts constants – il ne s’agit pas ici de cocher quelques cases, puis de passer à autre chose. Il est important de reconnaître les gens au sein des organisations qui chapeautent les initiatives relatives à la DEI et de les rémunérer en conséquence.
  • Le fait est que les gens se tournent vers les entreprises pour trouver des solutions à la diversité et à l’inclusion; ils ne comptent pas sur le gouvernement ou les médias pour obtenir les réponses. 
  • Un point sur lequel s’entendaient tous les experts était l’importance d’avoir des personnes représentant tous les groupes de la diversité assises à la table de la prise de décisions. Il est impératif de leur faire de la place dans les hautes sphères, là où elles pourront élaborer et mettre en place des solutions dans un climat de collaboration, faute de quoi nous nous retrouvons encore et toujours au point où les personnes les plus concernées n’ont pas voix au chapitre dans la planification.
  • La « cancel culture », ou culture du bannissement ou de la dénonciation, a eu pour effet indirect la crainte des gens de faire de grands changements et quelque chose de différent. Il faut remédier à cette peur, sinon les gens finiront par ne rien faire lorsqu’ils ne savent pas quoi faire et qu’ils veulent éviter les erreurs, qui sont au bout du compte inévitables!
  • En raison de la sensibilité du sujet, ces conversations peuvent provoquer des réactions émotives auxquelles nous devons nous préparer.
  • Les experts ont terminé la séance en déclarant que la diversité sans inclusion deviendra notre plus grande lacune et notre plus grand problème. L’inclusion doit faire partie de l’équation et être prise en compte dans les solutions, lesquelles sont les changements de comportement sur lesquels nous devons nous concentrer.

N’oubliez pas de consulter les séances à venir dans le cadre de notre #Sériedesommetsexécutifs.

Pour en savoir plus sur le travail de promotion réalisé par notre Conseil sur la diversité, l’équité et l’inclusion pour favoriser la croissance inclusive, cliquez ici.

Merci à nos sponsors d’excellence

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May 08, 2023

Composez‑vous avec des invalidités épisodiques dans votre milieu de travail ?

Réalise offre des ressources sur les invalidités épisodiques, les dispositions spéciales en milieu de travail et le travail avec la COVID longue aux professionnels des ressources humaines, aux gestionnaires, aux chefs d’entreprise et aux employés.

Les défis posés par la COVID longue, les problèmes de santé mentale et les autres invalidités épisodiques se manifestent dans les milieux de travail partout au Canada. « De nouvelles données combinées de l’Enquête sur la population active (EPA) et de l’Enquête canadienne sur le revenu jettent un nouvel éclairage sur les répercussions de la pandémie de COVID‑19 par rapport à la prévalence de l’incapacité en milieu de travail. Parmi les personnes qui occupaient un emploi au cours des quatre premiers mois de 2021, plus de 1 personne sur 5 (21,5 %) avait une incapacité physique, liée à la santé mentale, cognitive ou autre. La prévalence de l’incapacité a augmenté de 2,7 points de pourcentage comparativement à 2019 (18,8 %), et poursuit donc une tendance à la hausse à long terme, associée au vieillissement de la population et à d’autres facteurs. » (Statistique Canada, 2022) De nombreux chercheurs prévoient que cette augmentation se poursuivra et même s’accélèrera en 2023.

Chez Réalise, notre travail novateur sur les invalidités épisodiques et l’emploi s’appuie sur des consultations continues avec des employeurs, des professionnels des ressources humaines, des employés, des leaders d’opinion et des organismes œuvrant dans le domaine des invalidités, ainsi que des chercheurs. Nous entendons régulièrement dire que des personnes se sentent dépassées lorsqu’elles essaient de comprendre ce que cette hausse des cas d’invalidité signifie en milieu de travail. Réalise possède une vaste expérience dans l’élaboration de cours en ligne efficaces et nous sommes heureux d’annoncer le lancement de cinq cours adaptés aux besoins en information des professionnels des ressources humaines, des gestionnaires, des chefs d’entreprise et des employés vivant avec une invalidité épisodique. Deux de ces cours sont axés sur le travail avec une invalidité épisodique dans le contexte de la COVID‑19.

Cliquez sur les liens ci‑dessous pour en savoir plus.

Comprendre les invalidités épisodiques

Ce cours en ligne autodirigé est conçu pour améliorer les connaissances et la compréhension des professionnels des ressources humaines, des superviseurs et des gestionnaires qui constituent le principal système de soutien au travail pour les personnes vivant avec des invalidités épisodiques.

Gérer les handicaps épisodiques : Meilleures pratiques en matière d’aménagement

Ce cours en ligne destiné aux professionnels des ressources humaines et aux employés s’appuie sur les concepts clés liés aux invalidités épisodiques et aux défis que rencontrent les personnes vivant avec des invalidités épisodiques, et aborde en profondeur les pratiques de communication, l’aménagement universel du lieu de travail, la conception accessible et bien d’autres concepts.

Comprendre et soutenir les employés vivant avec une invalidité épisodique

Ce cours est conçu pour les professionnels des ressources humaines, les gestionnaires et les superviseurs. Il comprend des lignes directrices utiles sur la manière d’entamer une conversation concernant un plan d’aménagement avec un employé vivant avec une invalidité épisodique. Il fournit également un modèle utile pour la mise en œuvre de ce plan en conformité avec la législation applicable.

Travailler avec une invalidité épisodique dans le contexte de la COVID‑19

Ce cours est conçu pour les professionnels des ressources humaines, les gestionnaires et les superviseurs qui veulent mieux répondre aux besoins de leurs employés de divers horizons dans le contexte de la pandémie de COVID‑19.

Changer d’emploi avec une invalidité épisodique dans le contexte de la COVID‑19

Ce cours en ligne à l’intention des superviseurs, des gestionnaires des ressources humaines et des employeurs est conçu pour accroître la sensibilisation et la compréhension des façons de répondre aux besoins des nouveaux employés vivant avec une invalidité épisodique lorsqu’ils sont embauchés au sein d’un organisme. Il fournit également des ressources supplémentaires et des directives sur l’adaptation aux nouvelles méthodes de travail dans le contexte de la COVID‑19.

Formation sur les invalidités épisodiques au travail

Cet atelier d’une durée de deux heures offert par Zoom est axé sur le milieu de travail afin d’offrir un aperçu des invalidités épisodiques, des renseignements qui favorisent l’inclusion, des pratiques exemplaires pour devenir des employeurs qui font confiance aux employés handicapés et une occasion d’entendre une personne ayant une expérience vécue de travail avec une invalidité épisodique.

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May 02, 2023

Assurer un accès équitable aux vaccins pour adultes partout au Canada

GSK est une société biopharmaceutique mondiale qui a pour ambition et raison d’être de réunir science, technologie et talent, car ensemble, on peut prendre une longueur d’avance sur la maladie. Notre portefeuille de vaccins, le plus vaste de l’industrie, comprend plus de 20 vaccins qui contribuent à protéger les personnes à tous les stades de la vie.

En avril 2023, GSK a confié à KPMG la rédaction d’un rapport fondé sur des données probantes, qui présente une analyse des écarts entre les approches adoptées au Canada par le gouvernement fédéral et les provinces en matière de vaccination des adultes ainsi que des moyens potentiels de combler ces écarts. Ce rapport s’appuie sur des informations provenant de sources publiques et sur les réflexions d’experts – responsables de la santé publique, chercheurs et décideurs politiques – qui ont généreusement donné de leur temps. Ce billet de blogue est un extrait du résumé du rapport disponible ici (en anglais).

La vaccination a sauvé plus de vies que toute autre innovation de la médecine moderne[1], mais la population canadienne n’a pas accès équitablement aux avantages des vaccins préventifs. Au cours des deux dernières décennies, les progrès réalisés sur le plan de l’amélioration de l’accès aux vaccins et de leur adoption pour les enfants n’ont pas été observés chez les adultes.

À l’heure actuelle, ni les provinces et territoires, ni le gouvernement fédéral n’ont l’obligation d’allouer des fonds pour la vaccination des adultes recommandée par le Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI) du Canada. Par conséquent, la disponibilité des vaccins financés par l’État au Canada est inégale et variable pour certaines maladies, ce qui restreint leur accès aux personnes qui en connaissent l’existence et qui peuvent les payer.

Souvent, c’est le sous-financement de la santé publique relativement aux programmes de vaccination qui empêche les recommandations du CCNI de se traduire par un accès équitable aux vaccins partout au pays. Pour la plupart des vaccins pour adultes au Canada, le fardeau financier de l’achat de vaccins et de la mise en œuvre du programme est à la charge de chaque province et territoire. Les autorités provinciales et territoriales doivent prendre des décisions complexes concernant l’affectation de leur budget de santé et gérer des priorités concurrentes qui peuvent influer sur la décision de financer un vaccin[2]. Cette situation a donné lieu à une approche disparate de l’accès au Canada.

En outre, malgré les progrès réalisés dans la numérisation des dossiers médicaux, il existe encore d’importantes lacunes dans la disponibilité de données uniformes, exactes et en temps réel sur la vaccination au pays, en particulier chez les adultes[3]. Ces lacunes dans la collecte et l’harmonisation des données font en sorte qu’il est difficile pour les équipes de santé publique d’évaluer l’efficacité et les avantages des programmes de vaccination.

Malgré les efforts déployés pour améliorer l’accès équitable aux vaccins[4], il reste encore bien du travail à faire.Le lancement de nouveaux vaccins innovants au Canada devrait entraîner une augmentation du nombre de vaccins pour adultes recommandés par le CCNI et des coûts associés à la mise en œuvre de chaque programme. Ces nouveaux vaccins offrent toutefois la possibilité d’améliorer l’équité en matière d’accès et de réduire les souffrances et les décès tout en allégeant le fardeau qui pèse sur nos systèmes de soins de santé. Les gouvernements ont la responsabilité première de tirer parti de ces possibilités.

Si rien n’est fait, les inégalités actuelles en matière d’accès à la vaccination risquent de persister et de s’aggraver. Parallèlement à l’augmentation du financement, il faudrait envisager sérieusement d’éliminer les autres obstacles à l’accès, notamment en proposant des lieux de vaccination pratiques et en appuyant l’éducation et la sensibilisation aux maladies évitables par la vaccination.

L’énoncé de position complet analyse les écarts entre les recommandations du CCNI et les approches provinciales en matière de vaccination des adultes ainsi que les possibilités pour combler les écarts. L’objectif est d’aider à faire avancer le débat sur les politiques publiques concernant l’accès équitable aux vaccins pour adultes à l’échelle du pays afin que les avantages de la vaccination soient répartis également dans tout le Canada. L’accès aux vaccins ne devrait pas dépendre du code postal dans lequel vous vivez.


[1] Desai S, et al. (2015). Canada’s National Advisory Committee on Immunization. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/ pmc/articles/PMC4507835/

[2] Scheifele DW & al. (2014), Approved but non-funded vaccines: Accessing individual protection. https://doi.org/10.1016/j.vaccine.2013.12.027

[3] Government of Canada (2019), Highlights from the 2017 childhood National Immunization Coverage Survey (cNICS) : 2019 update. https://www.canada.ca/en/services/health/publications/vaccines-immunization/vaccine-uptake-canadian-children-preliminary-results-2017-childhood-national-immunization-coverage-survey.html

[4] Government of Ontario (2020), Immunization 2020: Modernizing Ontario’s Publicly Funded Immunization Program. https://www.health.gov.on.ca/en/common/ministry/publications/reports/immunization_2020/immunization_2020_report.pdf

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Apr 24, 2023

Célébrer l’excellence en affaires au Canada | Montréal

Le jeudi 20 avril, nous avons organisé une cérémonie à Montréal en l’honneur de deux dirigeants d’entreprise exceptionnels qui ont eu un impact profond sur le monde des affaires au Canada. Une salle magnifique, des divertissements de qualité et des invités prestigieux ont fait de cette soirée un moment inoubliable. Nous remercions tout particulièrement nos invités, Rania Lllewellyn et Calin Rovinescu.

Rania Llewellyn, lauréate du Prix du chef d’entreprise canadien de l’année

Rania Llewellyn a été nommée présidente et chef de la direction et membre du conseil d’administration de la Banque Laurentienne le 30 octobre 2020. Elle est ainsi devenue la première femme à diriger une grande banque à charte au Canada. Mme Llewellyn est une dirigeante stratégique, motivée et innovatrice qui possède plus de 27 ans d’expérience dans le secteur bancaire. Elle était accompagnée par son mari Sean.

Calin Rovinescu, lauréat du Prix d’excellence pour l’ensemble des réalisations d’un chef d’entreprise canadien

Calin Rovinescu a été président et chef de la direction d’Air Canada de 2009 à 2021, période au cours de laquelle il a mené une transformation financière et commerciale pour en faire un acteur de premier plan à l’échelle mondiale.Il est membre du conseil d’administration de BCE inc. et de la Banque Scotia, et conseiller principal de Brookfield Asset Management et de Teneo Inc. ainsi qu’investisseur en capital de risque dans les technologies émergentes. Il était accompagné par son épouse Elaine.

« Lorsque l’on considère les qualités d’un chef d’entreprise exceptionnel, c’est-à-dire stratégique, déterminé, innovateur, flexible, expérimenté et avant-gardiste, il ne fait aucun doute que les lauréats des prix de chef d’entreprise de l’année de ce soir répondent à ces critères, et bien plus encore. »

Karl Tabbakh, ancien président, Chambre de commerce du Canada

Après une prestation spéciale du groupe montréalais The Directors, les invités ont terminé la soirée avec un dessert, du café et du thé.

Nous remercions sincèrement l’hôtel Four Seasons et tous les commanditaires de l’événement.

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Apr 05, 2023

Voyages d’affaires au canada : connaissez-vous les regles ?

Ce blog a été fourni par CIBT.

Le respect des règles en matière de voyage fait référence à l’adhésion aux politiques, réglementations et lignes directrices en vigueur lors de voyages à l’étranger. Elle peut couvrir à la fois les conditions d’entrée et les exigences sanitaires pour quitter le Canada, transiter par un pays étranger, et peut inclure les conditions à la destination. Les vols de correspondance dans d’autres pays peuvent nécessiter l’obtention d’un visa de transit en fonction de la nationalité du passeport et de l’emplacement de l’aéroport de correspondance, même si le voyageur ne fait que passer d’un avion à l’autre. Le respect de la conformité garantit que les voyageurs observent les règles et réglementations afin de minimiser les risques pour eux-mêmes et pour l’organisation qu’ils représentent.

Des différences entre les lois et les règlements peuvent exister pour diverses activités, que ce soit pour les affaires ou les loisirs. Tout manquement à ces règles peut entraîner des conséquences juridiques lourdes, comme des amendes, des pénalités et, dans certains cas, des poursuites pénales. Parallèlement, le respect des réglementations et des attentes des gouvernements étrangers peut aider les entreprises à établir des relations plus solides avec leurs pays d’accueil et leurs partenaires locaux.


 Cela peut se traduire par une confiance accrue et des transactions commerciales plus fructueuses pour les voyageurs d’affaires. Ce respect des règles permet également de protéger les renseignements confidentiels lorsque l’on voyage à l’étranger. Les pays peuvent disposer de lois sur la protection des données et de niveaux de sécurité différents, de sorte que la non-conformité peut entraîner l’exposition de données sensibles.

Pour les voyageurs individuels, le fait de choisir le mauvais type de visa pour les activités qu’ils prévoient de faire dans un pays étranger peut entraîner des problèmes à la frontière. Certains pays ont des politiques d’immigration et des réglementations strictes sur ce qu’un voyageur peut ou ne peut pas faire dans leur pays en fonction du type de visa qu’il détient. Toute infraction à ces règles peut entraîner un refus d’entrée sur le territoire, une expulsion, des amendes, voire des poursuites judiciaires. Les voyageurs doivent se renseigner sur les exigences en matière de visa pour le pays qu’ils prévoient de visiter et s’assurer qu’ils disposent du type de visa approprié et de tous les documents nécessaires. Par exemple, un Canadien qui se rend aux États-Unis pour une conférence n’a pas besoin de demander un visa. Cependant, il doit avoir certains documents en main si l’agent frontalier les lui demande.

Même si le type de visa et les informations fournies sont corrects, les agents frontaliers sont toujours susceptibles d’examiner les documents du voyageur et de lui poser des questions pour connaître la nature du voyage. Par conséquent, les voyageurs doivent toujours avoir leurs documents de voyage sur eux lorsqu’ils voyagent et être prêts à répondre aux questions des agents frontaliers. En suivant les bonnes procédures et en fournissant des renseignements exacts, les voyageurs peuvent s’assurer que leur passage à la frontière se déroule sans problème. S’il s’avère que le titulaire du visa ne possède pas le bon document ou qu’il a fourni de fausses informations dans sa demande, il peut se voir refuser l’entrée à la frontière.

En résumé, la conformité est essentielle pour les voyages d’affaires effectués à l’étranger afin de prévenir les conséquences juridiques, de veiller à la sûreté et à la sécurité, de maintenir des relations solides avec les pays d’accueil et de protéger les informations confidentielles. La conformité peut également constituer un avantage concurrentiel sur le marché en conférant une bonne réputation à l’entreprise. Les voyageurs peuvent éviter les problèmes juridiques et conserver une bonne réputation auprès du gouvernement du pays d’accueil en faisant appel à un prestataire de services de confiance. CIBT est aujourd’hui le fournisseur privilégié de services de conformité et le leader mondial en matière d’activités internationales et de commerce.

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